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Soulager les 5 causes fréquentes de mal de tête

 

Découvrez les 5 causes les plus fréquentes de mal de tête et ce que vous pouvez faire pour y remédier.

Les facteurs nutritionnels

Si vous souffrez quotidiennement de maux de tête, il se pourrait que son origine soit alimentaire.
Certains aliments sont connus pour pouvoir provoquer des maux de tête, tels que :
• Les fromages fondus
• Le chocolat
• L’alcool
• La caféine
• La viande
Vous pouvez essayer de réduire un de ses aliments, ou carrément le supprimer, pendant une période d’une semaine pour observer les effets.

La déshydratation diminue le débit sanguin vers le cerveau

Lorsque votre corps est déshydraté, il peut provoquer un rétrécissement des tissus, provoqué par la manque d’eau suffisant.
Une consommation insuffisante d’eau diminue également le volume de sang, et par-là la quantité d’oxygène et le débit sanguin vers le cerveau.
Assurez-vous de voire entre 6 et 8 verres d’eau par jour.

Le stress augmente la pression sanguine

Le stress fait partie de la vie, mais lorsqu’il est hors de contrôle, il peut provoquer des dégâts sévères.
Il provoque des maux de tête en augmentant la pression sanguine et en provoquant des tensions musculaires.
Si vous êtes stressé vous pouvez essayer la sophrologie ou consulter cet article

Les troubles de l’articulation de la mâchoire

Les troubles de l’articulation de la mâchoire peuvent provoquer des maux de tête.
Les symptômes de ce genre de troubles sont la capacité réduite à ouvrir la bouche, des difficultés à mâcher, les douleurs au niveau (ou proche) des oreilles.
Si vous ressentez ce type de problèmes, vous pouvez consulter votre dentiste, qui vous guidera dans le choix du traitement pour réduire la tension.
Dans des cas très graves, la chirurgie ou des implants peuvent être recommandés pour vous aider à mettre un terme à la douleur chronique.

Le surmenage peut provoquer des maux de tête

Faire de l’exercice est sain, néanmoins si vous en faites de manière excessive, ils peuvent provoquer des maux de tête.
Une pratique trop intense, ou trop longue, peut provoquer des douleurs.
Si vous faites régulièrement de l’exercice et que vous avez régulièrement des maux de tête, vous pouvez en parler avec votre médecin pour refaire votre routine d’exercice.

 

Source : lemag.therapeutes.com/soulager-les-5-causes-frequentes-de-mal-de-tete/

Continuer à courir même quand il fait très froid, c’est possible en s’y préparant

 

L’hiver approche à grands pas, mais ce n’est surtout pas une raison pour hiverner! Quelques conseils utiles vous aideront à garder le rythme, même quand le mercure chute sous zéro.

« Oui, c’est possible de courir à -25°C », nous lance avec enthousiasme Nicolas Spiess, »On peut y prendre plaisir même avec des températures extrêmes », martèle-t-il. Mais il faut bien s’équiper.

Installé à Montréal depuis un an, le jeune Français de 27 ans a goûté à la rudesse de l’hiver québécois. Ce qui ne l’a pas empêché de courir jusqu’à 50 km par semaine. Bien que les températures soient plus clémentes pour les coureurs en France, qui de mieux placé pour nous offrir quelques précieux conseils.

running froid
1. Protégez les extrémités de votre corps

Le froid diminue l’afflux sanguin dans les extrémités du corps. « Dès que tu as froid aux mains et aux pieds, tu ne peux plus te réchauffer », témoigne Nicolas Spiess. Des gants polaires et des bonnes chaussettes, en laine de mérinos par exemple, deviennent des accessoires indispensables.

2. Couvrez votre tête

Il ne faut surtout pas oublier la tête, responsable de la perte de 30 % de la chaleur de votre corps. Le bonnet ou le bandeau de course est obligatoire lors des sorties hivernales pour éviter de faire chuter votre température corporelle.

3. Enfilez plusieurs couches de vêtement

En s’habillant, il faut penser à la « technique des trois couches ». Il est préférable d’enfiler d’abord un vêtement collé au corps pour bien conserver la chaleur. Ensuite, vous pouvez porter deux autres couches qui serviront d’isolants. « Il en faut deux pour créer des zones de tampon de chaleur », explique-t-il. La troisième couche doit résister à la pluie ou au vent: elle doit surtout être adaptée aux conditions climatiques de votre région.

4. Chaussez la bonne basket

Si vous courez sur la neige ou la glace, il devient impératif d’utiliser les chaussures à crampons, spécifiques au trail. Autrement, vous risquez de chuter et de vous blesser. Si vous courez en Ile-de-France ou dans une région où la neige est absente (ou enlevée rapidement), la même paire de baskets qu’en été conviendra.

5. Portez des lunettes

En hiver, la réverbération du soleil sur la neige peut vous aveugler. Une bonne paire de lunettes vous sera très utile. De plus, il faut « éviter que l’air froid entre directement en contact avec les yeux car ils peuvent geler », explique Nicolas Spiess.

6. Protégez votre peau

Le froid assèche la peau. N’hésitez pas à appliquer une bonne crème hydratante et un baume pour les lèvres afin d’éviter les gerçures. De plus, s’il y a de la neige, pensez à une lotion qui contient une protection contre les rayons ultraviolets. Attention aux engelures. Le petit secret de Nicolas? Un foulard de la marque Buff qu’il porte au cou et qu’il monte à sa guise en fonction du froid et du vent.

