Quel sport choisir ? Top 5 des tendances pour la rentrée

Nouveau sport ? Avez-vous entendu parler de CrossFit, Freeletics et autres Calisthenics ?
Ces sports sont des méthodes de renforcement musculaire et de « cardio » qui se pratiquent sans matériel et à haute intensité.

Vous devez répéter des séries de pompes, abdos, squats, burpees, tractions et autres le plus rapidement possible.

De nombreuses communautés ont boosté cette pratique à telle point que l’on peut presque parler d’un nouveau sport : presque parce qu’il manque juste un nom pour le définir !

Ce sport nouvelle génération se développe à vitesse grand V aux Etats-Unis/Canada mais aussi en France et partout dans le monde.

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3 options pour le pratiquer :

  • dans les salles de sport équipées (il y en a de plus en plus)
  • encadré par un personal trainer formé pour (beaucoup le sont)
  • seul avec une « appli » à télécharger (souvent payante) ou un programme (livre ou pdf)

2/ LE SPORT DEHORS

Sortir faire du running, du vélo, de la marche nordique ou encore de la musculation en extérieur (street workout) n’a rien de bien nouveau ?

Et bien si ! Le sport dehors est une vraie tendance, surtout dans les grandes villes où les gens ont de plus en plus besoin de s’aérer.

D’ailleurs, les équipementiers sportifs l’ont bien compris. Ils proposent toute une gamme de maillots, pantalons, pulls, chaussettes et chaussures conçus pour la pratique du sport par temps froid, chaud, humide ou pluie.

L’excuse du mauvais temps pour annuler la session du jour ne tient donc plus ! Il est facile de se procurer des vêtements confortables dans toutes les conditions.

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Petite Astuce du Coin Forme :
Surveillez quand même la pollution de l’air, notamment la pollution aux particules fines.
Dans tous les cas, éloignez-vous du trafic routier et des émissions de gaz si possible.

3/ LE SPORT ZEN

Vous souhaitez une méthode sportive plus douce ?

Le Yoga, le Pilate, le Stretching et d’autres permettent de minimiser les impacts articulaires, d’améliorer la tonicité, la souplesse et le contrôle de soi.

Le Sport Zen est à la mode et de plus en plus d’études scientifiques montrent ses bienfaits pour vivre en bonne santé.

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Encore une fois, les équipementiers et salles de sport ont bien compris la tendance du sport zen et c’est tant mieux ! L’offre est grande, autant pour l’équipement que pour les endroits où le pratiquer.

4/ LE SPORT INTÉGRÉ

Qu’est-ce que le sport intégré ? C’est tout simplement le fait de vivre actif.

C’est une alternative intéressante pour ceux qui ont peu de temps, notamment à cause du travail et des transports.

Pour ceux qui ne pratiquent pas de sport ou tout simplement pour tout le monde, voilà les conseils du Coin Forme pour intégrer le sport à votre quotidien :

5/ LE SPORT CLASSIQUE

Certes, nous sommes souvent attirés par les nouvelles tendances. Mais, ce n’est pas pour autant qu’il faut négliger les classiques que sont le sport en salle, les sports d’équipes et les sports individuels.

Si le changement a parfois du bon, Le Coin Forme vous recommande de maîtriser votre sport. C’est souvent le fruit de plusieurs mois voir années de pratique.

Et quoi de plus gratifiant que de performer dans son activité physique ?

Bonne Rentrée sportive

 

Source : Article originale

Le danger des sacs à dos trop lourds à la rentrée scolaire: comment les enfants devraient les porter

Entre les études, les devoirs et les activités parascolaires, pas surprenant que les enfants aient parfois l’impression d’avoir le poids du monde sur leurs épaules. Et c’est souvent véritablement le cas, lorsque l’on pèse leur sac à dos! A l’approche de la rentrée scolaire, il est important de s’en souvenir. Notez ainsi qu’il est recommandé que le poids du sac à dos de votre enfant n’excède pas 10-15 % de son poids.

Réalisée par Jan Diehm pour le Huffington Post, l’infographie ci-dessous démontre clairement les effets secondaires d’un sac à dos trop lourd et les mesures à prendre pour éviter ces inconvénients:

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Source : Article originale

Exercices de fitness: les coach conseillent d’arrêter net ces 7 exercices

La gym peut être un endroit très intimidant pour les débutants, d’autant que c’est parfois l’habitué un peu trop confiant qui est le plus à craindre dans ces salles de gym. Ces maniaques de l’entraînement ne prennent pas toujours le temps de revoir leurs routines, d’apprendre de nouveaux mouvements, ni même d’accorder une quelconque importance à la santé et la sécurité.

Quant aux experts en fitness, ils ne peuvent pas être partout, tout le temps pour corriger vos faux mouvements et contredire certains mythes communs dans les salles d’entraînement. Nos confrères du HuffPost américain leur ont donc demandé d’énumérer leurs bêtes noires, et il en a résulté la liste de 7 exercices qu’ils aimeraient vraiment vous voir arrêter de faire

Les abdos au sol

«Les abdos au sol ne fonctionnent pas vraiment et sont même dangereux pour vous: imaginez que votre colonne vertébrale soit une carte de crédit. Si vous pliez sans relâche une carte de crédit, il ne faudra pas bien longtemps avant qu’elle se casse. Il en va de même pour les abdos; ce mouvement répété trop souvent peut causer des dommages irréparables à votre dos.

