Périostite Tibiale: Prise en charge et traitements

La périostite tibiale (PT) … Qui n’a jamais un jour ressenti cette petite douleur insidieuse s’installant sur l’avant du tibia pendant les entraînements ? Cette sensation de brûlure, de congestion empêche à terme de faire un pas de plus.

La PT se caractérise par un syndrome inflammatoire douloureux au niveau de la face interne et/ ou médiale du tibia.

Certaines déformations de la jambe ou du pied peuvent favoriser l’apparition de cette pathologie dont le déclencheur principal reste la pratique intensive ou chaotique d’activités sportives.

Les douleurs proportionnelles à l’intensité de l’entraînement cèdent généralement au repos. Toutefois si la PT n’est pas traitée dès son apparition, celles-ci peuvent évoluer vers la chronicité et compromettre définitivement la pratique d’une activité sportive.

Dans le diagnostic différentiel, il ne faut pas oublier la fracture de fatigue du tibia qui peut être la cause de la douleur.

Mais le périoste, qu’est-ce que c’est ?

Périostite signifie inflammation du périoste. Le périoste est la fine membrane conjonctive enveloppant les os. Les fibres dans le périoste sont entrelacées avec les tendons qui relient les muscles aux os Les fibres des tendons sont incorporées dans l’os durant sa croissance et se renforcent tout au long de ce processus. Ces fibres sont appelées forages ou de fibres de Sharpey. Le périoste est très richement innervé et vascularisé ce qui explique les douleurs fulgurantes qu’il provoque en cas de lésion. Les chocs répétés créent des micro-fractures dans le tissu du périoste et donc une rupture de capillaires sanguins. Les saignements entraînent un phénomène de nécrose déclenchant alors une réaction inflammatoire. Celle-ci a pour but d’évacuer les tissus nécrosés et de les remplacer de nouvelles cellules du tissu conjonctif

 

Periostite
Périoste et fascia

Localisation :

 

La périostite tibiale peut avoir 2 types de sources et donc 2 localisations légèrement différentes :Périostite tibial antérieur et postérieur

–          Une atteinte du périoste sur le trajet du muscle tibial antérieur. La douleur se localisera sur la face avant de la jambe.

–          Une atteinte du périoste sur le trajet du muscle tibial postérieur. La douleur se localisera à la partie médiale et basse de la jambe.

 

Causes de la périostite :

  •         Sport à percussion, chocs à répétitions chez le sportif (course à pied, épreuve de saut, danse, boxe, …)
  •         Augmentation trop rapide de la charge sportive (temps, durée, qualité du terrain…)
  •         Terrain dur et peu amortissant (béton, goudron, piste d’athlétisme altérée, terrain accidenté, sable (le pire))
  •         Schéma de course en attaque talon trop prononcé
  •         Attitude en type postérieur
  •         Technique sportive mal adaptée, mal comprise
  •         Perte de mobilité au niveau de la cheville (Entorse antérieure ?)
  •         Pied plat valgus hyper pronation
  •         Valgus de l’arrière pied
  •         Manque de tonicité du triceps sural
  •         Torsion osseuse tibiale
  •         Tension des insertions musculaires et aponévrotiques fixées au périoste
  •         Valgus de genou
  •         Inégalité de longueur des membres inférieurs
  •         Rétroversion de hanche
  •         Chaussures usées ou mal adaptées à l’activité
  •         Surcharge pondérale
  •         Strapping trop serré

 

Et plus concrètement ?

Citons le cas le plus typique, celui de la course à pied. Le pied plat (hyper pronateur), oblige le muscle tibial postérieur (muscle supinateur qui recrée une forme de pied creux) à travailler en excès constant de traction car il doit contrer les forces pronatrices et stabiliser en même temps le pied. Dans le cas du dévers, le pied (côté montagne) va être en excès de pronation, le muscle sera alors soumis à des tensions bien supérieures car il doit contrôler davantage un pied s’écrasant vers l’intérieur.

Le muscle tibial antérieur, quant à lui, participe un peu à l’inversion du pied (forme pied creux) mais ses principales actions sont la flexion dorsale (du pied vers la jambe), l’adduction et la supination. C’est le muscle antagoniste du tibial postérieur. Il est stabilisateur antéro-postérieur de la jambe lorsque le pied est en appui au sol. Dans le même temps, il contrôle l’équilibre postural en amenant le centre de gravité vers l’avant lorsque le corps se déporte vers l’arrière.

En trail lors des phases d’ascensions, la pointe de pied doit être constamment relevée pour faire face au dénivelé. Le muscle tibial antérieur est donc soumis à de plus fortes tensions.

C’est la même chose pour les efforts de sprint ou de courses rapides. Le corps est davantage en propulsion et se penche en avant pour jouer sur le « déséquilibre rattrapé », pas après pas.  Si on ne relève pas la pointe du pied, c’est la chute. La course sur le sable sec étant la plus traumatisant, les appuis sont fuyants et chaque  mouvement doit être exagéré.

Les excès de traction associés aux ondes de chocs et vibrations vont remonter jusqu’aux fascias et provoquer les micro-déchirures du périoste aboutissant à terme à la PT.