7. Prévoyez la direction des vents

Avant de partir, jetez un oeil à la météo pour mieux organiser votre parcours de course. Évitez un long retour avec un vent de face, qui risque de vous frigorifier, surtout si vous êtes trempé par la sueur, la neige fondante ou la pluie. Des boucles plus courtes, près de la maison, rendront votre course plus agréable.

8. Adaptez votre rythme

Est-ce dangereux de courir dans le froid ? « Non, mais évitez de trop vous essouffler », prévient Nicolas Spiess. L’air froid qui entre dans les poumons rend la respiration plus difficile. Les coureurs doivent donc adapter leur rythme en fonction du thermomètre. Si vous souhaitez pousser votre cardio, préférez le tapis de course en intérieur.

Avec un équipement adapté et une bonne organisation, vous avez maintenant tous les outils pour dompter et apprécier l’hiver.

 

 

Source : www.huffingtonpost.fr/2015/11/28/courir-froid-possible-preparation_n_8646326.html

Comment s’endormir en moins d’une minute tous les soirs?

 

Le sommeil est essentiel pour être en forme et en pleine possession de ses moyens. Le sommeil peut être perturbé par un repas pris trop tard, par le stress ou par l’excès d’utilisation de vos écrans (ordinateur, téléphone…) dans la soirée. Pour renouer avec un sommeil rapide et naturel, nous vous présentons la technique de respiration « 4-7-8″.

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La méthode « 4-7-8″?

Cette méthode a été développée par le Dr Andrew Weil chercheur. Elle est basée sur le rapport entre la méditation, la respiration et la diminution du stress. La méthode 4-7-8 est accessible à tous : respirez par le nez pendant 4 secondes, maintenez l’air dans vos poumons pendant 7 secondes et enfin expirez pendant 8 secondes.

Cette méthode de respiration vous permet de vous endormir facilement parce qu’elle va ralentir votre rythme cardiaque et vous apaiser. Lorsque que vous êtes stressé, votre système endocrinien sécrète de l’adrénaline à travers vos glandes surrénales, ce qui élève votre rythme cardiaque. En conséquence, votre respiration devient rapide et superficielle; l’exercice 4-7-8 rétablit le juste équilibre qui va vous permettre de vous endormir.

Vous êtes sceptique? La méthode vous parez trop simple? Pourquoi ne pas essayer une méthode qui dure moins d’1 minute? La plupart des pratiquants s’endorment autour de la quatrième série.

 

Source : lemag.therapeutes.com/comment-sendormir-en-moins-dune-minute-tous-les-soirs/

Vous ne devinerez jamais ce que la carotte va faire pour vous

 

Facile à cuisiner et savoureuse, la carotte n’est pas seulement un plaisir  gustatif, c’est aussi une mine de vertus pour votre santé.

Le bienfait de la carotte ne se limite aux vieux adages sur la vue… elle va vous surprendre!

La carotte, en prévention des maladies cardiovasculaires

Dans une étude destinée à identifier la valeur thérapeutique de carottes, des chercheurs Ecossais (Laboratoire Wolfson à Édimbourg) ont démontré sur un échantillon de testeurs que leur niveau de cholestérol avait diminué d’environ 11% grâce à la consommation quotidienne de 196 grammes de carotte pendant 3 semaines.

Hors l’hypercholestérolémie est un facteur majeur des maladies cardiaques.

En partant du fait que la consommation régulière de carottes réduit le niveau de cholestérol, il vous sera de les introduire dans votre alimentation quotidienne si vous souhaitez vous prévenir des problèmes cardiaques.

Dans une autre étude, un groupe de chercheurs suédois a découvert que la carotte peut réduire les risques de crise cardiaque. Dans une troisième étude menée par l’Institut Mario Negri de recherche pharmacologique, en Italie, il a été révélé que la consommation de carottes permettrait de réduire considérablement les risques de crise cardiaque (33%). Bien que ces chiffres nous paraissent élevés, force est de constater que les bénéfices de la carotte convergent autour de la présention des maladies cardiaques.

 

La carotte ne vous guérit pas du cancer, mais elle peut jouer un rôle dans la prévention

Les antioxydants contenus dans la carotte, en particulier la bêta-carotène, peuvent jouer un rôle dans la prévention du cancer. Une étude a révélé que les fumeurs qui mangent des carottes plus d’une fois par semaine ont un risque de cancer du poumon inférieur à ceux qui n’en consomment pas. (Précisément : la consommation croissante de bêta-carotène de 1,7 à 2,7 milligrammes par jour réduirait le risque de cancer du poumon de plus de 40 pour cent. La carotte contient en moyenne environ trois milligrammes de bêta-carotène)

Une autre étude dévoile qu’un régime riche en bêta-carotène peut aussi vous protéger contre le cancer de la prostate.

La consommation de bêta-carotène serait également associée à un risque plus faible de cancer du côlon et l’extrait de jus de carotte pourrait vous aider à lutter contre les cellules leucémiques et inhiber leur progression.

Les carottes contiennent également du Falcarinol, un alcool gras qui pourrait stimuler les mécanismes de lutte contre le cancer dans le corps, en théorie pour l’homme et en pratique chez le rat.

 

La carotte protège vos yeux

Une carence en vitamine A peut entrainer la détérioration des photorécepteurs de l’œil,  conduisant à des problèmes de vision. Manger des aliments riches en bêta-carotène peuvent « restaurer » la vision et vous prémunir de la cécité nocturne naturelle avec l’âge, confirmant ainsi le vieil adage que les carottes sont bonnes pour vos yeux.