«On vous a sans doute souvent dit que pour soulever quelque chose de lourd, on devait forcer avec ses jambes, pas son dos. C’est la même chose ici: faire des abdos c’est exactement le même mouvement que si vous forciez avec votre dos sans relâche!»

Ben Greenfield, entraîneur certifié et nutritionniste sportif, blogueur pour HuffPost

L’appareil d’abduction/adduction de la hanche

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«Il n’est pas très efficace de cibler ces groupes de petits muscles et, pour être bien honnête, la plupart des gens que je vois utiliser cet appareil font causette ou lisent un livre et ne portent aucune attention à ce qu’ils font.

«Une meilleure option? Faites des fentes — fentes avant en marchant, fentes croisées arrières, montées sur marche —; celles-ci stimuleront les muscles de l’intérieur et de l’extérieur de la cuisse tout en travaillant également le reste de votre jambe et vos mouvements fonctionnels.»

Chris Freytag, expert en fitness, auteur et blogueur pour HuffPost

La barre de tirage derrière la tête

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«Un des mouvements qui n’est pas utile et peut être dangereux, selon moi, c’est l’appareil à barre de tirage utilisé derrière la tête.

«Ce mouvement requiert des épaules extrêmement flexibles, et si ce n’est pas votre cas, ce mouvement pourrait avoir un impact négatif sur votre épaule et vous causer d’importantes douleurs à la coiffe des rotateurd (un ensemble de tendons de muscles situé au niveau de l’articulation de l’épaule). La plupart des entraîneurs recommandent désormais d’utiliser la barre de tirage devant les épaules, ce qui fait travailler les mêmes muscles, mais de façon plus sécuritaire.»

Ramona Braganza, entraîneuse des vedettes et fondatrice de 321 Fitness

Les haltères Kettlebell (si vous n’êtes pas prêt pour celles-ci)

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«Je me méfie des entraînements américains à la kettlebell. Les mouvements qu’ils impliquent peuvent être très bénéfiques… s’ils sont faits de façon appropriée. L’entraînement traditionnel à la kettlebell est d’origine russe, où l’haltère est soulevé depuis juste en bas de la hanche pour se terminer à 90 degrés à la hauteur du torse. C’est un mouvement dynamique qui génère beaucoup de force et qui est bénéfique autant pour la femme au foyer que pour l’athlète d’élite. Toute la puissance du geste repose sur les hanches et cet exercice fait appel à pratiquement tous les muscles de votre corps.

«Dans sa version américaine, le mouvement commence au même endroit, mais se termine au-dessus de la tête. Or, j’ai remarqué que très souvent, lorsque la kettlebell se trouve au-dessus de leur tête, les gens étirent leur dos de façon excessive pour compenser ce poids, chose que l’on constate également souvent lorsque la personne est fatiguée. Cela peut être corrigé en mobilisant la ceinture scapulaire et les vertèbres thoraciques, ainsi qu’en réduisant l’effort grâce à un haltère moins lourd ou en réduisant le nombre de répétitions.

«L’entraînement à la kettlebell américain ne devrait être fait que lorsque vous possédez suffisamment de stabilisation du tronc lorsque le poids se trouve au-dessus de votre tête et que vous possédez une excellente mobilité de l’épaule. Sinon, cet entraînement peut causer des blessures au dos et aux épaules.»

Collette Stohler, auteure du livre The Intuitive Athlete et blogueuse pour HuffPos

Faire des «curls» dans le support pour les accroupissements

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«Les gens doivent comprendre que c’est très mal vu de faire des curls dans le support d’haltères conçu pour les accroupissements. C’est une des contraventions à l’étiquette les plus graves que l’on puisse commettre au gym et une des choses que les habitués détestent le plus. Il est possible de faire des curls n’importe où, et le poids requis est relativement faible; vous pourriez mettre l’haltère au sol et le soulever sans peine. Lorsque l’on fait des accroupissements, par contre, l’accès au support est indispensable, car l’haltère doit être surélevé afin de vous permettre de bien commencer votre routine, et le poids des haltères pour ce type d’exercice est plus élevé, et c’est pour cela que le support d’haltères est crucial, si jamais quelque chose tourne mal.

«Donc, si vous faites des curls au support pour les accroupissements, vous devriez sans doute arrêter, parce que vous allez enrager précisément la personne que vous ne voulez pas enrager, et c’est pourquoi les curls au support d’accroupissements sont un des exercices les plus dangereux qui soient.»

Pat Davidson, Ph.D., directeur de la méthodologie d’entraînement chez Peak Performance à New York

La machine à extension de jambes

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«Je crois fermement qu’il est mieux de mettre son corps au défi avec des exercices qui utilisent des poids libres et le poids de notre propre corps plutôt qu’avec des machines standardisées. Ces machines ne sont pas aussi ‘universelles’ qu’elles le semblent, ce qui fait que pour la plupart des gens, ils n’effectuent pas l’exercice ou le mouvement dans une position naturelle. Dans le cas précis de la machine pour l’extension des jambes, l’exercice est basé sur un mouvement non fonctionnel, c’est-à-dire un mouvement que nous ne faisons pas naturellement dans la vie de tous les jours. D’autre part, le mouvement crée un stress excessif sous la rotule, ce qui peut non seulement être néfaste pour les gens qui ont des soucis avec leurs genoux, mais aussi pour ceux qui sont prédisposés à de tels soucis. Il y a d’innombrables façons plus dynamiques de faire travailler les quadriceps (le seul muscle sollicité par cette machine) tout en impliquant d’autres muscles des jambes et du tronc tout en apprenant une meilleure façon d’être en contact avec votre propre corps lorsque vous faites ces exercices de la bonne façon!»
–Alena Hall, Fellow du HuffPost Third Metric et entraîneuse personnelle accréditée