Muscle tibiale antérieur et postérieur
Muscle tibiale antérieur et postérieur

Traitements :

A l’apparition de périostite, le  premier des traitements est l’arrêt de votre activité. Certes on se dit que l’on va perdre du temps face à l’objectif sportif qui arrive à grand pas mais continuer aggraverait la situation et augmenterait d’autant plus votre temps de rémission. Les vibrations au niveau du tibia doivent être réduites. Si vous souhaitez continuer à vous entraîner pour éviter de perdre votre foncier  (votre travail cardio), favorisez les activités comme le vélo ou la natation, voire l’aqua-jogging qui permettent de garder un schéma vertical sans impact au sol. la rééducation via les machines Alter G, qui permettent de courir sur tapis de course avec une décharge de poids de corps pouvant aller jusqu’à 80% grâce à un système anti-gravité (issu de la NASA 🙂 )

 

–          Massage : on évite de masser directement le tibia au risque de provoquer davantage de lésions du périoste (certaines techniques propose de faire rouler une cuillère sur le tibia pour faire saigner le périoste mais cela augmenterait davantage le temps de récupération), mais la zone musculaire qui se trouve directement sur son bord. Asseyez-vous au sol, pliez le genou, le pied doit être à plat. Partez du bas de la jambe et remontez lentement en direction du genou en faisant glisser vos doigts sur les matie molles et non osseuse, en exerçant une légère pression continue. Gérez cette pression en fonction de l’intensité de la douleur. Vous pouvez augmenter progressivement cette pression des doigts si vous sentez un relâchement musculaire et une diminution de la douleur.

 

–          Froid : Le froid a de nombreuses vertus, antalgique, anti-inflammatoire, vasomotrice, décontracturant (nous y reviendrons plus en détail dans un prochain article). Ces soins peuvent être effectuer dés les premiers signes de la périostite.

o   Glaçage :

  • Compresse de froid : à appliquer 15-20 min 3 à 6 fois par jour et minimum 1h d’intervalle entre chaque phase (Protocole RICE)
  • Massage au glaçon : l’application d’environ 5 minutes se fera 3 à 6 fois par jour (attendre 1 heure avant de recommencer), pendant 7 à 10 jours (voir plus suivant la disparition des douleurs).

o   Cryothérapie : Une séance de cryothérapie dure environ 3min. Vous pouvez en faire 2 par jour pendant 10 jours. Lorsque vous rentrez dans la chambre, votre tibia doit être en exposition avec le froid, la chaussette doit être replié jusqu’au talon.

 

–          Étirements : Il sont à effectuer en dehors de toute phase aigüe et plutôt après un échauffement. Il ne doivent pas augmenter la douleur.

o   Tibial antérieur :

– Mettez un genou au sol et posez le pied de l’autre jambe par terre, genou fléchi. – Posez les mains devant vous (ou prenez appui sur vos doigts). – Tout en appuyant légèrement avec votre jambe sur la plante du pied, asseyez doucement le corps vers le talon arrière..

o   Tibial postérieur :

– Pied largeur des épaules

– Asseyez-vous doucement en direction de vos talons

– Les talons doivent rester constamment en contact au sol

– Pour augmenter l’étirement en profondeur, penchez-vous légèrement vers l’avant

Etirement tibial postérieur
étirement tibial postérieur
Muscle tibiale antérieur et postérieur
Muscle tibiale antérieur et postérieur

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Podologue du sport : il vous fabriquera des semelles orthopédiques adaptées à votre foulée. A noter qu’avant de vous faire concevoir vos semelles, vous devez passer chez l’ostéopathe pour qu’il corrige les dysfonctions présentes du moment afin d’arriver équilibré chez le podologue pour qu’il puisse avoir les bonnes empreintes de vos pieds.

 

–          La Tecar® Therapy  : Le principe de base est de permettre la stimulation des mécanismes naturels d’autoréparation du corps humain pour favoriser la réhabilitation rapide des fonctions musculaires et articulaires.  En fonction de chaque type de tissu, il existe une différence de potentiel d’énergie. Cette valeur est fixe et connue en fonction du tissu. Par défaut, le muscle a par exemple une différence de potentiel d’énergie de – 90 mV. Lors d’une blessure ou en cas de pathologie, cet indicateur peut tomber à -20/30 mV, entraînant un dysfonctionnement de la cellule qui durera plus ou moins longtemps en fonction du type de blessure ou pathologie. Le TECAR Thérapie permet, en stimulant sur le potentiel de la membrane cellulaire, d’accélérer le processus naturel de guérison des cellules.

–          Infiltration : À éviter ! C’est contre indiqué et cela peut laisser des traces et des adhérences au niveau sous-cutané.

 

–          Chaussettes de compression :

manchon de compression

o   Modèle pour l’effort : elles ont une structure plus rigide et vont réduire les vibrations. Elles agissent comme une aponévrose englobante.

o   Le modèle pour la récupération : plus rare (type BV sport Pro récup ) mais sa structure est plus souple et son architecture différente. Son objectif est de favoriser les échanges liquidiens, donc de favoriser la récupération.

 

–          Strap et Tapping :

o   Strap : 2 bandes circulaires, une en haut du mollet, une en bas mais au dessus des malléoles. Puis rajoutez une bande verticale. Doublez la bande verticale par deux demi-bandes, une partant du haut et la seconde partant du bas. Finissez par 2 bandes circulaires, une en haut et une en bas.

Un exemple de strapping thérapeutique expliqué en vidéo:

 

o   Tapping : Permettent de ne pas limiter le mouvement, de par leur élasticité, et soutiennent ainsi mieux muscles et articulations pendant l’effort. Les quatre principaux effets physiologiques sont :

–       Un effet sur la fonction musculaire : il facilite ou inhibe la contraction musculaire, selon le type d’application

–       La réduction de la douleur par diminution de la pression sur les mécano-récepteurs

–       L’amélioration de la circulation sanguine et lymphatique aidant à éliminer l’excès d’œdème et le drainage des hématomes

–       La réadaptation de la fonction articulaire en assistant la physiologie de l’articulation.