La carotte réduit l’hypertension et protège votre coeur

Les carottes sont riches en potassium, vasodilatateur qui permet de détendre la tension dans vos vaisseaux sanguins et les artères, augmentant ainsi le flux sanguin et favorisant la circulation, et  réduisant le stress sur le système cardio-vasculaire.

L’hypertension artérielle est aussi directement liée à l’athérosclérose, aux accidents vasculaires cérébraux et aux crises cardiaques.

La coumarine présent dans les carottes est également reconnu pour agir contre l’hypertension.

La carotte va booster votre système immunitaire

Les carottes dispose de vertus antiseptiques et antibactériennes qui la rende idéal pour stimuler le système immunitaire.

Par ailleurs, les carottes sont riches en vitamine C, ce qui stimule la prolifération des globules blancs,  importants dans votre système immunitaire.

La Carotte protège votre foie et votre intestin

La carotte dispose de qualités antiseptiques et peut être utilisé comme remède naturel pour certaines maladies du foie. Par ailleurs, La carotte et le jus decarottes ont une action cicatrisante sur la muqueuse intestinale.

La carotte vous aide à lutter contre la mauvaise haleine

La carotte peut stimuler la sécretion de salive. Hors la salive est une substance alcaline, qui combat les bactéries et les corps étrangers responsables de la mauvaise haleine et de mauvaise santé bucco-dentaire.

La cuisson peut développer le contenu nutritionnel de la carotte

Contrairement à la majorité des cas de cuisson pour les légumes, la carotte serait meilleure pour la santé cuite, que crue. E effet, une étude a révelé que les carottes cuites disposent de niveaux plus élevés de bêta-carotène et d’acides phénoliques que les carottes crues, et l’activité antioxydante a continué à augmenter sur une période de quatre semaines. Bref, pensez à les cuisiner vapeur !

Séquence culture : Faits surprenants sur la carotte

Nous assimilons naturellement la carotte à la couleur orange, alors qu’il existe en fait plus d’une centaine de variété de carottes dans le monde, notamment des carottes violettes, jaunes ou blanches.

Pourquoi les mots carotène et carotte ont la même consonance ?

La raison est simple. Le mot-carotène a été inventé au début du 19e siècle par un scientifique allemand après qu’il ait cristallisé le composé à partir de racines de carottes.

Zoom sur la composition de la carotte

Une portion de carottes (une carotte de taille moyenne) vous fournira:

  • 210% de la quantité quotidienne recommandée de vitamine A
  • 10% de vitamine K
  • 6% de vitamine C
  • 2% de calcium

La haute teneur en vitamine A, pour laquelle la carotte est si réputée, provient de la bêta-carotène, qui est converti en vitamine A une fois assimilée dans le foie.

L’huile de graine de carotte contient également du potassium, de la vitamine B6, du cuivre, de l’acide folique, la thiamine et de magnésium.

 

Source : lemag.therapeutes.com/bienfait-de-la-carotte

Quel doigt presser pour faire disparaître un mal de dos ?

 

Beaucoup de personnes savent depuis l’antiquité que les douleurs du corps (et notamment le mal de dos, si courant de nos jours…) proviennent de déséquilibres entre nos organes.
Ce problème d’harmonie entre les parties de notre corps peut être dû à une mauvaise alimentation, une mauvaise hygiène de vie ou encore à un mental trop faible.
Le Jin Shin Jyutsu est un art ancien dédié à la revitalisation et au retour à l’équilibre entre le corps et l’esprit. Cet art en provenance du Japon utilise certains points de pression sur les mains pour revitaliser l’harmonie du corps.

Quel doigt devons-nous presser et pour quel maux ?

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Pouce : Le stress et les soucis
Index : digestion, mal de dos
Majeure : la colère, frustration, indécision, fatigue
Annulaire : tristesse et blessure du coeur
Petit doigt : surmenage, coeur
Paume de la main : revitalise tout
Utilisez l’image pour tester par vous-même.

Faites pression sur un de vos doigts en fonction de votre symptôme !
En faisant pression sur votre pouce
Vous restaurez l’harmonie et l’équilibre dans l’estomac et la rate. Cela calmera rapidement votre nervosité et votre anxiété. Des massages récurrents soigneront vos coups de mou et les sensations de maladie chronique. L’effet soulagera aussi les problèmes de peau,de maux de tête et d’estomac.
En faisant pression sur votre index
Vous renforcez l’équilibre et l’harmonie de vos reins et de votre vessie. Vous sentirez une diminution rapide du tract, des crampes musculaires, du mal de dents ou du bon vieux mal de dos.
En faisant pression sur votre majeur
Vous apportez l’harmonie du Jin Shin Jyutsu dans votre foie et les nerfs. Cette action permettra d’apaiser vos sentiments de colère et d’incompréhension. Vous améliorerez votre santé face aux problèmes cardio­vasculaires, de maux de tête, de douleurs menstruelles, où d’acquittée visuelle.
En faisant pression sur votre annulaire
Vous rééquilibrez l’harmonie dans vos poumons et vos organes digestifs. Vous réduirez vos effets d’acouphène permanents, vos troubles de respiration et de la digestion.
En faisant pression sur votre petit doigt
Vous améliorez la force de votre coeur. Les tensions sentimentales, l’anxiété et de solitude s’apaiseront. Cela améliorera en parallèle vos maux de gorge et d’arthrite.
Il ne vous reste plus qu’à appliquer !

