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Guérir votre intestin avec l’eau de Coco et de kéfir

Apprenez à soulager naturellement vos problèmes d’intestins avec cette préparation maison d’eau de Coco et de Kéfir.

Les bienfaits de l’eau de coco pour votre intestin

L’eau de coco est une boisson connue pour ses nombreux bienfaits, notamment pour la digestion.
Cette boisson contient des enzymes bioactives que notre corps utilise pour la digestion de la nourriture.
Ainsi, boire de l’eau de coco fait partie des remèdes naturels efficaces lorsque vous souffrez de problèmes digestifs et/ou de douleurs abdominales.

Le saviez-vous?

pour vous soigner naturellement avec efficacité, vous pouvez y ajouter du kéfir

Comment le kéfir aide votre intestin ?

Le kéfir est une boisson qui résulte de la fermentation de grains de kéfir dans le lait ou le jus de fruit.
Le kéfir est un probiotique formé de caséine et de colonies gélatineuses grandissantes en symbiose.
L’intérêt du kéfir est qu’il va favoriser la digestion, apaiser les ulcères d’estomac et fortifier le système biliaire.
Le kéfir est également un antibiotique naturel, efficace en cas de pneumonie, d’asthme, d’hypertension et de cholestérol.

Comment bénéficier des bienfaits du kéfir et de la noix de coco pour votre intestin ?

Faire votre propre boisson de kéfir de noix de coco

Vous pouvez faire du kéfir d’eau de noix de coco avec un kéfir existant ou en utilisant des grains de kéfir.
En plus de cette matière première, vous devez également disposer de :
• 7 verres d’eau de coco fraîche
• 5 cuillères à soupe de grains de kéfir d’eau
• 1 bâton de cannelle

Instructions de préparation
• Mettez l’eau de noix de coco dans un récipient
• Incorporez les grains de kéfir
• Puis disposez le bâton de cannelle dans le récipient
• Placez le couvercle de manière lâche sur le récipient
• Laissez reposer votre préparation pendant 48 h

Attention ne laissez pas la préparation se reposer plus de 48 h, sinon vous risquez de trop fermenter votre préparation.

Lorsque que l’eau de kéfir de noix de coco est prête, elle prendra une couleur un peu plus claire.

Maintenant il suffit de boire la préparation pour profiter de ses bienfaits.
Les grains de kéfir peuvent être réutilisés si vous les stockez dans un bocal d’eau dans votre réfrigérateur.

 

Source : lemag.therapeutes.com/guerir-votre-intestin-avec-leau-de-coco-et-du-kefir/

8 aliments et les organes auxquels ils ressemblent

1. Carottes – Yeux.

carotte
carotte

Manger des carottes régulièrement favorise la bonne santé des yeux.
Les carottes sont remplies de vitamines et d’antioxydants, comme le bêta-carotène, qui diminuent le risque de dégénérescence maculaire, principale cause de la perte de vision chez les personnes âgées.

2. Noix – Cerveau.

noix
noix

Les noix possèdent une forme similaire au cerveau mais leurs points communs ne s’arrêtent pas là.
Les noix sont composées d’acide gras oméga 3, qui permettent au cerveau de fonctionner normalement.
Manger régulièrement des noix peut nous aider à conserver un bon moral et à entretenir notre matière grise.

3. Céleri – Os.

celeri
celeri

Les graines de céleri sont généralement considérées comme une source riche de calcium, minéral nécessaire pour maintenir des os et dents solides. Le calcium est particulièrement important pour les enfants – ils ont besoin de le recevoir en quantité suffisante, afin de favoriser leur développement osseux. Ce minéral est également utile dans le cadre de contractions musculaires. Si l’apport en calcium est insuffisant, il peut conduire à à des problèmes osseux (ostéoporose) en fin de vie.