La machine Smith

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«La machine Smith s’occupe de votre équilibre et de votre stabilisation. Ainsi, son plan unique et le mouvement fixe et non fonctionnel font que vous ne sollicitez pas les groupes de plus petits muscles périphériques qui servent à vous stabiliser. Au final, tous les exercices effectués à l’aide de la machine Smith sont non fonctionnels et ne ciblent que les groupes majeurs de muscles. Si vous passez d’une série d’accroupissements dans une machine Smith à une situation de la vie quotidienne où vous devez soulever quelque chose de lourd du sol, il y a de fortes chances que vous vous blessiez.

«De plus, l’équilibre tout en douceur et le mouvement fixe pourraient vous laisser croire que vous êtes en mesure de soulever des poids plus importants que vous le pouvez réellement. Une utilisation répétée d’une machine Smith vous rendra très fort dans un seul plan de mouvement, ce qui serait fantastique s’il n’existait qu’un sel plan de mouvement dans la vie. Qui plus est, il existe des blessures spécifiques à la surutilisation de la machine Smith.

«Ma recommandation: apprenez les bons mouvements avec des poids libres; tentez d’être le plus symétrique possible afin d’éviter les blessures et progressez tranquillement vers des haltères plus lourds.»

Alison Peters, physiologiste de l’exercice au NYU Langone Medical Center

Source : Article originale

L’ostéopathie, pour eux aussi !

Torticolis, reflux, constipation… L’ostéopathie, médecine manuelle et naturelle, peut aider votre bébé à venir à bout de certains troubles, ou au moins à les atténuer.

Quel timing ?

Les premiers mois d’un bébé sur terre ne sont pas de tout repos ! Il doit se remettre de l’accouche­ment qui a pu être éprouvant et apprendre à téter, digérer, dormir… Vaste programme ! Certains rencontrent des diffi­cultés que l’ostéopathie peut atténuer.

« En cas de symptômes gênants, un nouveau-né peut être traité dès sa sortie de la mater­nité. S’il n’a pas de symptômes précis, mais que l’accouchement a été long ou avec complications, un bilan à 3 semaines ou à 1 mois est une bonne idée. Quand des pressions ont été exercées sur la tête du bébé ou son bassin, cela entraîne parfois la compres­sion de certains nerfs, muscles, ou des déséquilibres osseux auxquels il faut remédier », expli­que Dorothée Dumont, ostéo­pathe à Paris, titulaire d’une for­mation complémentaire en périnatalité (femme enceinte et nouveau-né).

Selon le problème rencontré, il faudra de une à trois séances pour le régler. Un peu plus si les symptômes sont très importants. « Il est préférable de ne pas dépasser cinq à six séan­ces au cours de la première année pour laisser le temps au bébé de s’adapter et s’organiser par ses propres moyens », conseille cette professionnelle.

Il a le crâne plat d’un côté

Si sa petite tête est tout aplatie d’un côté, c’est qu’il se couche toujours de ce même côté, logi­que ! « Nous commençons par mener l’enquête : pourquoi ce bébé n’a-t-il pas toute sa liberté de rotation de la tête ? Ses vertè­bres cervicales sont-elles bien mobiles et ont-elles provoqué le spasme d’un muscle ? Est-ce une manière de protéger l’autre côté de son crâne qui serait doulou­reux ? Ou le problème se situe-t-il au niveau du bassin ? Une fois la cause identifiée, on peut agir sur le crâne pour le remo­deler », explique l’ostéopathe.

De retour à la maison, vous serez mis à contribution pour consolider les effets de la séance. Pensez à solliciter votre bébé du côté où il ne tourne jamais la tête, en lui parlant de ce côté, en agitant un petit hochet. Couchez-le tête-bêche dans son lit : pour reconnaître l’environ­nement auquel il est habitué, il sera forcé de tourner la tête!

 

Il souffre d’un reflux gastro-œsophagien

L’ostéopathe ne pourra intervenir qu’après le diagnostic d’un pédiatre de cette pathologie. De quoi s’agit-il ? Chez tous les bébés, le « clapet » qui se trouve à la jonction de l’estomac et de l’œsophage est immature. Résultat, il se ferme mal. Chez certains bébés, qui fabriquent plus d’acidité que d’autres, lors du processus digestif, des remon­tées acides peuvent alors se pro­duire depuis l’estomac jusque dans l’œsophage. D’où une sen­sation de brûlure très doulou­reuse.

« L’ostéopathe ne pourra pas faire en sorte que ce fameux clapet se ferme. En revanche, il pourra améliorer la fonction digestive du bébé afin qu’il sécrète moins d’acidité. En inter­venant, par exemple, sur les vertèbres ou les côtes qui ont un lien neurologique très fort avec l’estomac. Ou en travaillant sur le nerf vague qui régule la fonc­tion digestive : comme il passe au niveau du crâne, il a pu être comprimé pendant l’accouche­ment », décrit Dorothée Dumont.

A la maison, il faudra éviter d’al­longer bébé tout de suite après le repas, penser à lui faire faire son rot, et placer un coussin rehausseur sous son matelas.