 

Source : lemag.therapeutes.com/quel-doigt-presser-pour-faire-disparaitre-un-mal-de-dos/

Léquilibre-fragile-entre-la-performance-et-les-blessures

CROSSFIT & BLESSURES : LES TENDINITES … MIEUX VAUT PRÉVENIR QUE GUÉRIR !

 

CrossFit, comme dans de nombreux sports, les petites douleurs telles que les inflammations et les tendinites (on parlera plutôt de tendinopathies, terme un peu plus juste) sont un véritable problème. En effet, ces problématiques peuvent survenir très rapidement et viendront gêner considérablement notre pratique sportive, nous empêchant d’effectuer certains mouvements sous peine d’amplifier la douleur et de risquer la blessure.

Dans cet article, nous allons donc voir en détail quelques-unes des problématiques douloureuses les plus fréquentes en CrossFit, comment les éviter, et comment les traiter si nous n’avons pas su les éviter.

LES TENDINITESTendinite épaule

Qu’est-ce qu’une tendinite ? Avant tout, la tendinite est, simplement, une inflammation d’un tendon. Les tendinites sont probablement le mal numéro un connu de tout sportif. A vrai dire, de nombreux professionnels d’horizons divers, forcés d’effectuer des tâches et gestes répétitifs, en sont aussi la cible.

Ensuite, qu’est-ce qu’un tendon ? Et bien les tendons sont, en quelque sorte, « l’attache » entre les muscles et les os. Ils sont majoritairement constitués de collagène. Lorsqu’une tendinite se déclenche, elle se caractérise par une douleur ciblée à proximité d’une articulation.

Qu’est-ce qui provoque les tendinites ? Pour faire simple, un tendon récupère moins vite qu’un muscle. Pour cette raison, il arrive qu’à force de sollicitations, la capacité de résistance du tendon soit dépassée, faute de récupération.

Néanmoins, il existe plusieurs éléments qui peuvent exacerber la pression subie par un tendon durant un effort :

– Le manque de Mobilité. Si les tissus manquent de souplesse durant un effort, la pression subie par les tendons est décuplée. Par exemple, lors des Ring Dips, si vos épaules sont raides, il est possible que votre tendon subisse une énorme pression dans la partie basse du mouvement, ce qui peut provoquer des douleurs aiguës sur la « pointe », à l’avant du deltoïde, signe que votre tendon à sérieusement ramassé. Il est donc important de travailler votre mobilité avant et après vos efforts et de prendre soin de vos tissus à l’aide d’automassages et d’étirements dont nous parlerons plus loin.

– Le manque de progressivité. Vos Air Squat sont catastrophiques et vous vous mettez à faire des Back Squat lourds ? Vos genoux se retrouvent à vous insulter le lendemain ? C’est normal. L’un des maître-mots en CrossFit est « progressivité ». Voici un exemple de progressivité qui peut sembler logique :

Air Squat -> Goblet Squat -> Back Squat -> Front Squat -> Power Snatch et Overhead Squat -> Squat Snatch.

– Vous n’écoutez pas votre coach. Si le placement de vos épaules lors de tous vos mouvements Overhead est douteux et que malgré l’avis de votre coach vous vous obstinez à faire du Handstand Walk et du Jerk lourd, vos futures douleurs d’épaules seront uniquement votre faute.

– Votre alimentation est mauvaise. Une mauvaise balance Oméga-3 / Oméga-6, la consommation d’aliments raffinés et acidifiants, l’abus de protéines et la trop faible consommation de végétaux, la mauvais hydratation peuvent être autant d’éléments qui vont venir favoriser les inflammations. Nous reviendrons plus en détail sur l’importance de l’alimentation « anti-inflammatoire » plus tard dans cet article.

– Vous ne faites pas assez attention à votre récupération. Comme nous l’avons dit, les tendons récupèrent moins vite que les muscles, il est donc fondamental de prendre soin des différents tissus avant, après et entre vos entrainements pour aider les tendons et fascias à se remettre des traumatismes subis afin d’éviter qu’une mauvaise récupération ne vienne entrainer une problématique douloureuse. Au même titre, un manque de sommeil peut provoquer l’apparition de tendinites.

– Une mauvaise technique et/ou une mauvaise posture. Un mauvais placement durant un mouvement va, au même titre qu’un manque de mobilité, augmenter considérablement la pression subie par vos tendons, muscles et fascias et va augmenter drastiquement le risque de blessures.

A présent, que faire pour prévenir l’apparition d’une tendinite ?

Travaillez votre Mobilité et prenez soin de vos tissus. Pour ce faire, il vous faudra intégrer des auto-massages et étirements dans votre quotidien. N’hésitez pas à insister sur les zones de votre corps qui ont régulièrement du mal à récupérer, qui manquent de mobilité ou qui sont parfois douloureuses.

  Pour ce faire, vous disposez de tout un panel d’outils ayant chacun son rôle à jouer :Balle de Lacrosse

  – Une poche de glace, que vous pourrez appliqué sur la zone lésée à chaque fois que la douleur apparaît de manière assez  vive, surtout après un entrainement de la zone fragile.

  – Le rouleau de massage est l’outil numéro 1 à avoir. La plupart des Box en possèdent bien évidemment, mais il est très  intéressant de s’en offrir un pour chez soi afin de soigner sa récupération, sa mobilité et ses éventuelles douleurs au  quotidien depuis le confort de son foyer. La rouleau à l’avantage d’être multi-fonction : On peut le prendre en main pour  masser certaines zones telles que les avant bras, la poitrine, les cuisses, les mollets, les tibias en ajustant soi-même la  pression placée sur le rouleau et donc sur les tissus, technique très pratique pour échauffer les tissus avant un entrainement,  tout comme on peut prendre appui dessus pour obtenir une pression plus important, idéale après l’entrainement, avant de  s’étirer pour améliorer sa mobilité, autour d’une zone douloureuse afin d’aider à la guérison, ou en appui statique sur un  trigger point afin de s’en débarrasser. Le rouleau est, de plus, par sa taille, le moyen le plus efficace de masser rapidement de  grandes zones telles qu le quadriceps ou les trapèzes. Vous l’aurez compris, il s’agit de l’instrument le plus polyvalent qui soi  en terme d’auto-massages.