4. Avocats – Utérus.

avocat
avocat

Conserver un utérus sain est une priorité pour de nombreuses femmes.
Si vous êtes préoccupées par la santé de votre utérus, vous pouvez essayer l’avocat.
D’après Elizabeth Somer (Diététicienne) :

Les avocats sont une bonne source d’acide folique.
L’acide folique a prouvé son utilité pour réduire le risque de dysplasie cervicale, qui est une affection précancéreuse.

5. Pamplemousse – Sein.

pamplemousse
pamplemousse

La santé de la poitrine est également une préoccupation majeure pour les femmes.
Le cancer du sein est une maladie terrifiante, souvent difficile à vaincre.
Le pamplemousse est un fruit qui peut vous aider à titre préventif.
Il contient des substances appelées qui ont tendance à ralentir le développement du cancer dans les cellules mammaires.

Attention toutefois, le pamplemousse bloque la métabolisation de certains médicaments.

Le risque concerne :

  • les médicaments que vous prenez oralement  ;
  • les médicaments faiblement ou moyennement absorbés par l’organisme ;
  • les médicaments qui sont métabolisés par l’enzyme cytochrome P450 3A4, ou CYP3A4, ce que vous pouvez vérifier sur la notice.

6. Tomate – Cœur.

tomate
tomate

La maladie cardiaque fait partie des maladies les plus mortelles en occident.
La tomate, qui partage sa forme avec le cœur, dispose de vertus intéressantes dans le cadre de la prévention des risques cardiaques.
Des études ont montré que la lycopène présente dans les tomates peut réduire le risque de crise cardiaque chez les femmes et les hommes.
Mélanger les tomates avec de l’huile d’olive et de l’avocat stimule la capacité de votre corps à absorber le lycopène.
Le lycopène est 10 fois mieux assimilé.

7. Patate douce – Pancréas.

patate
patate

La patate douce ressemble non seulement à un pancréas, mais elle est cruciale pour garder cet organe en bonne santé.
Les patates douces sont riches en bêta-carotène, puissant en oxydant qui protège les tissus du corps, notamment le pancréas.

8. Gingembre – Estomac.

gingembre
gingembre

Puissant tonique, le gingembre peut également être utilisé en cas de douleurs de l’estomac et notamment de brûlures. Il facilite de plus la digestion et la disparition des gaz intestinaux. Savez-vous aussi que c’est un anti nauséeux très efficace ?

Il peut se consommer à volonté, frais et râpé dans vos petits plats, sous forme de tisanes (mélangez 0,5 g de poudre de gingembre dans une tasse d’eau chaude et buvez doucement, 2 à 3 fois par jour) ou encore de gélules (2 gélules le matin et le midi à prendre au moment des repas avec un grand verre d’eau.
Source : lemag.therapeutes.com/8-aliments-et-les-organes-auxquels-ils-ressemblent

Peut on courir enceinte?

Voici une question à laquelle je voulais répondre pour 3 raisons:

  • Beaucoup de femmes m’interrogent pour savoir s’il est autorisé de courir quand on est enceinte
  • J’ai aussi parfois des critiques quand on me voit faire du sport alors que j’attends un bébé
  • Il y a 13 ans pour ma 1ère grossesse, il m’était déconseillé de courir mais depuis les avis médicaux ont évolué.

Il est vrai qu’il y a 13 ans je ne courais pas car je jouais au rugby donc l’arrêt du sport s’est de suite imposé à moi. Et j’ai pris plus de 17 kilos sur cette grossesse… La cata!

Sur ma deuxième grossesse,j’ai couru jusqu’à 4 mois, date de mon amniocentèse. Ensuite je me suis reposée avant de faire des séances de marche rapide sur vélo elliptique. Malheureusement mon dos a fait des caprices bien que j’ai a peine pris 9 kilos sur cette grossesse.