 

Le rôle de l’Ostéo :

Il corrigera toutes les dysfonctions articulaires présentes afin de lever les tensions accumulées et rétablir le principe d’équilibre du schéma corporel du sportif.

–          Il cherchera à faire abaisser le seuil de la douleur en stimulant des points neuro-dynamiques,

–          Il favorisera la circulation sanguine et lymphatique pour permettre une meilleure récupération des tissus,

–          Il diminuera le seuil de sensibilité des mouvements articulaires,

–          Il travaillera sur d’éventuelles limitations articulaires possiblement  dues à des tensions du tissu conjonctif ou des cicatrices et des adhérences.

 

Examens complémentaires :

–          Radio : pour éliminer la fracture de fatigue

–          Scintigraphie osseuse : montre une fixation osseuse plus étendue que dans les fractures de fatigue, peu permettre de préciser la radio.

–          Prise de sang : pourra rechercher des facteurs qui peuvent favoriser un climat propice aux tendinites et périostites : acide urique élevé, cholestérol, triglycérides.

 

Alimentation / phytothérapie / aromathérapie :

Alimentation :  Il faudra éviter les aliments acides, privilégier les aliments alcalins.

2 articles avec les bons conseils pour mieux récupérer :

http://www.medecinedusportconseils.com/2013/09/21/les-bons-conseils-de-terrain-pour-lalimentation-du-sportif/

http://www.medecinedusportconseils.com/2009/10/04/tendinite-et-nutrition/

Phytothérapie : curcumine (agent actif du curcuma), l’arnica, rue calendula de Cayenne, ruta graveolins, ferrum metallicum et le thé des bois sont des suppléments anti-inflammatoires qui peuvent aider à augmenter le flux sanguin de votre zone touchée. Autres suppléments utiles pour la périostite tibiale peuvent inclure la grande camomille, la curcumine, les acides gras essentiels et la consoude (pour renforcer les os)

Aromathérapie : On pourra utiliser de la gaulthérie couchée (pour l’inflammation) et de la menthe poivrée (pour la douleur).

 

Sur ce, soignez vous bien 😉 !

Sportivement,

Guillaume

 

Bibliographie:

Jean-Marie Bastide, Eric Perraux, Ostéopathie et sport, SULLY, 2007, 479 p.

Chantepie A., Pérot J.F., Ostéopathie et sport, Maloine, cahier n°3

Site du système de rééducation anti-gravité, Alter G: http://www.alterg.com/

Site de la Técar Thérapie: http://www.tecartherapie.fr/

 

source: http://cafe-de-l-osteopathie.fr/periostite-tibiale-le-pas-de-trop/

Remède-naturel-pour-la-goutte-et-l’arthrite

Remède naturel pour la goutte et l’arthrite

Découvrez un remède naturel pour la goutte et l’arthrite.

Si vous ressentez régulièrement de la rigidité et des inflammations douloureuses autour de vos articulations, il est probable que vous souffriez de la goutte.
Il s’agit d’un type d’arthrite causé par une accumulation de cristaux d’acide urique dans les articulations.
Bien que la goutte puisse affecter n’importe qui, elle est plus fréquente chez les personnes en surpoids et les hommes de plus de 40 ans.
Certains de ses symptômes incluent des gonflements au niveau des articulations et des attaques de douleur sévères.
L’articulation la plus couramment touchée est celle à la base du gros orteil.
La goutte est généralement traitée avec des prescriptions médicales, néanmoins il existe des remèdes naturels.

Votre remède naturel pour la goutte

Pour réaliser ce remède naturel vous devez réunir les ingrédients suivants :
– 1-2 cuillères à café de curcuma en poudre
– 1 pousse de gingembre fraiche
– 2-3 cuillères à café de gingembre en poudre
– 1 ananas
– 1 verre de jus de cerise
– 1-2 cuillère à soupe de miel (pas obligatoire)

Pourquoi utiliser ces ingrédients ?

Le curcuma contient un antioxydant nommé curcumine.
La curcumine aide l’organisme à combattre les radicaux libres qui endommagent les cellules de l’organisme.
Cet actif permet également de réduire les enflures et la douleur en limitant la production de prostaglandines.

Le gingembre contient du gingérol, un composant permettant de diminer la production des enzymes responsables de l’inflammation. Le gingérol bloque également les signaux de douleur envoyés au cerveau.

L’ananas réduit l’inflammation parce qu’il contient de la bromélaïne.
La bromélaïne aide également le corps à digérer les protéines qui sont la cause principale des excès d’acide urique dans le corps s’accumulant dans le sang et provoquant la goutte..
Selon une étude de l’Université de Boston, les cerises réduisent les probabilités d’avoir la goutte si consommées régulièrement.

Comment concocter votre remède naturel pour la goutte ?

– Epluchez l’ananas et coupez-le en morceau de taille moyenne.
– Ecrasez les morceaux uniformément avec un mixeur et filtrez le jus.
– Ensuite, ajoutez au jus le curcuma, le jus de cerise et le gingembre
– Vous pouvez ajouter un peu de miel pour le goût
– Mélangez la concoction une dernière fois avant de stocker le jus
– Assurez-vous que le récipient du remède soit étanche à l’air et de le conserver au réfrigérateur

Vous devez boire un verre par jour du remède.

Les effets du jus mettront un peu de temps avant de se faire ressentir.