Pour ce qui est du choix du rouleau, nous vous recommandons le RumbleRoller Original, le rouleau de massage le plus reconnu du marché. Néanmoins, pour les plus petits budgets, un rouleau de milieu de gamme tel que celui-ci pourra convenir parfaitement, ne serais-ce que dans un premier temps.

– Les Balles de lacrosse sont un incontournable de l’entretien des tissus, d’une part pour leur taille et leur poids qui vous permet de les emporter absolument partout, mais aussi car elles permettent à la fois d’échauffer rapidement les tissus avant un entrainement (en tenant la balle en main pour effectuer des frictions) et d’autre part, d’effectuer des massages profonds et de traiter les trigger points (en vous appuyant sur la balle).

– Le bâton, ou stick de massage est un autre outil très utile que j’apprécie beaucoup. Très pratique pour masser les cuisses, mollets, tibias, bras, avant-bras et nuque notamment, autrement dit, des zones très susceptibles d’être endolories. Son autre avantage réside dans sa praticité d’utilisation et de transport, il peut par exemple rentrer dans votre sac lors d’une sortie de course à pied pour vous permettre de préparer les tissus des cuisses, pieds et mollets à l’effort avant la course, et à les masser plus profondément après la course. Le Body Stick Original est là aussi le meilleur choix en terme de qualité. Là encore, il est néanmoins possible, pour les plus petits budgets, de sa rabattre sur un produit de milieu de gamme, comme celui-ci.

– La canne de massages est aussi un instrument génial dans le traitement de nombreuses douleurs au tour de la colonne, des hanches, des épaules mais aussi dans le traitement des périostites tibiales (dont nous parlerons plus loin). Contrairement au bâton de massage qu’on utilisera plus volontiers pour masser de larges zones, la canne est plus adaptée pour des massages précis sur un point douloureux donné, comme un trigger-point ou au tour d’une tendinite. C’est aussi un outil formidable pour masser de petites zones souvent problématiques tels que le petit pectoral, le piriforme ou la coiffe des rotateurs.

 – Bandes élastiques de résistance vont aussi être très utile pour pratiquer des étirements et mobilisations tractées (Bandes moyennes et épaisses), ainsi que des exercices de prévention des blessures et d’étirements dynamiques (bandes légères et très légères). Ces exercices seront fondamentaux car, si les massages vont favoriser la récupération et la vascularisation de la zone lésée, ce sont les étirements, exercices correctifs et de renforcement qui préviendront les rechutes et renforceront la zone.

How-to-Prevent-Injury-in-CrossFit

Voici un exemple de protocole complet applicable pour un tendinite au tour de l’épaule (ici le tendon du chef long du triceps, mais un protocole très proche peut s’appliquer sur une tendinite du chef long du biceps, plus courante en CrossFit, par exemple) :

Dans un premier temps, les zones périphériques sont massées plus ou moins rapidement à l’aide du rouleau ou du bâton de massage (pectoraux, biceps, triceps, ceinture scapulaire, grand dorsal), durant 30 à 40 secondes environ par groupe musculaire.

Les zones douloureuses sont ensuite massées en profondeur à l’aide de la canne de massage ou des balles de lacrosse (insertion haute du triceps, coiffe des rotateurs, insertion haute du grand dorsal) pour une durée allant jusqu’à 5 minutes par zone selon les sensations ressenties.

Viennent alors les étirements et exercices correctifs :

1. Étirement tracté avec une bande élastique large des dorsaux et triceps, 1mn30 environ,

2. Étirement tracté avec bande élastique large des dorsaux et de la poitrine, 1mn30 environ,

3. Décompression de la région scapulaire et étirement de l’infra-épineux avec Kettlebell, 1mn30 environ,

4. Étirement de la poitrine et du biceps avec bande élastique moyenne, 1mn30 environ,

5. Étirement du triceps avec bande élastique moyenne, 1mn30 environ,

6. Décompression / correction suspendu à la barre fixe avec bande élastique légère au tour des coudes, 1mn30 environ,

7. Travail de la fixation de l’omoplate avec Kettlebell, 15 reps overhead, 15 reps couché avec décompression,

8. Renforcement de l’infra-épineux, 15 reps, renforcement des fixateurs de l’omoplate, 15 reps avec bande élastique légère.

9. On terminera le protocole par 15 à 20mn d’un protocole de récupération à l’aide d’un éléctrostimulateur (voici celui que je recommande, l’Electrostimulateur Compex Fit 1.0, l’entrée de gamme du leader mondial Compex qui, pour un usage privé et personnel et plus que suffisant) puis d’un massage localisé sur la zone douloureuse à l’aide d’un baume chauffant comme le Baume du Tigre Rouge.

