les ecrans et le sommeil
Reportage France 2: Sommeil et ecrans
Reportage France 2: Sommeil et ecrans
Les douleurs lombaires peuvent provenir d »une inflammation du nerf sciatique. Cette douleur peut se propager vers le bas et affecter les membres et les pieds. Beaucoup de gens en souffrent, et la douleur peut affecter votre routine quotidienne.
Étant donné que le nerf sciatique est situé juste à côté du muscle piriforme, la constriction ou l’inflammation du muscle peut provoquer l’irritation du nerf.
On estime que 4 personnes sur 10 auront une sciatique ou une inflammation du nerf sciatique à un moment de leur vie.
La principale cause de la sciatique est , comme mentionné précédemment, la constriction du muscle piriforme, ou un gonflement, provoqué par une blessure ou un spasme.
Il est bien de connaître différents étirements pour soulager une tension passagère après un effort ou en période de stress par exemple. Cependant lorsque cela devient pathologique il faut se soigner et se diriger vers des professionnels compétents.
Consulter votre médecin est fortement recommandé, car il peut y avoir d’autres causes plus graves
Vous pouvez tester quelques étirements du muscle piriforme pour soulager la douleur. Il est important de noter que vous devez rester dans les limites du confort, sinon vous pourriez empirer votre état. Veillez également à vous échauffer avant vos étirements.
1. Allongez-vous avec les genoux pliés vers le haut.
2. Croisez votre jambe affectée sur l’autre jambe, en la pliant vers la poitrine.
3. Prenez votre genou avec une main et la cheville avec l’autre main et lentement vers l’épaule qui est alignée avec votre cheville jusqu’à ce que vous sentiez un étirement dans la fesse.
4. Tenez pendant 30 secondes à 1 minute puis relâchez.
Voici une démonstration en vidéo:
1. En position debout, placez la jambe affectée sur le genou de l’autre jambe pour former un 4.
2. Baissez lentement vos hanches vers le sol à un angle de 45 degrés, en pliant le genou de votre jambe debout.
3. Penchez vers avant avec votre torse et tendez votre bras parallèlement au sol, tout en vous tenant droit.
4. Tenez pendant 30 à 60 secondes, puis revenez à la position initiale.
Vous pouvez également le faire à 50 cm du mur si vous avez des problèmes d’équilibre.
1. Allongez-vous sur le dos et pliez la jambe affectée vers le haut en plaçant votre pied à l’arrière du genou de l’autre jambe.
2. Tirez votre pied derrière le genou de l’autre jambe et tournez votre jambe sur le côté opposé avec le genou tourné ou qui touche le sol.
3. Placez la main sur le côté où se trouve le genou (si vous étirez la jambe droite, placez la main gauche sur le genou) et levez l’autre en l’air.
4. Commencez lentement à baisser votre autre bras vers la direction opposée au genou, dans l’intention de toucher l’épaule au sol.
5. Restez dans cette position pendant 20 secondes.
6. Retournez à la position initiale et étirez les deux jambes. Ramenez vos deux genoux et tirez doucement avec vos mains vers votre poitrine.
1. Asseyez-vous sur le sol et écartez au maximum vos jambes tendues.
2. Inclinez doucement votre buste vers l’avant vers le sol et placez vos mains loin devant.
3. Essayez de poser vos coudes sur le sol en inclinant doucement vers l’avant. Arrêtez dès que vous ressentez une douleur.
4. Tenez pendant 10 à 20 secondes et relâchez.
1. Asseyez-vous sur le sol, placez la plante de vos pieds en face de votre bassin.
2. Tenez vos chevilles avec les mains opposées (main gauche/ cheville droite et vice versa).
3. Poussez doucement vers le bas avec vos genoux, pour toucher le sol avec. Arrêtez juste avant d’avoir mal.
4. Tenez pendant 30 secondes, relâchez et faites flotter vos jambes dans cette position (comme un papillon).
1. Allongez-vous sur le côté, avec la hanche affectée vers le haut.
2. Pliez vos jambes vers l’arrière, pour former un L, tout en gardant un pied sur l’autre et vos jambes parallèles.
3. Veillez à ce que votre corps reste droit.
4. Gardez vos pieds collés, levez le genou supérieur vers le haut, tout en veillant à ce que le corps garde sa position d’origine.
5. Reprenez la position initiale, et répétez 15 fois.
1. Placez vos mains et vos genoux sur le sol (mettez-vous à 4 pattes). Vos mains doivent être alignées avec vos épaules.
2. Inclinez votre poids sur la jambe affectée et levez la jambe vers le haut.
3. Baissez lentement votre jambe, et répétez 15 fois.
1. Allongez-vous sur le sol avec le dos droit et les jambes tendues.
2. Pliez la jambe affectée vers le haut et placez le pied sur le côté extérieur de l’autre jambe, près du genou.
3. Avec la main opposée, tirez doucement le genou de la jambe affectée sur la ligne médiane de votre corps jusqu’à ressentir un étirement. Si vous ressentez une douleur, relâchez.