Gardez à l’esprit que le jus ne doit pas être conservé plus d’une semaine

 

Source : lemag.therapeutes.com/remede-naturel-pour-la-goutte-et-larthrite

points-de-réflexologie

Ces points de réflexologie soulagent directement la douleur

La réflexologie est une ancienne pratique chinoise d’accompagnement thérapeutique, qui consiste à effectuer une pression sur des points spécifiques des mains, des pieds et des oreilles.

Ces différents points correspondent à différents organes, systèmes et parties du corps.
En appliquant une pression sur ces points, vous pouvez soulager la douleur et soutenir votre santé dans les parties les plus douloureuses de votre corps.
Vos pieds font partie des éléments les mieux connectés au reste de votre corps.
A partir d’une action spécifique sur les pieds, vous pouvez soulager des douleurs dans l’ensemble de votre corps.
Pour obtenir des résultats, vous devez masser doucement les points de réflexologie pendant environ 30 secondes et au moins 3 fois par jour.

1. Douleur au niveau de la gorge

Massez doucement le milieu de votre gros orteil pour soulager directement le mal de gorge.
Le gros orteil est étroitement lié à la gorge ainsi qu’à l’hypophyse.

2. Douleur dans le haut de votre corps

Massez doucement le point de réflexologie qui se situe là où votre gros orteil touche le reste du pied.
Cette zone permet de soulager les douleurs présentes dans votre cou, votre nez et votre colonne vertébrale.

3. Douleur dans le bas du dos

Offrez un doux massage approfondi au talon de vos deux pieds.
Vous pouvez également tremper vos pieds dans de l’eau chaude, et profitez de cet instant pour les laisser se détendre.
Le point de réflexologie au niveau du talon est merveilleux pour soulager le bas du dos, le nerf sciatique, les genoux et les mollets.

4. Douleur au niveau de la vésicule biliaire

Si vous ressentez des douleurs au niveau de la vésicule biliaire, alors vous devez massez doucement la voûte plantaire de vos pieds.
Cette zone peut également faire du bien au pancréas, au foie, aux riens ainsi qu’aux glandes surrénales.

5. Douleur au niveau des dents

Lorsque vous avez mal aux dents, concentrez votre doux massage sur le doigt du milieu de votre pied gauche.
Ce point de réflexologie est directement relié aux dents.
Il permet également de soulager certaines douleurs de tête.

 

Source: lemag.therapeutes.com/ces-points-de-reflexologie-soulagent-directement-la-douleur

perdre-kilo

3 résolutions simples pour perdre 3 kilos (garantie sans séance de sport)

Nouvelle année oblige, il faut prendre de bonnes résolutions ! Elles incluent souvent de perdre quelques kilos (ceux gagnés pendant les fêtes et plus). Pour cette année 2016, j’ai choisi de cibler le plus efficace et le plus simple. Je ne vous parlerai pas de sport cette fois mais de 3 règles simples à suivre pour perdre 3 kilos concernant la marche, l’alcool, et le repas du soir. A vous de jouer !

1/ Se déplacer : marcher ou pédaler !

En déménageant de Montréal à Rennes le mois dernier, j’ai vraiment été saisi par la différence de pas que les gens effectuent chaque jour. Je ne blâme personne car ce constat je l’ai fait sur… moi-même. Quelle diminution de marche quotidienneentre ces 2 villes ! Je suis passé de 12.000 pas à Montréal à 2.000 à Rennes. Le principal responsable ? Devinez… la voiture. On s’habitue tellement vite au confort d’avoir un véhicule que l’on arrête presque de marcher. Et pourtant, on se rend de plus en plus compte que la marche et le vélo ont un impact important sur la régulation du poids. Ces fameuses « activités physiques de faibles intensités » deviennent l’élément essentiel de nombreux régime. Pour vous dire, je pense que c’est même plus important que de faire du sport à plus haute intensité.

1ère résolution :

Faire 6000 pas quotidien .

Visez au moins 30 jours consécutif pour vous habituez. Si vous faites du vélo, visez 30 minutes par jour, au moins.

 

2/ Moins d’alcool : en journée comme en soirée !

J’en entends déjà rouspéter ! Mais pourtant, je pense que tout le monde est au courant : boire de l’alcool, ça fait grossir et pas qu’un peu ! Peut-être vous êtes-vous déjà étonné d’avoir pris du poids pendant les vacances d’été alors que vous êtes plus actif dans vos journées ? Le coupable est souvent l’alcool : apéros, soirées, etc.

Pour être honnête, je n’ai pas supprimé l’alcool pour autant. Même si l’alcool fait grossir, fatigue et gène la récupération, il a aussi un aspect social qui permet de décompresser et se marrer. Je vous laisse libre juge de votre consommation d’alcool en respectant vos croyances et votre style de vie.

2ème résolution :

Boire moins de 3 verres d’alcool par semaine (vous verrez ça fait du bien au porte-monnaie également !)

Encore une fois, tentez de tenir 30 jours.

 

3/ Limiter glucides et supprimer le dessert au diner !

Si je n’avais qu’un changement alimentaire à vous conseiller, ce serait celui-ci :surveillez surtout votre repas du soir, le dîner ! Les 2 principaux coupables du surpoids à mon avis :

  • les glucides : pain, patates, pâtes, semoule, riz, etc. Vous n’avez pas forcément à les supprimer totalement (c’est assez difficile car on a souvent faim en se couchant au début) mais au moins à les diminuer le soir. Ça ne concerne pas les autres repas.
  • le dessert : c’est un petit moment plaisir mais qui peut peser lourd sur la balance. Quitte à choisir, je préfère conseiller un goûter vers 16h (léger, on s’est bien compris ;-)) plutôt qu’un dessert le soir.