Il est constipé

Votre tout-petit fait des selles rares et dures ? Direction l’os­téopathe ! « Nous pourrons nor­maliser le transit et rendre le colon plus dynamique dans ses contractions en agissant notamment sur le bassin et les vertèbres lombaires. Ces os entretiennent, en effet, un lien neurologique fort avec le colon et l’intestin grêle », explique l’ostéopathe.

Le petit conseil en plus ? Si vous nourrissez votre bébé au biberon, demandez à votre pédiatre si vous pouvez utiliser de l’eau minérale Hépar. Riche en magné­sium, elle favorise le transit.

Il a des difficultés de succion

Certains bébés tètent très paresseusement. Mais les pauvres n’y sont pour rien ! « Ces difficultés de succion peuvent provenir d’une tension au niveau du palais ou de la base du crâne qui les gêne, et leur enlève toute puissance pour aspirer le lait », note Dorothée Dumont.

En une seule séance, en général, l’ostéopathe trouve la cause de cette tension (qui peut se situer à distance, au niveau du bassin) et la soigne.

A la maison, vous pourrez aider votre bébé à mieux téter, en veillant à ce qu’il prenne bien toute l’aréole en bouche (cercle de cou­leur qui entoure le mamelon).

Il a un strabisme

Votre bébé louche ? N’attendez pas que cela s’installe et emme­nez-le voir un ostéopathe avant 3 mois. « En manipulant les os de l’orbite oculaire, on peut débloquer un muscle qui aurait été coincé et se serait spasmé, provoquant cette divergence de l’un des deux yeux », explique l’os­téopathe. Si cela ne suffit pas, il faudra peut-être en passer par le port de lunettes ou des séances de rééducation d’orthoptie.

Il a des otites et des rhinos à répétition

Un ostéopathe ne traitera pas un rhume ou une otite quand l’in­fection bat son plein. Il est d’ailleurs déconseillé de consulter dans un contexte infectieux (fiè­vre, par exemple). Mais il peut intervenir entre les épisodes infectieux pour prévenir les réci­dives.

« Une perte de mobilité des os de la face peut entraîner un moins bon drainage des fos­ses nasales et des trompes d’Eus­tache, et donc des rhumes et oti­tes à répétition. Notre objectif sera de rétablir cette mobilité », explique la spécialiste.

Source : Article Originale

Votre transpiration vous pose problème? Cinq choses à savoir pour la maîtriser

Il fait chaud. Beaucoup trop chaud. Mêmes les ministres succombent à cette chaleur. Depuis quelques minutes, vous tentez en vain de garder vos mains sur les hanches en priant pour que votre chemise sèche à vitesse grand V. En vain. Mais au fait qu’avez-vous mangé lors de votre dernier repas? Êtes-vous stressé ces temps-ci? Portez-vous du coton ou du synthétique? Quel déodorant portez-vous?

Ces questions importent beaucoup si vous voulez maîtriser un tant soit peu votre transpiration. Avant tout chose, dites-vous bien que transpirer est une bonne chose. La transpiration est la réponse naturelle et neurologique pour rafraîchir le corps. Quand la température du corps augmente, que ce soit à cause de la température extérieure, à cause d’un exercice physique ou de changements hormonaux, les 2 à 5 millions de glandes sudoripares de votre corps sont stimulées. Ces glandes sont présentes sur tout le corps, en plus grandes quantités à certains endroits comme les mains ou les pieds.

Faites attention à votre alimentation

Vous ne pouvez vous passer de caféine? Préférez un café décaféiné glacé plutôt qu’un cappuccino fumant. La caféine stimule le système nerveux et active les glandes sudoripares. Plus vous buvez de caféine, plus vous transpirerez. Manger épicé n’est pas non plus une bonne idée. Chez la plupart des gens, le piment fait s’activer votre cerveau en particulier la capsaicine (ce qui rend le piment piquant) qui pense que votre corps à besoin de se rafraîchir. Ainsi donc, votre système de glandes qui régissent la transpiration se met en action. Attention également à l’alcool. Lorsque vous consommez de l’alcool, les vaisseaux sanguins se dilatent et la pression artérielle diminue. La température du corps augmente. Encore une fois, le cerveau réagit en stimulant les glandes sudoripares.

Détendez-vous

Le stress n’arrange pas les problèmes de transpiration. Si la transpiration est un mécanisme naturel pour refroidir l’organisme lorsqu’il fait chaud, la transpiration due au stress reste encore très mystérieuse. Comme le rapporte le Wall Street Journal, certains scientifiques avancent le fait que cette sudation aurait un rôle d’avertissement envoyé aux personnes autour. L’odeur désagréable d’un inconnu agirait sur le cerveau comme un stimulus négatif. La transpiration causée par le stress, la peur, l’anxiété et l’excitation sexuelle est produite par les glandes apocrines que l’on trouve à certaines parties du corps comme les aisselles. En plus de l’eau et du sel, les principaux « ingrédients » de la transpiration due à la chaleur, la transpiration provoquée par le stress contient aussi des substances grasses et des protéines qui intéragissent directement avec les bactéries qui vivent sur la peau. Cette interaction créée cette mauvaise odeur.