4. Veillez à ne pas lever les épaules et les hanches du sol.
5. Tenez pendant 30 secondes, revenez à la position de départ et changez de jambe. Répétez 2 à 3 fois.
1. Placez vos mains et vos genoux sur le sol (à 4 pattes).
2. Placez le pied de la jambe affectée sous la poitrine et tournez-le vers le côté opposé, près de la hanche, en pointant le genou vers l’épaule.
3. Baissez votre tête, jusqu’à ce que votre front touche le sol.
4. Étirez lentement la jambe non affectée derrière vous, tout en gardant le bassin droit.
5. Poussez vos hanches légèrement vers le sol.
6. Tenez pendant 30 secondes et revenez lentement à la position initiale. Répétez 2-3 fois.
1. Asseyez-vous sur une chaise et croisez la jambe affectée sur le genou de l’autre jambe .
2. Ramenez la poitrine vers l’avant, et pliez légèrement vers l’avant, tout en restant droit.
3. Tenez pendant quelques respirations et essayez de vous baisser un peu (si vous ne ressentez pas de douleur).
4. Restez dans cette position pendant 30 secondes et relâchez lentement. Répétez l’opération avec l’autre jambe.
source: https://www.sain-et-naturel.com/soulager-la-sciatique-et-les-douleurs.html
Un Français sur deux consulte un ostéopathe chaque année pour corriger les mauvaises postures et apaiser les douleurs. Depuis que la profession est encadrée par des décrets publiés en 2014, cette approche médicale non-conventionnelle connaît un engouement remarquable bien qu’elle ne soit toujours pas une profession de santé.
Il est facile d’oublier de vous étirer. C’est souvent négligé parce que les résultats ne sont pas aussi visibles que quand vous soulevez des poids. Pourtant, les étirements peuvent conduire à une meilleure posture, avec moins de douleurs, et une plus grande confiance. Ils libèrent la dopamine ce qui aide à vous sentir plus heureux et plus positif!
Vicky Timón, un expert en yoga et auteur de « Encyclopédie des exercices de Pilates, » a créé ces belles illustrations et James Kilgallon, CSCS, créateur du programme d’entretien du corps de Mazlo, a contribué aux commentaires.
36 photos bien illustrées pour vous montrer quel muscle vous étirez :
La posture du Chameau et de l’Arc à genoux, sont des cambrures et des postures d’étirement, réputées pour entraîner un déconditionnement complet du mental.
Dans cette position complètement inhabituelle, une certaine crispation ou une sensation de malaise peuvent apparaître, et le contrôle du souffle peut parfois être extrêmement difficile à réaliser. Mais il suffit simplement d’être prudent et d’apprivoiser la posture tranquillement, par étape. la position du chameau sert de préparation à la posture de l’arc à genoux.
Muscles sollicités: Adducteurs. Ceci est un excellent exercice pour ouvrir les hanches et étirer les adducteurs et ischio-jambiers. Lancer ce tronçon avec vos genoux pliés et le dos droit. Quand vos muscles commencent à se détendre vous pouvez lentement redressez vos jambes, compléter votre dos et atteindre vos pieds. Tirez légèrement sur les pointes des pieds pour libérer les muscles du mollet. Si vous ne pouvez pas atteindre vos pieds, vous pouvez utiliser une ceinture ou une serviette.
La posture de la grenouille convient pour améliorer la flexibilité des jambes (particulièrement les muscles de la cuisse). La posture de la grenouille aide à réduire la graisse excessive dans le corps particulièrement dans les cuisses, les hanches et la région abdominale.Cette posture de yoga aide à tonifier les muscles des cuisses et augmente la flexibilité des jambes. Elle aide à soulager la douleur dans les genoux, les chevilles, le dos et à avoir un meilleur fonctionnement du système digestif.
Commencez avec les deux pieds en avant dans une position large avec vos jambes aussi droites que possible. Gardez votre pied droit à plat sur le sol.
Muscles travaillés: Adducteurs.
Muscles sollicités: l’avant-bras. Une fois dans cette position appliqueZ une pression sur votre main opposée pour commencer l’étirement.
Muscles travaillés : sterno-cléido-mastoïdien « SMC ». Essayez de garder votre cou le plus longtemps possible tout en laissant tomber lentement votre oreille à votre épaule.Faites attention et évitez qu’un tassement vertébral ait lieu lorsque vos faites cela Vous pouvez progresser par palier en étant assis sur une chaise. Cela vous aidera à créer des tensions cohérentes dans le bras et le cou.
Muscles Travaillés: sterno-cléido-mastoïdien »SMC ». Commencez par une rotation lente de votre cou, tout en gardant votre menton légèrement plus élevé pour isoler le SMC. Faites attention et évitez qu’un tassement vertébral ait lieu lorsque vos faites cela. Si vous souhaitez obtenir un étirement plus profond appliquez une pression avec la main opposée à la direction que vous faites pivoter.