Vous verrez que ce ne sera pas facile la première semaine mais ça le deviendra par la suite.

3ème résolution :

Diminuer, au moins de moitié, les glucides le soir et supprimer le dessert (au dîner seulement).

De nouveau : objectif 30 jours de rang.

 

Source : www.huffingtonpost.fr/yann-couderc/conseil-perdre-kilos_b_8921808.html

Top 7 des aliments brûleurs de graisse

La perte de poids est principalement basée sur votre niveau d’activité physique et sur votre apport en calorie.
Néanmoins, en augmentant la quantité consommée de certains aliments, vous pouvez amener votre métabolisme à brûler des calories plus rapidement.
Nous vous proposons un top 7 des aliments brûleurs de graisse à incorporer dans vos repas :

1. Le piment

Manger des piments augmente votre taux métabolique pendant environ 20 minutes après leur consommation.
Cette réaction est provoquée par la capsaïcine présente dans le piment.
La capsaïcine a pour effet de convertir directement une partie de la nourriture que vous mangez en chaleur.
Une autre qualité intéressante du piment est le fait qu’il soit anorexigène.
Ce qui a pour effet, lorsque vous mangez une nourriture riche en piment, de vous donner une envie moins forte de manger au prochain repas.

2. L’ail

Le fonctionnement de l’ail se rapproche de celui énuméré pour le piment.
Cet aliment brûleur de graisse augmente le niveau de satiété dans le cerveau et amène le corps à augmenter son taux métabolique.
Vous pouvez bénéficier des avantages de l’ail de manière simple en l’incluant dans votre alimentation pendant la cuisson ou en ajoutant de l’ail haché dans vos salades.
L’ail a également un effet positif sur votre pression artérielle.

3. La moutarde

L’utilisation de graine de moutarde ou d’huile de moutarde dans votre alimentation peut également vous aider à maintenir votre poids.
La moutarde est riche en nutriments et possède une grande quantité de complexes B tels que les folates, la niacine, la thiamine et la riboflavine, qui vont vous aider à accélérer votre métabolisme.
L’utilisation de moutarde en remplacement de votre ketchup peut vous aider à réduire votre consommation de mauvaises graisses.

4. Le miel

Bien que le miel soit une source de sucre, il peut représenter un remplacement sain pour le sucre raffiné habituel, et il contient des bons nutriments et des minéraux.
Boire un mélange de miel et de citron avec de l’eau chaude sur un estomac vide le matin fonctionne comme un détoxifiant efficace qui va vous aider à réveiller votre métabolisme.
Consommer du miel après un repas peut aider la digestion et vous permettra de rester rassasié plus longtemps.

5. Le cardamome

La cardamome est une plante utilisée depuis la nuit des temps dans la médecine ayurvédique et elle peut améliorer le taux métabolique.
L’épice de cardamome est souvent utilisée en cuisine indienne pour les bonbons et les desserts.
Vous pouvez l’inclure dans votre alimentation et profiter de ses nombreux avantages en l’ajoutant à vos smooties.

6. Le curcuma

Le curcuma est un élément indispensable des épices en Inde et il produit les meilleures épices pour vous aider à brûler les mauvaises graisses.
Il contient un polyphénol appelé curcumine qui nous permet de le considérer comme un aliment brûleur de graisse.

7. Les épinards

L’avantage que représente les épinards dans la perte de poids est un phénomène reconnu.
L’épinard est très faible en calorie mais riche en fibres, en vitamines et en minéraux (notamment le fer).
Pour cette raison, vous pouvez manger beaucoup d’épinards et être toujours dans une fourchette de calories basses.
Vous pouvez inclure 3 tasses d’épinards dans votre alimentation, en l’ajoutant à votre salade ou à vos smoothies.

 

Source : lemag.therapeutes.com/top-7-des-aliments-bruleurs-de-graisse

exercice-pour-les-yeux

5 exercices pour les yeux qui améliorent votre vue

Nous avons tendance à considérer une bonne vue comme un acquis, mais de nombreux facteurs peuvent abîmer notre vue, tels que l’âge, l’utilisation d’écrans ou encore certains produits chimiques.
Pour prévenir les problèmes de vos yeux et pour améliorer la vue, nous vous présentons 5 exercices pour les yeux.

1. Le stylo

– Tenez un crayon en face de vous le bras tendu.
– Concentrez votre regard sur le crayon.
– Faites venir tout doucement le crayon vers votre tête jusqu’à ce qu’il soit à quelques centimètres de votre visage, sans le quitter des yeux.
– Faites repartir le crayon aussi loin que possible sans le quitter des yeux.
– Répétez 10 fois

2. La diagonale

– Déplacez doucement vos yeux vers le bas et vers la gauche.
– Maintenez la position pendant 5 secondes.
– Décalez lentement vos yeux en diagonale jusqu’à ce que vos yeux soient en haut à droite.
– Maintenez la position pendant 5 secondes.
– Répétez 5 fois sur cette diagonale
– Puis passez à la diagonale suivante et répétez 5 fois également.