 

  Bien sur, un tel protocole peut sembler très long. Gardez en tête qu’il s’agit ici de traiter une tendinite bien présente. Un tel protocole va donc :

  • Grâce aux massages, venir favoriser la récupération et la vascularisation de la zone,
  • Grâce aux étirements, venir assouplir les muscles, tissus et tendons de la région lésée et les aider à reprendre une longueur optimale qui préviendra toute rechute,
  • Grâce aux décompressions de la bande, viendront soulager le tendon lésé,
  • Grâce au travail correctif/préventif, renforcera les muscles faibles et le schéma moteur potentiellement incorrect à la cause du problème, la encore pour prévenir toute rechute,
  • Grâce à l’éléctro-stimulation et au massage avec baume chauffant, l’inflammation sera réduite une fois de plus, là encore pour favoriser la guérison et diminuer la douleur inhérente à la tendinite.

Autrement dit, vous couvrez plus ou moins tous les éléments qui interviendront en faveur de la guérison de votre tendinite. Bien que cette séance soit complète, elle ne vous soustrait pas à la consultation d’un kinésithérapeute, médecin du sport ou chiropracteur, qui vous diagnostiquera et vous aidera à soigner la problématique douloureuse en question. Idéalement, ce genre de séance vous permettra d’inclure des séances de kinésithérapie supplémentaires, ou au moins, complémentaires au travail de votre professionnel, ce qui ne fera qu’accélérer considérablement votre guérison.

Bien sur, ce protocole pourra se conclure par un « 10. AMRAP Sommeil profond Unbroken », bref, par une nuit de sommeil longue et tranquille. Comprenez que l’apparition d’une blessure est toujours synonyme d’un déficit de repos vis-à-vis du stress subi, et le meilleur moyen de rattraper un manque de repos est… de se reposer. Alors, dormez !

 

Rack-Position

LE RÔLE DE L’ALIMENTATION DANS LE TRAITEMENT DES TENDINITES.

Comme vous avez probablement pu le lire dans notre article , l’alimentation et la supplémentation vont jouer un rôle clé dans la guérison et la prévention des tendinites.

La Glucosamine interviendra dans la récupération des tendons au quotidien, réduisant l’écart énorme entre la vitesse de récupération de vos tissus musculaires et celle de vos tendons. De ce fait, la Glucosamine est un excellent allié pour prévenir l’apparition des tendinites.

Les Oméga-3  favoriseront aussi la récupération de vos tendons et tissus, réduiront l’apparition des inflammations et ainsi, auront à la fois un rôle de traitement et une rôle préventif face aux tendinites.

Du côté de l’alimentation, plusieurs solutions s’offrent aussi à vous :

La consommation de certaines épices, comme le curcuma (puissant anti-inflammatoire), l’ail et le gingembre (anti-oxydants),  toujours consommé avec du poivre (qui favorise l’assimilation des autres épices) réduiront l’apparition des inflammations.

De même, la consommation de boissons comme le thé ou le café (non sucré) qui sont anti-oxydantes et réduiront donc les inflammations que votre tendon serait susceptible de devoir supporter. De même, une hydratation suffisante est nécessaire pour prévenir toute réaction inflammatoire et pour favoriser la récupération des tissus et tendons après un stress physique.

Plus important encore, la consommation plus importante d’aliments basifiants (fruits et légumes verts, citron, eaux minérales riches en potassium) et réduite d’aliments acidifiants (rations massives de protéines, produits laitiers, sucre et aliments raffinés, aliments riches en gluten) qui contribueront à un meilleur équilibre acido-basique de votre organisme et donc, de cause à effet, réduiront considérablement les réactions inflammatoires.

Fruits & légumes

CONCLUSION.

S’entraîner plus intelligemment : Effectuer ses exercices avec une technique optimale, limiter les mouvements problématiques, écouter l’avis de vos coachs, ne pas écouter votre égo qui vous pousse à tenter un PR avec une technique horrible qui multipliera de manière drastique le risque de blessures, rester progressif dans l’entrainement et l’apprentissage des mouvements, travailler sa technique et sa mobilité : Autant d’éléments qui seront, tôt ou tard, nécessaire à votre pratique sportive car ils sont les piliers d’une pratique sportive saine, durable dans le temps et sans blessures.

Prévenir et guérir : Traiter avec une attention particulière les zones sensibles, à risques ou lésées afin de prévenir l’apparition de tendinites, ou, une fois qu’elles sont apparues, favoriser leur guérison (à l’aide d’un professionnel de la santé idéalement) et prévenir toute rechute ou chronicisation de la blessure.

Adopter une alimentation « anti-inflammatoire » : Il s’agit là d’un outil extrêmement puissant pour agir sur votre longévité, la prévention des blessures et douleurs et la qualité de votre récupération au quotidien.

Voici les 3 éléments pour prévenir l’apparition de tendinites (ou les rechutes) et pour les traiter. A vous d’en tenir compte dans votre quotidien et dans votre pratique sportive !

 

Source : www.ucpmuscu.com/blessures-inflammations-tendinites-mieux-vaut-prevenir-guerir

carences-alimentaires

Les 6 carences alimentaires les plus courantes

 

Afin de vous aider à rester en forme, nous faisons le point sur les carences alimentaires les plus courantes et les manières d’y remédier.

Carence en vitamine D

La carence en vitamine D touche de nombreux français chaque année.
Le manque de vitamine D peut présenter des risques majeurs pour la santé comme :
• Les risques accrus de maladies cardiovasculaires
• Les troubles cognitifs
• Favoriser un cancer

Les carences en vitamine D sont fréquentes chez les personnes vivant dans le nord et les végétaliens stricts.
La vitamine D peut être synthétisée par votre organisme lorsque vous vous exposez au soleil (attention toutefois aux expositions prolongées). La synthèse est un procédé long, avec plusieurs intermédiaires incluant le déhydrocholestérol, précurseur immédiat du cholestérol.