Muscles travaillés: sterno-cléido-mastoïdien « SMC ». Faites attention et évitez qu’un tassement vertébral ait lieu lorsque vos faites cela. Commencez par placer vos mains sur vos hanches, et inclinez la tête en arrière.
Muscles travaillés: Sternocleidomastoïdien « SCM » et trapèze. Essayez de garder votre cou le plus longtemps possible tout en laissant tomber lentement votre oreille à votre épaule, faites attention à ne pas vous appuyer sur votre colonne vertébral lorsque vos faites cela. Vous pouvez progresser par palier en étant assis sur une chaise. Cela vous aidera à créer des tensions cohérentes dans le bras et le cou.
Muscles travaillés: psoas et Quadracep. Commencez en position semi-agenouillée. Prenez votre pied en arrière et serrez votre fessier pour augmenter l’étirement sur vos muscles fléchisseurs des hanches.
Muscles travaillés: Muscles extenseurs de l’avant-bras. Une fois dans cette position appliquez une pression sur votre main pour commencer l’étirement.
Muscles travaillés: deltoïde. Appliquez une légère une pression sur votre bras pour augmenter l’étirement de votre épaule.
Muscles travaillés: trapèze. Commencez debout avec vos pieds joints. Gardez votre colonne vertébrale droite, asseyez-vous lentement vers l’arrière en rentrant le menton vers votre poitrine en même temps.
Muscles travaillés: grand dorsal. Commencez par placer les deux mains sur le coin d’un mur ou un poteau. Tout en gardant votre colonne vertébrale droite , poussez lentement vos hanches sur le côté. Évitez cet exercice si vous avez des problèmes au bas du dos.
Muscles travaillés: grand dorsal. Démarrez sur vos mains et vos genoux, puis portez lentement vos hanches vers l’arrière jusqu’à ce que votre front touche le plancher.. Cambrez votre dos et vos épaules tournés vers l’extérieur pour vous dégourdir les muscles de la poitrine.
Muscles sollicités: soléaire et gastrocnémien. Vous pouvez effectuer cet exercice sur un tapis ou sur le bord d’une marche d’escalier.
Muscles travaillés:Psoas iliaque et des ischio-jambiers. Ceci est un exercice pour les avancés, procédez avec prudence si vous avez des problèmes de hanche.
Muscles sollicités: ischio-jambiers et mollets. Commencez assis et pliez les genoux si nécessaire. Si vous avez des problèmes de dos gardez la colonne vertébrale aussi droite que possible. Vous pouvez également effectuer cet exercice couché sur le dos avec vos pieds vers le haut d’un mur.
Muscles travaillés: ischio-jambiers. Prenez cette position avec un pied devant l’autre. Mettez vos mains sur vos hanches et tout en gardant le dos droit, et commencez à plier à partir des hanches.
Muscles travaillés: fessiers. Ce mouvement a un effet global sur toutes les zones de votre corps. Si vous avez des problèmes de genoux, ou que vous ne pouvez pas garder vos talons sur le sol, faites votre squat avant de poursuivre. Commencez debout, puis abaissez vous lentement jusqu’à être accroupi. Une fois en position mettez vos bras à l’intérieur de vos jambes et appliquez une légère pression à l’intérieur de vos genoux, dans les hanches et les talons. Vous pouvez aussi prendre cette position couchée sur le dos avec vos pieds contre un mur.
Muscles travaillés: fessiers. Commencez en position assise, tirez lentement votre jambe vers votre poitrine et à l’extérieur tournez votre hanche tout en gardant votre dos droit. Vous devriez le sentir dans votre fessier.
Muscles travaillés: soléaire et gastrocnémien. Commencez dans une position avec votre pied arrière légèrement soulevé. Puis abaissez lentement votre talon vers le sol pour dégourdir les muscles du mollet.
Muscles travaillés: Obliques externes. Tout en gardant votre colonne vertébrale droite poussez lentement vos hanches sur le côté. Évitez cet exercice si vous avez des problèmes au bas du dos.
Muscles sollicités: les fessiers et les obliques externes. Cet exercice est très bien pour ceux qui essaient de gérer la douleur sciatique. Commencez par vous coucher à plat sur le dos puis mettez une jambe sur votre corps, en tournant lentement votre regard et le haut du corps dans la direction opposée. La clé de cet exercice est d’utiliser votre souffle pour ouvrir votre cage thoracique et votre articulation sacro-iliaque et région de la hanche sans mettre trop de pression sur le bas du dos. Si vous trouvez cet exercice trop difficile, vous pouvez plier vos deux genoux l’un au-dessus de l’autre. Une fois dans cette position, vous sentirez un étirement de la colonne vertébrale supérieure lorsque les genoux sont plus élevés, et plus sur la colonne et vos lombaire lorsque les genoux sont moins hauts.