3. Le côté

– Déplacez tout doucement vos yeux jusqu’à ce que vous atteignez le point le plus loin que vous pouvez voir sur votre droite.
– Maintenez la position pendant 5 secondes.
– Déplacez tout doucement vos yeux jusqu’à ce que vous atteignez le point le plus loin que vous pouvez voir sur votre gauche.
– Maintenez la position pendant 5 secondes.
– Retournez vos yeux vers le centre
– Répétez 10 fois

4. De haut en bas

– Déplacez lentement vos yeux jusqu’à ce qu’ils atteignent le point le plus haut possible que vous pouvez voir.
– Maintenez la position pendant 5 secondes.
– Abaissez lentement vos yeux jusqu’à ce qu’ils atteignent le point le plus bas possible que vous pouvez voir.
– Maintenez la position pendant 5 secondes.
– Retournez vos yeux au centre.
– Répétez le mouvement 10 fois.

5. Une douce pression

– Appuyez très légèrement avec le bout de quelques doigts sur vos paupières supérieures avec une légère pression.
– Appuyez pendant 2 secondes.
– Libérez vos doigts.
– Répétez l’action 10 fois.

 

Source : lemag.therapeutes.com/5-exercices-pour-les-yeux-qui-ameliorent-votre-vue

bienfait-de-la-banane

Voici ce qu’il se passe lorsque vous mangez une banane chaque jour

Ce fruit tropical savoureux fait partie de nos aliments préférés à la rédaction, mais au-delà de son gout délicieux, la banane est excellente pour la santé. Découvrez tout ce qu’elle peut vous apporter!

La banane agit contre la dépression

Selon une recherche menée sur des personnes souffrant de dépression chronique, il a été observé que la consommation quotidienne de bananes entrainait une nette amélioration de l’humeur.
Le responsable : Le Tryptophane présent dans la banane est une protéine que notre corps va transformer en Sérotonine, l’hormone du bonheur. Cette même hormone responsable de notre bien être et de notre bonne humeur.
En bref, même si vous n’êtes pas dépressif, manger des bananes vous permettra de vous sentir bien. Par ailleurs, la vitamine B6 contenu également dans la banane régule le niveau de glucose qui a une influence directe sur votre humeur. Jackpot donc pour votre bonne humeur.

La banane vous permet d’éviter l’anémie

La fer, présent en grande quantité dans la banane permet de stimuler la production d’hémoglobine et diminuer les risques d’anémie.

La banane vous permet de lutter contre les problèmes de pression artérielle

Ce fruit tout bête est riche en potassium, et contient également de petites quantités de sel. Hors le potassium et le sel sont tous les deux de grands alliés pour lutter contre l’hypertension artérielle. La banane est d’ailleurs utilisée dans la production de certains composés médicamenteux destinés à traiter les problèmes vasculaires cérébraux et l’hypertension artérielle.

Se prémunir des problèmes vasculaires grâce à la banane

Une étude a montré qu’une consommation élevée de bananes pendant un repas (400 g, soit environ 4 à 5 bananes) réduisait les radicaux libres (ce sont des molécules chimiques instables produites en faible quantité par l’organisme et qui provoquent le vieillissement des cellules) présents dans le corps, 2 heures après le repas. Cette diète diminue l’oxydation du LDL-cholestérol (mauvais cholestérol). La banane dessert et le plantain possèdent un pouvoir antioxydant élevé, ce qui contribue à prévenir certaines maladies graves comme le cancer, et de réduire le risque d’avoir des maladies cardiovasculaires.

La banane stimule votre mémoire

Certains médicaments commercialisés pour les problèmes de mémoire sont principalement composés de Potassium.
Devinez dans quel fruit tropical vous pourrez trouver naturellement du potassium.
(indice : c’est dans le paragraphe précédent !)

Par ailleurs, dans le cadre d’une étude menée sur deux cents élèves au Royaume-Uni, la consommation régulière (petit déjeuner, déjeuner, diner) de bananes a entrainé des résultats intéressants. Le groupe consommant régulièrement des bananes a fini par obtenir de meilleurs résultats à les examens finaux.

La banane vous aide à lutter contre la constipation

Les bananes sont riches en fibres et aident dans le travail normal de l’appareil digestif. Oubliez les laxatifs.

La banane vous aide à combattre la gueule de bois

Astuce : Un des moyens les plus rapides de diminuer les effets de la gueule de bois est de consommer une banane idéalement avec une boisson à base de lait et de miel.

La banane vous aide à combattre les brûlures d’estomac

La banane a un effet positif sur l’acidité naturelle de l’organisme. C’est un allié idéal dans la lutte contre les brûlures d’estomac.

Evitez les nausées matinales en mangeant des bananes

Une collation à base de banane vous permet de réguler la glycémie et diminue les risques de nausées matinales.

La banane peut s’appliquer en cas de piqure de moustique

Avant d’acheter des crèmes pour calmer la morsure, testez la banane !
Frottez la zone irritée avec l’intérieur d’une peau de banane. La légende prétend que cela va calmer le gonflement et l’irritation, et soulager la douleur.

La banane stimule système immunitaire et vous aide à lutter contre le stress

Les bananes sont riches en vitamine B qui permet d’activer les défenses immunitaires.

La banane permet de lutter contre les ulcères

Les bananes sont utilisées dans le cadre de maladies intestinales en raison de leur composition. En cas d’ulcère la consommation de bananes est indiquée, car elle permet de neutraliser l’acidité dans l’organisme et diminuer l’irritation de l’estomac.
« Certaines substances présentes dans les bananes stimulent les cellules qui constituent la paroi de l’estomac, cela permet de produire une épaisse barrière de mucus protectrice contre les acides gastriques. La substance, également connue sous le nom d’inhibiteurs de protéase du bananier, aide à éliminer les bactéries responsables de l’ulcère de l’estomac. »

Source : lemag.therapeutes.com/bienfait-de-la-banane/

Peut on courir enceinte?