Vous pouvez également trouver des sources naturelles de vitamine D dans certains aliments . Mais finalement peu d’aliments en renferment. C’est le cas des poissons gras comme le saumon le maquereau, le hareng, qui renferment 400 à 800 UI pour 100 g. (Les doses sont exprimées en UI: unités internationales ou en µg: microgrammes, selon l’équivalence suivante : 1 UI = 0,025 µg de calciférol ou encore 1 µg = 40 UI.

Le minimum absolu si l’on raisonne à partir de niveau de calcifédiol dans le sérum, est de 20 ng/mL ou (50 nmol/L). Néanmoins il faudrait davantage tabler sur un minimum de 30 ng/mL (ou 75 nmol/L)

Si vous êtes déficient, votre médecin peut également vous prescrire des compléments.

Carence en vitamine K2

La vitamine K2 joue un rôle essentiel dans la résistance osseuse, le renouvellement des tissus, la croissance cellulaire et les grossesses saines.
Les signes de carence en vitamine K2 peuvent être :
• Des saignements menstruels abondants
• Des saignements de gencives
• Des saignements du tube digestif
• Une hémorragie
Les aliments riches en K2 sont les produits laitiers crus, le choux ou encore le natto.

Vous pouvez trouver la vitamine K2 dans le foie, le lait, le fromage, le yogourt, les huiles de poisson et le miso.

Carence en magnésium

Le magnésium fait partie des minéraux les plus courants dans notre corps.
Les carences en magnésium peuvent provoquer :
• Des crampes
• Un rythme cardiaque irrégulier
• De l’anxiété
• Des convulsions
Pour combler une carence en magnésium, vous pouvez manger des légumes verts à feuilles, des algues, des haricots, des noix et des graines.

Carence en vitamine B1

La vitamine B12 est la « vitamine de l’énergie ».
Votre corps a besoin de vitamine B12 pour la synthèse de l’ADN, la production de sang, et la formation de la myéline.
La carence en vitamine B12 peut provoquer :
• Un brouillard mental
• Des sautes d’humeur
• L’apathie
• La fatigue
• Des picotements dans les bras et les jambes

Vous trouverez de la vitamine B 12 principalement dans la viande et les produits laitiers.
Si vous êtes végétaliens, des compléments naturels peuvent être utiles.

Carence en vitamine A

La vitamine A a des effets bénéfiques sur la vue, protège la cornée, ainsi que dans le renouvellement des tissus (peau, muqueuse intestinale, cicatrisation). La vitamine A possède également une action anti-stress, soutient la protection cardio-vasculaire et les défenses immunitaires.

La carence en vitamine A entraine :
• Une baisse de l’acuité visuelle
• Une perturbation du système immunitaire
• Des troubles de la croissance pour les enfants
• Une faiblesse de l’émail des dents
• Des troubles digestifs
• De la photophobie
Heureusement, la vitamine A se retrouve facilement dans les légumes.

Carence en vitamine E

La vitamine E est cruciale pour la santé de votre cerveau.
Selon les études, des doses élevées de vitamine E administrées à des personnes âgées peuvent retarder la perte de la fonction cognitive dans le cas d’Alzheimer.
La vitamine E peut également aider à normaliser le taux de cholestérol et à neutraliser les dommages de radicaux libres.
Les symptômes de la carence en vitamine E sont :
• La faiblesse musculaire, voir la perte de masse musculaire
• Des mouvements oculaires désordonnés
• Une vision altérée
• Une démarche instable
La vitamine E peut être obtenue en mangeant des noix, des graines et des légumes verts.

 

Source : lemag.therapeutes.com/les-6-carences-alimentaires-les-plus-courantes/

eau-de-coco

Guérir votre intestin avec l’eau de Coco et de kéfir

 

Apprenez à soulager naturellement vos problèmes d’intestins avec cette préparation maison d’eau de Coco et de Kéfir.

Les bienfaits de l’eau de coco pour votre intestin

L’eau de coco est une boisson connue pour ses nombreux bienfaits, notamment pour la digestion.
Cette boisson contient des enzymes bioactives que notre corps utilise pour la digestion de la nourriture.
Ainsi, boire de l’eau de coco fait partie des remèdes naturels efficaces lorsque vous souffrez de problèmes digestifs et/ou de douleurs abdominales.

Le saviez-vous?

pour vous soigner naturellement avec efficacité, vous pouvez y ajouter du kéfir

Comment le kéfir aide votre intestin ?

Le kéfir est une boisson qui résulte de la fermentation de grains de kéfir dans le lait ou le jus de fruit.
Le kéfir est un probiotique formé de caséine et de colonies gélatineuses grandissantes en symbiose.
L’intérêt du kéfir est qu’il va favoriser la digestion, apaiser les ulcères d’estomac et fortifier le système biliaire.
Le kéfir est également un antibiotique naturel, efficace en cas de pneumonie, d’asthme, d’hypertension et de cholestérol.

Comment bénéficier des bienfaits du kéfir et de la noix de coco pour votre intestin ?

Faire votre propre boisson de kéfir de noix de coco

Vous pouvez faire du kéfir d’eau de noix de coco avec un kéfir existant ou en utilisant des grains de kéfir.
En plus de cette matière première, vous devez également disposer de :
• 7 verres d’eau de coco fraîche
• 5 cuillères à soupe de grains de kéfir d’eau
• 1 bâton de cannelle

Instructions de préparation
• Mettez l’eau de noix de coco dans un récipient
• Incorporez les grains de kéfir
• Puis disposez le bâton de cannelle dans le récipient
• Placez le couvercle de manière lâche sur le récipient
• Laissez reposer votre préparation pendant 48 h

Attention ne laissez pas la préparation se reposer plus de 48 h, sinon vous risquez de trop fermenter votre préparation.