Muscles travaillés: obliques externes et grand dorsal. Avec votre colonne vertébrale droite, poussez lentement vos hanches sur le côté tout en gardant vos épaules en rotation externe. Évitez cet exercice si vous avez des problèmes au bas du dos.
Muscles travillés: Obliques externes. Commencez avec une position large de votre pied avant droit, et votre pied arrière à 90 degrés. Placez votre main sur votre jambe avant. Lorsque vous êtes loin de votre jambe avant gardez votre regard sur la main qui est en l’air.
Muscles travaillés: pectoraux. Commencez face au mur avec votre pouce. Lentement tournez vous loin de la paroi et étirez votre muscle de la poitrine. Vous devriez sentir cet exercice dans les muscles du ventre.
Muscles travaillés: Poitrine et grand dorsal. Évitez cette exercice si vous avez des problèmes d’épaule.
Muscles travaillés:Muscle tibial antérieur Pour augmenter l’étirement sur votre hanche se pencher lentement en avant.
Muscles sollicités: sous-scapulaire.
Muscles Travaillés: pectoraux et muscle du grand dorsal. Placez-vous assez loin d’un mur, de sorte que lorsque vous touchez le mur votre corps devient parallèle au sol. Une fois en position, poussez votre poitrine en avant cela donnera une légère cambrure en haut du dos, et les muscles de la poitrine.
Muscles travaillés: pectoraux. Commencez par vous coucher sur le ventre sur le sol avec vos paumes vers le bas. Votre partenaire tire sur vos mains, et vous sentirez un étirement plus profond de vos muscles de la poitrine. Évitez cet exercice si vous avez des problèmes d’épaule.
Source : sain-et-naturel.com/muscle-vous-etirez.html
Vous êtes nombreux et nombreuses à m’écrire pour me demander des conseils, des informations et des exercices pour les personnes atteintes de fibromyalgie.
J’ai écrit mon article d’aujourd’hui afin de répondre à vos questions. Vous y trouverez plusieurs informations tirées de recherches scientifiques récentes. Cliquez sur les hyperliens pour avoir accès au résumé des articles (en anglais).
Notez que certaines des études citées ont été réalisées sur de petites populations et que les résultats ne peuvent pas systématiquement être généralisés à grande échelle. Or, l’ensemble de ces avancées scientifiques sont encourageantes. Elles permettent une meilleure compréhension de la fibromyalgie, de briser certains préjugés et d’améliorer les outils diagnostics, les traitements ainsi que la qualité de vie des personnes atteintes. La fibromyalgie touche de 2% à 8% de la population, hommes et femmes, et il s’agit d’ailleurs d’un problème de santé sous-diagnostiqué selon plusieurs auteurs.
Bonne lecture!
La fibromyalgie et le syndrome de fatigue chronique
Le syndrome de fatigue chronique est un problème de santé invalidant qui entraîne, entre autres, une fatigue importante qui est non résolue par le repos et qui perdure au-delà de 6 mois, des difficultés cognitives (attention, concentration, etc.), des maux de tête, et d’autres types de douleur. Une étude publiée récemment a démontré que les personnes ayant à la fois un diagnostic du syndrome de fatigue chronique et celui de la fibromyalgie éprouvaient de moins bonnes capacités fonctionnelles, davantage de douleur, et plus de difficultés cognitives que les personnes ayant reçu comme seul diagnostic le syndrome de fatigue chronique.
Les résultats de cette étude soulèvent l’importance d’une intervention globale qui devrait inclure un suivi psychologique ainsi qu’une rééducation physique,fonctionnelle et cognitive.
Les impacts au quotidien
Une étude réalisée auprès de 257 femmes souffrant de fibromyalgie a déterminé que 95 % d’entre elles démontraient une diminution de capacités dans des activités quotidiennes qui requièrent des habiletés motrices (déplacement de la personne ou d’un objet). Aussi, 40 % de ces femmes éprouvaient de la difficulté dans des activités plus complexes, soit celles qui nécessitent une forme d’adaptation ou d’organisation, notamment du temps ou de l’environnement.
Si vous êtes concernés par cette situation, vous ou l’un de vos proches, sachez que les ergothérapeutes sont des professionnels dont les compétences vous aideront à mieux fonctionner lors de vos activités quotidiennes. Consultez le site de l’Association nationale française des ergothérapeutes pour trouver un ergothérapeute près de chez vous.
Les nerfs [1]
Depuis quelques années, des études évoquent des anomalies dans les nerfs de petite taille chez les personnes touchées par la fibromyalgie. Cette hypothèse a été renforcée cette année par des chercheurs allemands qui ont procédé à des biopsies sur des patients atteints de fibromyalgie, concluant que le diamètre de leurs nerfs de petite taille était effectivement plus réduit que celui des personnes non fibromyalgiques.
D’autres auteurs avancent aussi l’hypothèse que les caractéristiques de ces nerfs de petite taille auraient possiblement des liens avec l’inflammation et le système immunitaire de la personne.