Voici une question à laquelle je voulais répondre pour 3 raisons:

  • Beaucoup de femmes m’interrogent pour savoir s’il est autorisé de courir quand on est enceinte
  • J’ai aussi parfois des critiques quand on me voit faire du sport alors que j’attends un bébé
  • Il y a 13 ans pour ma 1ère grossesse, il m’était déconseillé de courir mais depuis les avis médicaux ont évolué.

Il est vrai qu’il y a 13 ans je ne courais pas car je jouais au rugby donc l’arrêt du sport s’est de suite imposé à moi. Et j’ai pris plus de 17 kilos sur cette grossesse… La cata!

Sur ma deuxième grossesse,j’ai couru jusqu’à 4 mois, date de mon amniocentèse. Ensuite je me suis reposée avant de faire des séances de marche rapide sur vélo elliptique. Malheureusement mon dos a fait des caprices bien que j’ai a peine pris 9 kilos sur cette grossesse.

Cette fois je dois trouver le juste équilibre entre le repos pour mon corps et le maintien d’une tonicité et le contrôle du poids pour préserver mon point faible dorsal. J’ai choisi de continuer doucement et occasionnellement à courir jusqu’à mon amniocentèse (après c’est trop risqué car la poche est piquée et elle est fragilisée). Puis je vais essayer d’autres activités ou je serai moins soumise aux impacts ainsi qu’à la pesanteur liée poids du corps qui devient de plus en plus lourd.

J’ai donc fait quelques recherches pour pouvoir vous répondre sur la compatibilité de la course à pied et la grossesse.

PEUT ON ET DOIT ON FAIRE DU SPORT ENCEINTE ?

Sachez qu’à Lille, la maternité et la métropole ont mis en place des cours de sport pour les femmes enceintes, basés sur la méthode pilates. La maternité indique même que lorsqu’il n’y a pas de contre-indications médicales, l’activité physique présente de nombreux avantages pour les patientes et notamment la diminution de l’anxiété et de la dépression durant la grossesse, l’amélioration du déroulement de l’accouchement (moins de césariennes, moins de complications de type recours aux forceps)… Des bénéfices désormais médicalement prouvés.

Il est donc possible d’exercer une activité sportive pendant votre grossesse et en plus c’est recommandé ! continuer une activité sportive pendant votre grossesse vous permettra

  • d’être en forme et de conserver un bon tonus musculaire, donc de récupérer mieux et plus vite après l’accouchement ;
  • de vous détendre ;
  • d’améliorer votre oxygénation, donc du bébé ;
  • de prévenir les problèmes de jambes lourdes et de circulation ;
  • de limiter la prise de poids, et d’autres complications liées à la grossesse (diabète, hypertension…).

QUELLES PRÉCAUTIONS FAUT IL PRENDRE ?

Il est important de vous préserver ainsi que votre bébé, ainsi tous les sports traumatiques ou à risques de chute sont à proscrire dès le début de votre grossesse.

Il est impératif de demander l’avis de votre médecin ou gynécologue avant de faire du sport pour bien tenir compte de votre état de santé. Mais il faut aussi accepter vos changements corporels et métaboliques pendant la grossesse :

  • Le volume sanguin et le débit du cœur augmentent : en plus de votre propre circulation sanguine, vous alimentez celle de votre bébé ;
  • La capacité pulmonaire diminue légèrement : vous vous essoufflez plus vite ;
  • Votre centre de gravité change : vous pouvez vous sentir « instable » ;
  • Les hormones de la grossesse rendent vos ligaments plus souples (pour laisser de la place au bébé), mais aussi plus fragiles.
  • Il faudra penser à stopper le running et consulter en cas de fatigue inhabituelle, de contractions anormales, de pertes blanches inhabituelles, en cas d’anémie ou de rythme cardiaque au repos anormalement élevé.

PEUT ON COURIR ENCEINTE ?

Le Dr Jean Simon Arfi, gynécologue, membre du comité d’expert Mon Stade a réagit sur le magazine runners World

Il indique qu’il n’y a pas de raison pour que les femmes qui couraient avant la grossesse ne continuent pas. Cependant la grossesse n’est pas le moment des exploits sportifs !

Même si au début de la grossesse, l’augmentation de la masse sanguine améliore l’endurance et peut donner l’impression de « facilité », il faut rester en deçà de ses possibilités. 80% de son allure de base est une bonne base sécuritaire.

Jusqu’à la 26e semaine, vous pouvez continuer de courir « comme d’habitude ». C’est un élément de bien-être qui permettra de reprendre plus vite après l’accouchement. Il faudra faire attention aux entorses. Pendant la grossesse, les ligaments, sous l’effet des hormones, sont plus relâchés. Évitez les parcours accidentés.

Au-delà de la 30e semaine, Il vaut mieux, pour des raisons de surcharges qui peuvent entrainer des douleurs du dos et des articulations des membres inférieurs, s’orienter vers des sports aquatiques tout en continuant à surveiller son rythme cardiaque.

QUEL TYPE DE RUNNING PENDANT MA GROSSESSE?

Oubliez les efforts intenses il faudra veiller à ce que vos sorties running soient douces ;

  • Pas de fractionné ni de sprints
  • Surveiller votre rythme cardiaque pour rester sur un rythme raisonné
  • Ne faites pas monter votre chaleur corporelle
  • Running grossesse rime avec running bien-être. Courez simplement pour rester en forme et pendant votre sortie vous devez être en facilité, donc de discuter tout au long de votre parcours.