Réfléchissez à votre tenue

En temps de grosses chaleurs, oubliez les vêtements en polyester et en acrylique. Lorsque vous transpirez, les tissus synthétiques empêchent l’évaporation de la sueur. Mieux vaut privilégier le coton. Si vous êtes dans un contexte qui le permet, les vêtements de sport, spécialement imaginés pour laisser respirer la peau sont une bonne alternative. De même, faites attention à la crème solaire. Pour protéger au mieux la peau du soleil, la crème solaire crée une barrière sur la peau qui contient la transpiration. Le corps ne se rafraîchit pas, on transpire d’autant plus. Bref, c’est un cercle vicieux, mais retenez qu’à la fin c’est toujours la sueur qui gagne. Ensuite, à choisir mieux vaut transpirer que d’attraper des coups de soleil.

Ayez une hygiène irréprochable

En cas de grosses chaleurs, ne sautez évidemment pas la case douche. C’est aussi le moment ou jamais d’entretenir votre épilation ou votre rasage sous les aisselles. Sans les poils, le déodorant agit plus efficacement et la transpiration sèche plus rapidement.

Choisissez soigneusement votre déodorant

Déodorant ou anti-transpirant? Avec ou sans alcool? Et les sels d’aluminium? Vous préférez la pierre d’Alun? Beaucoup de questions à se poser avant d’acheter tel ou tel déodorant. Depuis quelques années, les déodorants sont montrés du doigt à cause de certains ingrédients qui entrent dans leur composition. En tout état de cause, mieux vaut éviter les déodorants avec alcool qui désèchent la peau en particulier lorsque celle-ci est irritée. Concernant les sels d’aluminium, il faut rester prudent. Comme l’explique Aurèle Clémencin, directeur scientifique à l’institut Noteo, « les sels d’aluminium ont plus ou moins tendance à libérer l’aluminium qui peut ensuite pénétrer dans notre organisme. » Or, des doutes planent sur l’innocuité de cet aluminium. Irritations, atteinte du système nerveux et des os, anémie, cancer du sein, sont autant de risques possibles liés à une exposition à ce métal. D’autant plus que la peau des femmes, fragilisée par l’épilation, aurait davantage tendance à le laisser pénétrer dans l’organisme. Dans un avis rendu en 2011, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) recommande de ne pas dépasser une concentration de 0,6% d’aluminium pur dans un produit cosmétique et d’éviter l’utilisation sur peau irritée. « Rapporté à une vie d’exposition, mieux vaut éviter d’y être trop exposé, » résume Aurèle Clémencin.

Et si vous fabriquiez votre propre déodorant?

La blogueuse Antigonexxi propose sur son site une recette pour un déodorant maison. Pour environ 200 ml. de produit, il vous faudra :
100g d’huile de noix de coco liquide
60 g de bicarbonate de soude (ultra fin)
40 g. de fécule ou d’arrow-root
10 gouttes d’huile essentielle de lavande officinale
10 gouttes d’huile essentielle de palmarosa

Lisez la suite de sa recette en photo sur son blog.

Source : Article originale

L’ostéopathie pour améliorer la qualité de vie des personnes âgées

Le vieillissement est un processus physiologique naturel se traduisant par une transformation du corps. Le système musculo-squelettique est le plus touché par l’âge. Le corps des personnes âgées perd progressivement son élasticité, ce qui augmente les risques de blessures des tissus mous et de la structure osseuse. La prise en charge de la douleur des personnes âgées est donc un enjeu majeur de santé publique. En complément d’un traitement conventionnel, l’ostéopathie peut soulager les douleurs et améliorer la qualité de vie des personnes âgées en leur permettant de maintenir leur activité quotidienne et en préservant une certaine autonomie.

En quoi l’ostéopathie concerne t-elle les personnes âgées ?

Trois personnes âgées sur quatre souffrent de douleurs chroniques liées au vieillissement. L’organisme des aînés se transforme en effet progressivement et l’ensemble des fonctions corporelles se détériore petit à petit. Avec l’âge, la colonne vertébrale s’affaiblit et une pression excessive est ressentie au niveau des articulations et des muscles. Les ligaments perdent leur élasticité et les cartilages s’usent et s’amincissent. La coordination des mouvements se réduit et des douleurs articulaires et motrices se font sentir. Plus de 80 % de ces douleurs touchent l’appareil locomoteur de la personne âgée (c’est-à-dire les articulations et les muscles). Les aînés sont ainsi davantage exposés aux blessures et aux chutes. Des incapacités apparaissent petit à petit, les personnes âgées ayant de plus en plus de difficultés à réaliser des gestes simples de la vie quotidienne, ce qui les expose à la perte d’autonomie et à l’isolement. C’est là que l’ostéopathie peut venir en aide aux aînés en réduisant les douleurs liées à l’âge et en renforçant les fonctions corporelles grâce une action sur la mobilité générale du patient âgé.

Quel est le bénéfice de l’ostéopathie pour les personnes âgées ?

L’ostéopathie est une approche thérapeutique non conventionnelle permettant de diagnostiquer et traiter divers troubles fonctionnels chez tous les patients et plus particulièrement chez les personnes âgées. L’ostéopathie agit sur la structure et la fonction corporelles, à travers des manipulations du système musculo-squelettique et myofascial. Cette méthode part du principe que le bien-être de la personne repose largement sur un fonctionnement harmonieux du squelette, des muscles, des tendons et des tissus conjonctifs. L’ostéopathie ne peut certes pas rétablir l’intégrité du squelette, mais elle va agir sur l’équilibre du corps, lui permettant de moins s’user en fonctionnant mieux. L’ostéopathie a ainsi un rôle préventif et curatif. Elle permet de diagnostiquer, puis de stabiliser les zones de faiblesse du corps et ainsi de conserver ou rétablir manuellement un bon fonctionnement de l’organisme. En optimisant les facultés de mobilité et de coordination gestuelle, l’ostéopathie permet de minimiser les risques de chute et de préserver les fonctions motrices et l’autonomie de la personne âgée.