Certains chercheurs apportent toutefois quelques bémols sur l’importance des spécificités de ces petits nerfs dans la fibromyalgie, en soulevant l’idée qu’il s’agit peut-être d’une réaction d’adaptation du système nerveux et qu’il est difficile d’établir un lien de causalité.
Les nerfs [2]
La dopamine est un messager chimique (neurotransmetteur) important dans la transmission et l’interprétation de la douleur. Des anomalies quant aux récepteurs de la dopamine auraient été observées chez des patients atteints de fibromyalgie, notamment dans certaines régions de leur cerveau. Cela aurait des conséquences sur la perception de leur douleur en ce qui a trait au degré de sensibilité, de tolérance, ainsi que dans la mise au point de traitements plus efficaces.
Différences entre fibromyalgie et dépression
Le cerveau des personnes atteintes de fibromyalgie réagirait davantage aux stimulations douloureuses que ceux des personnes non fibromyalgiques et, par surcroît, que ceux des personnes atteintes de dépression. Il s’agit là d’une différence marquée entre deux problèmes de santé qui sont parfois malheureusement confondus, soit la dépression et la fibromyalgie. Ces résultats sont tirés d’une étuderéalisée en Allemagne ; celle-ci apporte aussi d’autres précisions quant aux différences entre ces deux pathologies en ce qui concerne l’activation de certaines régions du cerveau.
La marche, la montée d’escaliers et la consommation d’oxygène
Des chercheurs des Pays-Bas et de la Belgique se sont notamment intéressés à la consommation d’oxygène pendant la marche et la montée d’un escalier chez les personnes atteintes de fibromyalgie. Fait intéressant: les personnes fibromyalgiques nécessitaient davantage de temps pour une même distance, que ce soit lors de la marche ou de la montée d’un escalier, mais leur consommation d’oxygène ne différait pas de celle du groupe contrôle.
De plus, les personnes qui exprimaient un état de fatigue plus marqué démontraient une plus grande peur de bouger, aussi appelée kinésiophobie.
La cigarette: qui dit vrai?
Une étude effectuée auprès de femmes souffrant de fibromyalgie a démontré que la majorité des participantes ne croyaient pas que la cigarette contribuait à l’augmentation des symptômes. Celles-ci disaient toutefois utiliser la cigarette pour les aider à mieux gérer la douleur, notamment comme distraction ou moyen de relaxation.
Or, la cigarette ne semblait pas avoir d’effets positifs sur leurs symptômes, du moins lorsque ceux-ci étaient mesurés de façon objective. La cigarette ayant des impacts plutôt négatifs. Cette conclusion est en accord avec celle d’une recherche publiée dans la revue Pain Medecine impliquant 1 566 patients : les personnes qui fument quotidiennement et qui sont atteintes de fibromyalgie percevraient davantage de douleur que celles qui ne fument pas. Et vous, qu’en pensez-vous?
Des liens avec le lupus érythémateux
La prévalence de la fibromyalgie serait plus élevée parmi les personnes atteintes de lupus, soit jusqu’à 6,9 %. De plus, ces personnes manifesteraient beaucoup plus fréquemment certains signes cliniques associés à la fibromyalgie, comme la dépression et les maux de tête.
Les effets des symptômes sur le cerveau
Les symptômes de la fibromyalgie affectent-ils l’activité du cerveau? Il semblerait que oui, à croire des chercheurs espagnols et américains qui ont répondu à cette question en étudiant le cerveau de 46 femmes, dont la moitié avait reçu un diagnostic de fibromyalgie.
Un état de détresse psychologique plus élevé était notamment associé à une diminution du volume de la matière grise de régions précises du cerveau. En contrepartie, la douleur, l’anxiété et la somnolence étaient reliées à une augmentation de volume de la matière grise. Notez que ces changements n’avaient pas uniquement lieu dans des endroits du cerveau qui sont responsables de la douleur, ouvrant ainsi la voie à une réflexion, selon les auteurs de l’étude, sur des liens probables entre la fibromyalgie et d’autres caractéristiques du cerveau, notamment la plasticité.
Programme d’exercices et aérobie
Dans un contexte de fibromyalgie, il peut être aidant de pratiquer une activité aérobique adaptée à votre condition de 15 à 30 minutes, 3 à 4 fois par semaine, pendant au moins 6 semaines.
Le principe de progressivité doit être appliqué. Choisissez d’abord un niveau de difficulté inférieur à vos capacités ; l’effort doit être minimal. Puis, augmentez graduellement la durée, l’intensité et la fréquence selon vos capacités.
Cette activité peut d’ailleurs être réalisée en position debout, assise, et même couchée. Et comme promis, je vous propose un programme d’exercices tirés de mon plus récent livre. Celui-ci s’adresse à la respiration [R1, R2, R5 et R6], la souplesse [A5, A6, A7 et A10], la force [F3, F4, F5 et F7] et l’équilibre [S1, S2, S5 et S6].