Cette fois je dois trouver le juste équilibre entre le repos pour mon corps et le maintien d’une tonicité et le contrôle du poids pour préserver mon point faible dorsal. J’ai choisi de continuer doucement et occasionnellement à courir jusqu’à mon amniocentèse (après c’est trop risqué car la poche est piquée et elle est fragilisée). Puis je vais essayer d’autres activités ou je serai moins soumise aux impacts ainsi qu’à la pesanteur liée poids du corps qui devient de plus en plus lourd.

J’ai donc fait quelques recherches pour pouvoir vous répondre sur la compatibilité de la course à pied et la grossesse.

PEUT ON ET DOIT ON FAIRE DU SPORT ENCEINTE ?

Sachez qu’à Lille, la maternité et la métropole ont mis en place des cours de sport pour les femmes enceintes, basés sur la méthode pilates. La maternité indique même que lorsqu’il n’y a pas de contre-indications médicales, l’activité physique présente de nombreux avantages pour les patientes et notamment la diminution de l’anxiété et de la dépression durant la grossesse, l’amélioration du déroulement de l’accouchement (moins de césariennes, moins de complications de type recours aux forceps)… Des bénéfices désormais médicalement prouvés.

Il est donc possible d’exercer une activité sportive pendant votre grossesse et en plus c’est recommandé ! continuer une activité sportive pendant votre grossesse vous permettra

  • d’être en forme et de conserver un bon tonus musculaire, donc de récupérer mieux et plus vite après l’accouchement ;
  • de vous détendre ;
  • d’améliorer votre oxygénation, donc du bébé ;
  • de prévenir les problèmes de jambes lourdes et de circulation ;
  • de limiter la prise de poids, et d’autres complications liées à la grossesse (diabète, hypertension…).

QUELLES PRÉCAUTIONS FAUT IL PRENDRE ?

Il est important de vous préserver ainsi que votre bébé, ainsi tous les sports traumatiques ou à risques de chute sont à proscrire dès le début de votre grossesse.

Il est impératif de demander l’avis de votre médecin ou gynécologue avant de faire du sport pour bien tenir compte de votre état de santé. Mais il faut aussi accepter vos changements corporels et métaboliques pendant la grossesse :

  • Le volume sanguin et le débit du cœur augmentent : en plus de votre propre circulation sanguine, vous alimentez celle de votre bébé ;
  • La capacité pulmonaire diminue légèrement : vous vous essoufflez plus vite ;
  • Votre centre de gravité change : vous pouvez vous sentir « instable » ;
  • Les hormones de la grossesse rendent vos ligaments plus souples (pour laisser de la place au bébé), mais aussi plus fragiles.
  • Il faudra penser à stopper le running et consulter en cas de fatigue inhabituelle, de contractions anormales, de pertes blanches inhabituelles, en cas d’anémie ou de rythme cardiaque au repos anormalement élevé.

PEUT ON COURIR ENCEINTE ?

Le Dr Jean Simon Arfi, gynécologue, membre du comité d’expert Mon Stade a réagit sur le magazine runners World

Il indique qu’il n’y a pas de raison pour que les femmes qui couraient avant la grossesse ne continuent pas. Cependant la grossesse n’est pas le moment des exploits sportifs !

Même si au début de la grossesse, l’augmentation de la masse sanguine améliore l’endurance et peut donner l’impression de « facilité », il faut rester en deçà de ses possibilités. 80% de son allure de base est une bonne base sécuritaire.

Jusqu’à la 26e semaine, vous pouvez continuer de courir « comme d’habitude ». C’est un élément de bien-être qui permettra de reprendre plus vite après l’accouchement. Il faudra faire attention aux entorses. Pendant la grossesse, les ligaments, sous l’effet des hormones, sont plus relâchés. Évitez les parcours accidentés.

Au-delà de la 30e semaine, Il vaut mieux, pour des raisons de surcharges qui peuvent entrainer des douleurs du dos et des articulations des membres inférieurs, s’orienter vers des sports aquatiques tout en continuant à surveiller son rythme cardiaque.