Comment l’ostéopathe travaille t-il ?

L’ostéopathe prend en compte le corps entier et examine la posture, la force et la flexibilité des muscles, des ligaments et des tendons. Il va utiliser ses mains pour identifier l’origine physique des troubles musculo-squelettiques, puis assurer un traitement préventif ou curatif grâce à des techniques manuelles. Notamment par le toucher et la manipulation, l’ostéopathe va réduire la tension musculaire et améliorer la circulation sanguine et les influx nerveux vers les tissus, renforçant ainsi les mécanismes de guérison du corps. Les outils thérapeutiques utilisés par l’ostéopathe peuvent comprendre notamment des massages, des techniques de mobilisation articulaire, et des étirements des muscles et des tissus, qui lui permettront d’augmenter la mobilité des articulations et de soulager les douleurs. L’ostéopathe peut également fournir des conseils sur la posture et donner des exercices de prévention ou de réhabilitation. Le programme de soin sera fondé sur l’âge de la personne, sa condition physique, son style de vie et ses douleurs spécifiques. L’ostéopathe travaillera le plus souvent en concertation avec le médecin traitant et le kinésithérapeute pour une prise en charge multidisciplinaire à tous les niveaux du soin. L’ostéopathie diminuerait les douleurs chroniques de 50 % et l’utilisation d’antalgiques de 37 %.

Source : Article originale

Conseils pour bien faire ses abdos

Faire des abdos sans se faire mal au dos, sans dilater son ventre ni se faire mal au cou? Les abdominaux sont souvent sujets à polémique. Leur fonction est surtout de stabiliser le corps pendant les mouvements. Mais pour faire mieux ressortir les abdos et leur « tablette » (muscles grands droits de l’abdomen), les gens les travaillent surtout en pliant la colonne en avant (flexion). Quand trop répété ou mal réalisés, des douleurs peuvent apparaître.

Commencez par travailler en statique à la juste difficulté. Apprenez à contrôler votre dos, votre ventre et votre cou. Enfin, vous pourrez pratiquer de nombreuses autres variantes plus dynamiques. Nous en avons sélectionné 2 pour vous: dynamique simple, dynamique complet. Remarque: Pour parler plus technique, nous avons choisi de solliciter dans notre méthode 3 surtout les grands droits mais avec un travail préalable de contraction des muscles Transverses de l’Abdomen.

Faire des abdos à votre niveau

Pour mieux comprendre, regardez notre vidéo pour bien faire des abdos. Saviez-vous que les meilleurs sportifs sont ceux qui connaissent suffisamment leur corps pour travailler à leur juste niveau?

Dans notre cas des abdos (muscles grands droits de l’abdomen), nous vous conseillons ce test simple. Combien de temps arrivez-vous à tenir en poussant vos mains contre vos genoux (allongé, genoux relevés, mains croisées)?

Remarque: Pensez à bien lire notre 2ème partie sur les erreurs à éviter avant de faire ce test. Du plus facile au plus difficile: Tête allongée, 30 secondes Tête allongée, 60 secondes Tête allongée, 90 secondes Tête (et poitrine) relevée, 30 secondes Tête (et poitrine) relevée, 60 secondes Tête (et poitrine) relevée, 90 secondes Une fois votre niveau connu, vous pouvez commencer à vous muscler les abdominaux. Si vous souhaitez être guidé, notre méthode 3 by LeCoinForme (cliquez ici) est offerte pour l’instant!

Bien faire des abdos: 3 erreurs à éviter

1. Muscles transverses: tonifier son ventre:

Plus facile à comprendre sur notre vidéo. Avant de travailler vos abdos, vous devez apprendre à « vider votre ventre ». Vous devez soufflez, bien vous grandir et tonifier votre taille (imaginez que vous essayez de rentrer un pantalon qui est trop juste). C’est vraiment essentiel. Bien activer vos muscles transverses vous évitera de dilater votre ventre en avant et sur les côtés et diminuera les pressions exercées sur les disques (et le périnée) notamment.

2. Bien positionner son dos pendant les abdos:

En statique (1er niveau de notre Méthode 3 by LeCoinForme), vous devez garder le dos bien plaquer au sol et éviter de cambrer. En dynamique (en bougeant), les abdos tablettes (les muscles grands droits de l’abdomen) font forcément courber la colonne (flexion). L’avis du Coin Forme est qu’il faut prendre ses précautions (vous ne devez pas ressentir de douleurs du dos et faire attention si vous avez une pathologie lombaire présente ou ancienne) mais que l’on peut travailler les abdos en dynamique pour bien définir les tablettes. Pour cela nous avons choisi un exercice dynamique simple et un complet (à voir dans notre vidéo). Précaution: En cas de douleurs lombaires (ou sciatique, crurale, etc…), nous vous recommandons de vérifier les exercices abdominaux avec un pro (kiné, coach sportif, prof de sport, etc) et de réaliser des mouvements statiques plutôt que dynamiques.