Que ce soit ce programme-ci ou un autre, de votre choix ou donné par un de mes collègues kinésithérapeutes, faites de 6 à 8 exercices, 3 à 4 fois par semaine à raison de 15 à 30 minutes par séance. Variez les exercices régulièrement, et aucun d’entre eux ne doit reproduire ou provoquer la douleur. Dosez l’intensité, la longueur et la quantité des pauses en fonction de vos capacités. En espérant que ces conseils et ces informations vous soient utiles. Bon courage!
Source: www.huffingtonpost.fr/denis-fortier/fibromyalgie-dencourageantes-donnees-scientifiques_b_9554584.html
Apprenez à reconquérir votre sentiment de sécurité, que vous soyez en état de Stress Post-Traumatique ou que vous ayez seulement besoin d’un coup de pouce.
Lorsque vous vivez un traumatisme, vous pouvez commencer à être inquiet par le monde qui vous entoure, et dans certains cas en développer une peur panique.
Pour récupérer vos moyens et accélérer votre récupération d’un état de stress post traumatique (ESPT) , il est essentiel de retrouver un sentiment de sécurité et de contrôle au quotidien.
Quand vous pensez au sentiment de sécurité, quels types d’images et de sentiments s’offrent à vous ?
Qu’est-ce qui vous offre la sensation d’être protégé ?
Vos réponses peuvent être, soient de l’ordre interne (vous avez des moyens de vous défendre), soient de l’ordre externe (un élément extérieur peut apporter une protection).
Un traumatisme peut avoir pour effet d’activité le mode survie de votre cerveau et de votre corps, à des moments inopportuns, ou provoquer ce mode sans pouvoir l’arrêter naturellement.
Votre esprit et votre corps anticipent sur des éléments négatifs, puis créent un sentiment d’alerte et de danger qui ne reflètent pas la réalité de l’instant.
Commencez par prendre conscience des éléments positifs, des protections que vous pouvez avoir et des personnes qui vous sont favorables et sur lesquelles vous pouvez d’ores et déjà compter.
Nous vous partageons une liste pour vous inspirer :
• Un ami qui sait écouter
• Un animal de compagnie
• La beauté de la nature
• Un instant de silence et de paix
• L’amour d’un membre de la famille
• Une chanson qui vous met de bonne humeur
• Un repas qui vous met de bonne humeur (découvrez nos recettes préférées)
• Un parfum ou une odeur qui vous fait sentir du réconfort
Prenez un moment pour noter tous les éléments de sécurité et de réconfort qui vous passent par l’esprit et que vous pouvez trouver dans votre journée.
Pensez aux personnes que vous connaissez et aux endroits familiers que vous traversez dans la journée.
Selon le neuropsychologue Rick Hanson : « le cerveau prend sa forme à partir de ce sur quoi il repose ».
En clair, notre cerveau se modifie constamment en fonction de ce qui le traverse.
Si vous ressassez des pensées négatives, votre cerveau se développe de manière à les renforcer.
Si vous développez votre biais de positivité, votre cerveau va renforcer vos sentiments positifs.
Notez bien que l’idée ici n’est pas de faire du « positivisme » mais bien de vous rééquilibrer, pour ne pas avoir des émotions négatives et des sentiments de panique sans raisons, produits par votre environnement.
Nous voulons renforcer le positif, mais nous ne recherchons pas à nous mentir ou à nous détourner de la situation.
L’idée est de créer de véritables expériences positives qui vont permettre à votre esprit de se rééquilibrer.
L’exercice qui suit va vous permettre de vivre une expérience positive pendant au moins 10-20 secondes.
Vous devez le répéter 6 fois par jour pour avoir de véritables résultats.
L’équation de l’exercice ressemble à ceci :
Expérience positive + pleine conscience = renforcement neuronal
Nous vous donnons un exemple très simple, basé sur le plaisir de l’alimentation.
Nous vous conseillons de choisir ce qui est le plus personnel pour vous.
Il peut s’agir d’un autre aliment ou d’une autre action, par exemple un câlin a votre chat.
Les 3 étapes de votre expérience positive :
1. Choisissez un aliment que vous aimez, que vous adorez.
2. Mangez plus lentement que d’habitude, dégustez l’aliment.
Soyez conscient de son goût, de son odeur, faites le glisser dans votre gorge, prenez conscience de l’ensemble des sensations de votre corps.
3. Restez concentrer sur cette sensation positive pendant une période de 10 à 20 secondes.
Cet exercice très simple sera plus efficace si vous suivez également les 10 étapes pour se remettre d’un traumatisme qui seront le complément idéal pour rééquilibrer votre vie.
Source : lemag.therapeutes.com/comment-reconquerir-un-sentiment-de-securite
Le stress fait partie de votre quotidien et vous n’arrivez pas à le gérer ? Apprenez un exercice de sophrologie pour évacuer votre stress en 1 minute.