QUEL TYPE DE RUNNING PENDANT MA GROSSESSE?

Oubliez les efforts intenses il faudra veiller à ce que vos sorties running soient douces ;

  • Pas de fractionné ni de sprints
  • Surveiller votre rythme cardiaque pour rester sur un rythme raisonné
  • Ne faites pas monter votre chaleur corporelle
  • Running grossesse rime avec running bien-être. Courez simplement pour rester en forme et pendant votre sortie vous devez être en facilité, donc de discuter tout au long de votre parcours.

QUELQUES TRUCS ET CONSEILS

  • Si vous courez à l’extérieur, faites un trajet en boucle près de votre domicile; si vous êtes plus fatiguée, vous pourrez facilement rentrer à la marche.
  • Il est important de bien boire et de ne pas courir lorsque les températures sont élevées.
  • Planifiez votre trajet avec des arrêts pipi et des points d’eau!
  • Habillez-vous adéquatement pour ne pas avoir trop chaud – il se peut que vous ayez plus chaud qu’à l’habitude pendant votre grossesse.
  • Le choix de la surface de course est aussi un élément à considérer. Les sentiers en terre battue sont à prioriser, pour minimiser les impacts.
  • Pensez également à courir accompagnée, le risque traumatique augmentant avec le terme.

 

Source : www.huffingtonpost.fr/val-marqueton-perez/courir-enceinte-running-conseils-footing_b_8279758.html

 

 

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OSTÉOPATHIE : CRAQUERA, CRAQUERA PAS ?

Le craquement sinistre qui retentit quand le praticien manipule un membre, c’est un cliché… qui a sa part de vérité !

Mais pourquoi craquons-nous parfois quand nous allons chez l’ostéopathe ? Et faut-il le craindre ou le souhaiter ?

Un crac chez l’ostéopathe, qu’est-ce que ça veut dire ?

Quand on entend un craquement pendant une séance d’ostéopathie c’est que le praticien a manipulé une articulation en effectuant une décoaptation : il a fait sortir les os reliés par l’articulation de leur position habituelle, puis les a laissés revenir à leur position de départ. C’est ce même bruit, bien connu, que l’on entend quand quelqu’un fait craquer ses doigts en forçant sur les articulations de ses mains. Le son et le volume auquel on l’entend varient d’une personne à l’autre, et dépendent de l’articulation déplacée et du fait que les muscles sont plus ou moins contractés.

À quoi sert ce craquement ?
À rien en tant que tel ! En effet, chez certaines personnes manipuler une articulation ne fera jamais de bruit. Et, quoi qu’il en soit, le craquement n’est pas douloureux (une séance d’ostéopathie ne doit jamais faire mal).

Faut-il souhaiter le craquement ?

C’est quelque chose d’assez connu parmi les ostéopathes. Certains clients souhaitent, voire demandent, le fameux  « crac », considérant que c’est une preuve d’efficacité… D’autres en ont très peur, considèrent que c’est dangereux et refusent parfois de remettre les pieds chez un praticien qui les a fait craquer.

Ces sentiments par rapport au craquage sont parfois liés à des traumatismes. Ainsi un enfant à qui l’on a fait mal pendant une séance mal menée et qui a entendu un craquement à ce moment est susceptible de devenir un adulte qui a peur des cracs…

En vérité… les deux ont tort !

En effet, le craquement est lié à une manipulation bien spécifique, qui est conseillée dans certaines situations… mais pas toutes. Elle sera plus souvent utilisée pour un problème aigu, et d’origine mécanique – typiquement, une douleur dorsale déclenchée par un déménagement.

En revanche, si vous avez un problème chronique, une névralgie, une sciatique, le craquement ne vous sera d’aucune aide et il est inutile de le demander.

 

Source : www.e-sante.fr/osteopathie-craquera-craquera-pas