3. Bien placer sa tête et son cou sur les exercices abdominaux:

Avoir des douleurs de cou après des séries d’abdos est très fréquent! Quand on relève la tête pour travailler ses abdos, les muscles du cou doivent maintenir le poids de la tête. Ce ne sont pas des muscles très sollicités dans notre façon de vivre sédentaire. Il faut donc ne pas y aller trop fort au début. Le plus important est surtout de bien soulever la poitrine avec la tête. Sans quoi vous forcerez sur les muscles du cou plus que sur vos abdos! (vous comprendrez mieux en visualisant notre vidéo)

Bien faire des abdos: variantes

LeCoinForme a sélectionné 3 variantes pour vous (correspondant aux 3 mois de la Méthode 3 by LeCoinForme):

Les abdominaux statiques: allongé, vous poussez vos mains contre vos genoux. En fonction de votre niveau (cf 1/ de cet article), vous soulèverez votre poitrine et tête ou pas.

Les abdos dynamiques simples: d’une efficacité redoutable lorsqu’ils sont correctement exécutés! Position de départ : allongé sur le dos, genoux pliés, bras tendus vers le haut. Mouvement: vous poussez les mains vers le haut en soulevant bien la poitrine

Les abdos dynamiques complets: ils travaillent les abdos sur toute leur course et consistent à vous relever du sol en amenant les bras entre les jambes pliées, genoux écartés. Ils nécessitent une bonne maitrise des abdos précédent et une force suffisante. A ne pas faire en cas de doutes ou douleurs.

Source: Article originale

5 BONNES RAISONS D’ALLER VOIR L’OSTÉOPATHE AVANT LES VACANCES

Quand les vacances arrivent enfin, c’est le moment de s’évader, se retrouver, se reposer, de souffler… bref, pas de temps à perdre. Mais pour bien profiter de ses vacances méritées, il faut que la santé suive derrière. Ce qui n’est pas toujours le cas après s’être démenés au quotidien. L’ostéopathie est une solution douce et très efficace pour ça. Voici donc cinq bonnes raisons d’aller voir un ostéopathe avant les vacances.

 

ÉVACUER LES TENSIONS

Que l’on soit salarié, chômeur, mère/père au foyer, étudiant… il est difficile d’échapper à la pression qui nous entoure. Outre les grands problèmes et drames de la vie qu’il nous faut gérer, massage_ostéo et qui marquent indubitablement, les petits conflits du quotidien n’ont pas besoin d’être de grande envergure pour laisser leur trace eux aussi : il suffit qu’ils s’accumulent jusqu’au moment où l’esprit ne peut en supporter plus et c’est le corps qui doit tout encaisser. Douleurs diverses, troubles hormonaux, problèmes digestifs, migraines… C’est ce que l’on appelle la décompensation. Elle peut également avoir des manifestations psychiques. Et elle a les moyens de s’avérer extrêmement pénible. Cependant, pas besoin d’en arriver là pour consulter. Sous tension, le corps se raidit et ne reçoit pas les informations (provenant de l’intérieur et de l’extérieur) de la même façon. Il s’ensuit des restrictions de mobilité au sein de l’organisme et le début des vacances est une bonne occasion de se décharger de cette perte d’équilibre que l’ostéopathe est à même de corriger.

AJUSTER LES DÉRÈGLEMENTS LIÉS AU STRESS

La majorité de nos douleurs, toutefois, sont liées au stress. Le stress – plus besoin de le présenter – a une influence sur tous les systèmes de l’organisme, et à long terme il peut leur causer beaucoup de dégâts. Le manque de sommeil, dont souffre un tiers des Français, peut se combiner à lui et leur association peut se montrer dévastatrice. L’ostéopathie a une vision globale de l’organisme et le traite toujours dans son ensemble. Elle a les moyens d’aider votre corps à se soulager de ce cercle vicieux.

COMMENCER DU BON PIED

C’est tout simple, mais démarrer ses vacances en prenant soin de soi est excellent pour le moral ! Vous vous sentirez détendu(e) et votre corps vous en remerciera. Et voilà enfin l’opportunité de se débarrasser de cette petite douleur pas trop handicapante mais un peu gênante que vous traînez depuis un bon moment ou de faire un bilan sur votre état de santé général.

BIEN SE PRÉPARER

Que vous aillez prévu de vous reposer ou de faire le tour du Mont-Blanc à cloche-pied sur une raquette, la pause sera plus efficace si votre corps est auparavant prêt à l’accepter. D’abord, vous récupérerez bien mieux si votre corps est libéré de toute influence nuisible. Et avant de se lancer dans une entreprise sportive quelle qu’elle soit, il est important de vérifier que votre organisme est bien préparé pour éviter les accidents. Surtout que, comme dit plus haut, un corps raidi n’encaisse pas les chocs de la même façon.

SE PRÉSERVER

Quand une douleur se maintient plus de trois jours puis qu’elle disparaît, c’est qu’il y a eu une adaptation du corps. Or celle-ci ne garantit pas toujours l’éradication à long terme du problème : la douleur peut par la suite revenir et devenir chronique ou se manifester sous la forme d’un ou plusieurs autres symptômes. Une bonne raison pour s’en occuper dès que possible. Voilà, vous n’avez maintenant plus aucune excuse maintenant pour bouder votre ostéopathe. Planifier ses vacances commence par un rendez-vous avec son bien-être.

 

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Conseil d’ostéopathe : quelle est l’utilité des chaussures pour bébé et le jeune enfant ?

Alors que beaucoup de parents sont heureux d’acheter de belles petites chaussures pour bébé, je suis au regret de vous annoncer qu’il est pourtant préférable de les laisser marcher pieds nus !