Le stress est la réaction d’adaptation de l’organisme face à un changement survenant dans son environnement. Chaque individu réagit en fonction de sa propre structure, de son terrain génétique, de sa culture, de son éducation et de son histoire. La perception du stress et la capacité à y répondre constituent le seuil de tolérance au stress d’un individu. Trois principaux facteurs de stress sont reconnus : environnementaux (compétitivité, bruit, horaires, charge de travail etc.), relationnels (rupture, absence de communication etc.) et personnels (l’histoire personnelle influe sur la façon de réagir). Lors d’un épisode de stress, on peut sécréter de l’adrénaline ou de la cortisone. L’adrénaline caractérise un stress ponctuel qui accroît la fréquence cardiaque et respiratoire, la tension et le sucre dans le sang. En revanche, le stress qui dure produit de la cortisone, afin de limiter la douleur physique, et la tension artérielle reste élevée pour alimenter la circulation dans la tête et les jambes. On distingue le bon et le mauvais stress. Le bon stress fournit un sentiment positif d’efficacité, d’acuité et rend plus performant, alors que le mauvais stress est issu d’un évènement traumatique et persiste au-delà de la présence de l’agent stresseur. Le stress chronique est un mauvais stress parce qu’il accroît la vulnérabilité aux stresseurs.
Quand on ne peut pas réagir face au stress, nos réactions biologiques deviennent néfastes. Le stress entraîne des troubles physiques (tensions, blocages, insomnie, troubles circulatoires ou digestifs, rupture physique ou mentale), des troubles psychologiques (anxiété, déprime), et des troubles comportementaux (agressivité, irritabilité, perte d’écoute et de concentration etc.).
Un exercice de sophrologie facile à réaliser lorsque vous ressentez ces symptômes : le pompage des épaules.
Je vous propose des solutions avec des exercices de sophrologie pour lutter contre ce problème envahissant au quotidien. Vous pouvez maîtriser les émotions en apprenant à vous détendre physiquement et psychologiquement et en apprenant à mieux respirer. Il y a de réels effets physiologiques lors de la respiration contrôlée et de la contraction musculaire. Travailler aussi sur le positif permet de se concentrer sur ses capacités et ses sensations. La pratique de la sophrologie accroît la sécurité intérieure, la confiance en soi et la dynamique d’adaptation. De plus, la sophrologie permet de percevoir avec plus d’acuité les messages et les signaux du stress.
Je vous propose divers exercices et des visualisations en séance, faciles à reproduire à la maison, au travail, dans les transports. Ne vous laissez pas empoisonner par le stress, pratiquez la sophrologie !
Ils étaient attendus depuis deux ans. Ce mardi 15 septembre, les premiers auto-tests de dépistage contre le virus du Sida sont donc disponibles à la vente en pharmacie. Comment fonctionnent-ils? Combien coûtent-ils? Et sont-ils vraiment fiables? Le point sur cette innovation qui devrait pouvoir élargir le dépistage à un nombre plus grand de personnes infectées par le VIH.
Ce test est constitué d’un auto-piqueur à utiliser sur le bout de son doigt. Une fois la goutte de sang apparue, il faut la prélever avec l’auto-test et insérer celui-ci dans le support qui contient le réactif. Au bout de 15 minutes, le résultat apparaît sur la petite bandelette.
Le site Sida Infos Services revient dans une vidéo sur la bonne utilisation de ce test:
« Ce test permet la détection des anticorps anti-VIH-1 et anti-VIH-2. Si ces anticorps anti-VIH-1 et/ou anti-VIH-2 sont présents, ceux-ci vont se fixer aux antigènes VIH-1/2 fixés sur le support du test. C’est ce complexe antigène/anticorps qui sera révélé par l’apparition d’une deuxième bande colorée sur le test, la première bande correspondant à la réaction « contrôle » permettant de s’assurer que le test n’est pas défectueux et a été bien réalisé ».
Le test sera en vente en pharmacie à un prix inférieur à 30 euros mais qui pourra varier selon l’officine. Ce test sera vendu sans prescription sur ordonnance, il ne sera pas remboursé par la Sécurité Sociale.
Attention aux contrefaçons, seul le laboratoire français AAZ a obtenu le marquage CE.
Ce test devra être réalisé « trois mois après la dernière prise de risque » pour qu’il puisse efficace à 99%. Pratiqué avant cette période sur un organisme possiblement infecté, il n’aura pas développé un taux suffisant d’anticorps pour être détectable avec cette méthode. Cependant, les tests pratiqués en laboratoire ou en centre de dépistage peuvent, eux, être efficaces six semaines après une possible infection.
Après une conduite à risque, il est aussi possible, dans les 48 heures qui suivent, de se rendre aux urgences pour une consultation et un éventuel traitement prophylactique post-exposition.