QUELQUES TRUCS ET CONSEILS

  • Si vous courez à l’extérieur, faites un trajet en boucle près de votre domicile; si vous êtes plus fatiguée, vous pourrez facilement rentrer à la marche.
  • Il est important de bien boire et de ne pas courir lorsque les températures sont élevées.
  • Planifiez votre trajet avec des arrêts pipi et des points d’eau!
  • Habillez-vous adéquatement pour ne pas avoir trop chaud – il se peut que vous ayez plus chaud qu’à l’habitude pendant votre grossesse.
  • Le choix de la surface de course est aussi un élément à considérer. Les sentiers en terre battue sont à prioriser, pour minimiser les impacts.
  • Pensez également à courir accompagnée, le risque traumatique augmentant avec le terme.

 

Source : www.huffingtonpost.fr/val-marqueton-perez/courir-enceinte-running-conseils-footing_b_8279758.html

 

 

OSTÉOPATHIE : CRAQUERA, CRAQUERA PAS ?

Le craquement sinistre qui retentit quand le praticien manipule un membre, c’est un cliché… qui a sa part de vérité !

Mais pourquoi craquons-nous parfois quand nous allons chez l’ostéopathe ? Et faut-il le craindre ou le souhaiter ?

Un crac chez l’ostéopathe, qu’est-ce que ça veut dire ?

Quand on entend un craquement pendant une séance d’ostéopathie c’est que le praticien a manipulé une articulation en effectuant une décoaptation : il a fait sortir les os reliés par l’articulation de leur position habituelle, puis les a laissés revenir à leur position de départ. C’est ce même bruit, bien connu, que l’on entend quand quelqu’un fait craquer ses doigts en forçant sur les articulations de ses mains. Le son et le volume auquel on l’entend varient d’une personne à l’autre, et dépendent de l’articulation déplacée et du fait que les muscles sont plus ou moins contractés.

À quoi sert ce craquement ?
À rien en tant que tel ! En effet, chez certaines personnes manipuler une articulation ne fera jamais de bruit. Et, quoi qu’il en soit, le craquement n’est pas douloureux (une séance d’ostéopathie ne doit jamais faire mal).

Faut-il souhaiter le craquement ?

C’est quelque chose d’assez connu parmi les ostéopathes. Certains clients souhaitent, voire demandent, le fameux  « crac », considérant que c’est une preuve d’efficacité… D’autres en ont très peur, considèrent que c’est dangereux et refusent parfois de remettre les pieds chez un praticien qui les a fait craquer.

Ces sentiments par rapport au craquage sont parfois liés à des traumatismes. Ainsi un enfant à qui l’on a fait mal pendant une séance mal menée et qui a entendu un craquement à ce moment est susceptible de devenir un adulte qui a peur des cracs…

En vérité… les deux ont tort !

En effet, le craquement est lié à une manipulation bien spécifique, qui est conseillée dans certaines situations… mais pas toutes. Elle sera plus souvent utilisée pour un problème aigu, et d’origine mécanique – typiquement, une douleur dorsale déclenchée par un déménagement.

En revanche, si vous avez un problème chronique, une névralgie, une sciatique, le craquement ne vous sera d’aucune aide et il est inutile de le demander.

 

Source : www.e-sante.fr/osteopathie-craquera-craquera-pas

3 points d’acupression qui vont vous redonner de l’énergie !

Vous vous sentez fatigué? Vous avez l’impression de manquer d’énergie? Et pourtant vous dormez normalement (si ce n’est pas le cas, vous pouvez consulter cet article) ? Alors essayez ces 5 points d’acupression qui vont vous redonner de l’énergie ! Des études ont constaté qu’en appuyant sur les points d’acupuncture du corps, vous libérez des endorphines bloquant la transmission des signaux de douleur, et soulageant la fatigue et l’insomnie. Apprenez comment le faire.

5 points d’acupression qui vont vous redonner de l’énergie !
3 points d’acupression qui vont vous redonner de l’énergie !

Des chercheurs Américains (Université du Michigan) ont observé les effets de l’acupression en effectuant un test auprès de leurs étudiants. Pendant deux jours, les élèves pressaient les points d’acupression stimulants, puis pendant à nouveau deux jours, les élèves pressaient les points d’acupression relaxants. Les chercheurs n’avaient pas indiqué au préalable quels étaient les points stimulants ou relaxants, de manière à éviter les effets placebo. Les élèves ont constaté et témoigné naturellement de leur niveau d’énergie plus élevé lorsqu’ils appuyaient sur les points stimulants. Sans le savoir.

3 points d’acupression qui vont vous redonner de l’énergie !

Appliquez une forte pression sur ces 5 points avec le pouce et l’index ou le majeur, pendant 3 minutes, massez en avant et en arrière :
points acupression 1
Ce point d’acupression est situé à la base du crâne et de la jonction avec la colonne vertebrale.

points acupression 2
Ce point est situé entre l’index et le pouce. Appliquez l’index et le pouce de la main opposée de part et d’autre pour former un pincement. Appliquez une pression ferme tout en respirant profondément, jusqu’à gonfler complètement l’abdomen.
Points acupression 3
Ce point d’acupression se situe sur le plat du pied, à environ 2 cm de l’intérieur du pied.

 

 

Source :  lemag.therapeutes.com/5-points-dacupression-qui-vont-vous-redonner-de-lenergie