Pas de chaussures pour un bon développement des pieds

Les pieds de votre enfant se développeront mieux s’ils sont laissés à eux-mêmes. Pensez aux économies que je vous fais faire ! Achetez-lui sa première paire de chaussures de marche une fois qu’il marche d’un pas assuré, sans votre aide, et qu’il commence à aller dehors !

A la maison, laissez-le évoluer pieds nus !

Quand bébé expérimente ses premiers pas sans chaussures, ses muscles, ses chevilles et ses orteils bien écartés l’aident à avoir un meilleur équilibre. Si ses pieds sont confinés dans une chaussure rigide, les orteils ne peuvent pas fonctionner de cette façon et les muscles du pied et de la cheville ne développent pas la force nécessaire.

De toute manière, votre enfant apprendra à marcher plus rapidement les pieds nus, et son cerveau se développera de meilleur façon également.

Côté psychomotricité

Mettre des chaussures à des enfants trop jeunes pourrait entraver ses capacités psychomotrices. La santé du corps est reliée de façon étroite à la santé des pieds. Lors de notre pratique quotidienne d’ostéopathe, on peut souvent vérifier que le déséquilibre du bassin, zone clé du corps humain, provient souvent de la déformation/« grippage » du pied. Et je ne vous parle pas des répercussions néfastes sur le reste du corps et la posture…

Quelles chaussures, du coup ?

Sachez que la plupart des chaussures pour enfants qui sont vendues en magasin sont souvent inadaptées et manquent de flexibilité. Il est préférable de choisir des chaussures souples, légères, avec des matériaux les plus naturels possibles et pourquoi pas fabriquées en France pour le côté « Made in France » ? Enfin, les chaussures estampillées « spéciales » sont inutiles.

Pour conclure, vous l’aurez compris, bébé – tout comme vous d’ailleurs – n’est pas né avec des chaussures aux pieds… alors, de grâce, enlevez les le plus souvent possible !

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Préparer et bien vivre sa grossesse grâce à l’ostéopathie

Enceinte, et si j’allais voir un ostéopathe ? C’est compatible avec la grossesse ou pas ? Quels sont les bénéfices d’une séance d’ostéopathie pour une future maman ? Et dans quels cas aller voir un ostéopathe, en fait ? Toutes ces questions de future maman ont une réponse, que voici, que voilà !

Pourquoi venir consulter un ostéopathe ?

Avant la grossesse

Pour préparer le corps de la future maman à l’arrivée du fœtus, pour s’assurer de la bonne mobilité du bassin et des structures environnantes, afin que l’organisme puisse s’adapter au mieux aux changements qu’il va subir. Dans certains cas d’infertilité ou de difficultés de conception, l’ostéopathie peut être une approche à envisager. En effet, une bonne mobilité des structures musculo-squelettiques et viscérales est primordiale au bon fonctionnement de l’appareil reproducteur (utérus, trompes, ovaires…).

Pendant la grossesse

Lors de sa grossesse, la femme enceinte va subir des modifications physiologiques (hormonales, par exemple) et mécaniques (augmentation de la masse de l’utérus, notamment). Ces transformations peuvent entraîner des troubles fonctionnels ou augmenter l’intensité de troubles déjà présents avant la grossesse. Des exemples de troubles fonctionnels pouvant apparaître pendant la grossesse :

• Troubles mécaniques : lombalgies (douleur lombaire), douleur sciatique, douleur au niveau du sacrum ou du coccyx, …..
• Troubles digestifs : nausées, difficultés à la digestion, ballonnements, régurgitations, constipations, douleurs abdominales,….
• Troubles circulatoires : jambes lourdes, hémorroïdes, maux de tête, …..
• Troubles gynécologiques : spasmes, douleur lors des rapports sexuels

Ces troubles fonctionnels résident dans les modifications du corps de la femme, pour accueillir le fœtus. L’utérus, augmentant de volume, va refouler certains organes abdominaux. Et cette modification de l’utérus peut, par exemple, entraîner des troubles digestifs. Au niveau vertébral, le volume de l’utérus augmentant, la lordose physiologique (ou cambrure) s’accentue. Ceci est accompagné d’une « horizontalisation » du sacrum qui peut être à l’origine de tensions de certains ligaments du bassin, mais également d’une augmentation de la pression sur les disques intervertébraux. Toutes ces transformations peuvent être génératrices de lombalgies, voire de sciatalgies… toutes ces « choses » qui empoisonnent l’existence des femmes enceintes.

Après l’accouchement

Le bassin de la mère est vulnérable aux forces impliquées pendant la naissance, particulièrement si cette dernière est compliquée. Après la naissance, le corps ne doit pas seulement se remettre des changements survenus durant la grossesse, mais également des conséquences de l’accouchement lui-même. Et tout cela pendant que la maman doit s’occuper de son bébé, alors qu’elle est fatiguée, tant mentalement que physiquement. De plus, s’occuper du nourrisson peut provoquer des maux de dos dus à des mauvaises positions prises pour changer bébé, le porter sur le côté et mettre/enlever le siège pour enfant dans la voiture… Les tensions non résolues liées à l’accouchement peuvent causer des maux de dos chroniques, règles douloureuses, incontinence urinaire, constipation, maux de tête… L’ostéopathie peut aider la mère à revenir à un état physique normal après la naissance, en relâchant les tensions de la grossesse et de l’accouchement.

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