Si le test a été réalisé dans de bonnes conditions et que son résultat est négatif, inutile de le coupler à un autre test plus poussé. Ce résultat signifie donc qu’il y a trois mois la personne qui réalise ce test n’a pas été infectée. Si le résultat est positif, un test en laboratoire ou en centre de dépistage est nécessaire pour confirmer le diagnostic.
Ce test disponible sans ordonnance sera vendu librement, y compris aux mineurs sans besoin d’une autorisation parentale.
Aujourd’hui, en France, 150.000 personnes vivent avec le VIH dont 30.000 sans le savoir. La ministre de la Santé, Marisol Tourraine a souhaité ce lundi 14 septembre que ces autotests puissent être mis gracieusement à la disposition des usagers, dans les structures de prévention du VIH et via les associations de patients engagées dans la lutte contre le SIDA.
Source: http://www.huffingtonpost.fr/2015/09/14/auto-test-vih-pharmacie-sida_n_8132574.html
Le monde est en train de s’éveiller sur le fait que, lorsqu’on donne au corps ce qu’il lui faut, le corps est capable de soigner des choses que l’on pensait incurables. Les caries dentaires, notamment, sont un bon exemple! La recherche sur la nature profonde de la désagrégation des dents est en train d’être révélée au grand public, ainsi que le fait qu’il existe des remèdes prouvés qui fonctionnent.
Le mensonge sur les caries
Selon l’Association Dentaire Américaine, « les caries apparaissent lorsque les aliments riches en glucides (sucre ou amidon), comme le lait, les sodas, les fruits secs, les gâteaux ou les bonbons, restent en contact avec les dents. Les bactéries vivant dans la bouche prospèrent sur ces restes de nourriture, et produisent de l’acide qui détruit l’émail des dents, ce qui provoque des caries ».
Mais il y a des problèmes avec cette théorie:
• Il existe des populations indigènes qui ont un régime riche en glucides et qui ne se brossent jamais les dents, et où quasiment personne n’a de caries.
• Les bactéries ne consomment pas de sucre raffiné ou de farine blanche, à cause du manque de nutriments.
• Les aliments consommés par les bactéries, comme le lait, les légumes, la viande, le poisson ou les fruits, sont rarement impliquées dans l’apparition des caries.
Donc si l’explication moderne des caries est imprécise, quelle est la véritable cause des caries ?
La raison véritable de l’apparition de caries
Les caries, selon le Dr. Weston Price et d’autres pionniers de la médecine dentaire, sont causées par 3 facteurs:
1. Pas assez de sels minéraux dans votre régime alimentaire.
2. Pas assez de vitamines A, D, E et K dans votre régime alimentaire
3. Trop de nutriments non-naturels (cf. nourriture industrielle) que les intestins ne sont pas capables d’absorber correctement. La présence d’acide phytique influence beaucoup ce facteur.
Si votre régime alimentaire manque de vitamines ou de minéraux durant une longue période, ou s’il contient de hauts niveaux de phytates (venant de céréales, noix, fruits et légumes secs), la composition du sang, le taux de calcium et le taux de phosphore sont déséquilibrés; cela signifie que le corps doit aller pomper ces minéraux là où il peut en trouver, à savoir… dans les os, ce qui va provoquer une dégradation des dents et des os.
Cela signifie que la croyance populaire que « le sucre provoque des caries » est vraie, mais pas à cause d’une production d’acide qui attaque les dents: parce que le sucre est l’un des éléments qui déséquilibre le corps et provoque la dégradation des masses osseuses.
Les aliments pour soigner et prévenir les caries
Pour restaurer les niveaux de calcium et de phosphore dans le sang, et permettre aux minéraux issus de la nourriture de « nourrir » les dents, il n’est pas suffisant d’arrêter la consommation de sucreries ou de nourriture industrielle. Il faut faire un régime riche en minéraux et en vitamines qui vont reconstruire une structure dentaire solide!
Les aliments à privilégier sont:
• L’huile de noix de coco, le beurre clarifié (ghee), la viande biologique ou bleu-blanc-coeur, les fruits de mer ou le bouillon d’os.
• Les légumes biologiques cuits (les soupes avec du bouillon d’os sont idéales) et les légumes feuilles crus riches en minéraux (kale, épinards…)
• Les abats, comme le foie.
Limitez les aliments riches en acide phytique, comme les céréales, les haricots, les noix et les graines, tout en limitant l’apport d’aliments transformés plein de farines raffinées et de sucres qui perturbent la glycémie.
Les suppléments à envisager sont les suivants:
• L’huile de foie de morue – très riche en vitamines liposolubles A, D et K.
• Le magnésium – nécessaire pour utiliser le calcium et le phosphore efficacement.
• La gélatine – si vous n’avez pas le temps de faire du bouillon d’os, c’est une bonne alternative et c’est idéal pour les gencives et la digestion.
http://www.sante-nutrition.org/comment-guerir-naturellement-les-caries/
Maintenant, allez retrouver votre sourire blanc nacré.