Lorsque que l’eau de kéfir de noix de coco est prête, elle prendra une couleur un peu plus claire.

Maintenant il suffit de boire la préparation pour profiter de ses bienfaits.
Les grains de kéfir peuvent être réutilisés si vous les stockez dans un bocal d’eau dans votre réfrigérateur.

 

Source : lemag.therapeutes.com/guerir-votre-intestin-avec-leau-de-coco-et-du-kefir/

8 aliments et les organes auxquels ils ressemblent

 

1. Carottes – Yeux.

carotte
carotte

Manger des carottes régulièrement favorise la bonne santé des yeux.
Les carottes sont remplies de vitamines et d’antioxydants, comme le bêta-carotène, qui diminuent le risque de dégénérescence maculaire, principale cause de la perte de vision chez les personnes âgées.

2. Noix – Cerveau.

noix
noix

Les noix possèdent une forme similaire au cerveau mais leurs points communs ne s’arrêtent pas là.
Les noix sont composées d’acide gras oméga 3, qui permettent au cerveau de fonctionner normalement.
Manger régulièrement des noix peut nous aider à conserver un bon moral et à entretenir notre matière grise.

3. Céleri – Os.

celeri
celeri

Les graines de céleri sont généralement considérées comme une source riche de calcium, minéral nécessaire pour maintenir des os et dents solides. Le calcium est particulièrement important pour les enfants – ils ont besoin de le recevoir en quantité suffisante, afin de favoriser leur développement osseux. Ce minéral est également utile dans le cadre de contractions musculaires. Si l’apport en calcium est insuffisant, il peut conduire à à des problèmes osseux (ostéoporose) en fin de vie.

4. Avocats – Utérus.

avocat
avocat

Conserver un utérus sain est une priorité pour de nombreuses femmes.
Si vous êtes préoccupées par la santé de votre utérus, vous pouvez essayer l’avocat.
D’après Elizabeth Somer (Diététicienne) :

Les avocats sont une bonne source d’acide folique.
L’acide folique a prouvé son utilité pour réduire le risque de dysplasie cervicale, qui est une affection précancéreuse.

5. Pamplemousse – Sein.

pamplemousse
pamplemousse

La santé de la poitrine est également une préoccupation majeure pour les femmes.
Le cancer du sein est une maladie terrifiante, souvent difficile à vaincre.
Le pamplemousse est un fruit qui peut vous aider à titre préventif.
Il contient des substances appelées qui ont tendance à ralentir le développement du cancer dans les cellules mammaires.

Attention toutefois, le pamplemousse bloque la métabolisation de certains médicaments.

Le risque concerne :

  • les médicaments que vous prenez oralement  ;
  • les médicaments faiblement ou moyennement absorbés par l’organisme ;
  • les médicaments qui sont métabolisés par l’enzyme cytochrome P450 3A4, ou CYP3A4, ce que vous pouvez vérifier sur la notice.

6. Tomate – Cœur.

tomate
tomate

La maladie cardiaque fait partie des maladies les plus mortelles en occident.
La tomate, qui partage sa forme avec le cœur, dispose de vertus intéressantes dans le cadre de la prévention des risques cardiaques.
Des études ont montré que la lycopène présente dans les tomates peut réduire le risque de crise cardiaque chez les femmes et les hommes.
Mélanger les tomates avec de l’huile d’olive et de l’avocat stimule la capacité de votre corps à absorber le lycopène.
Le lycopène est 10 fois mieux assimilé.

7. Patate douce – Pancréas.

patate
patate

La patate douce ressemble non seulement à un pancréas, mais elle est cruciale pour garder cet organe en bonne santé.
Les patates douces sont riches en bêta-carotène, puissant en oxydant qui protège les tissus du corps, notamment le pancréas.

8. Gingembre – Estomac.

gingembre
gingembre

Puissant tonique, le gingembre peut également être utilisé en cas de douleurs de l’estomac et notamment de brûlures. Il facilite de plus la digestion et la disparition des gaz intestinaux. Savez-vous aussi que c’est un anti nauséeux très efficace ?

Il peut se consommer à volonté, frais et râpé dans vos petits plats, sous forme de tisanes (mélangez 0,5 g de poudre de gingembre dans une tasse d’eau chaude et buvez doucement, 2 à 3 fois par jour) ou encore de gélules (2 gélules le matin et le midi à prendre au moment des repas avec un grand verre d’eau.
Source : lemag.therapeutes.com/8-aliments-et-les-organes-auxquels-ils-ressemblent

Peut on courir enceinte?

 

Voici une question à laquelle je voulais répondre pour 3 raisons:

  • Beaucoup de femmes m’interrogent pour savoir s’il est autorisé de courir quand on est enceinte
  • J’ai aussi parfois des critiques quand on me voit faire du sport alors que j’attends un bébé
  • Il y a 13 ans pour ma 1ère grossesse, il m’était déconseillé de courir mais depuis les avis médicaux ont évolué.

Il est vrai qu’il y a 13 ans je ne courais pas car je jouais au rugby donc l’arrêt du sport s’est de suite imposé à moi. Et j’ai pris plus de 17 kilos sur cette grossesse… La cata!

Sur ma deuxième grossesse,j’ai couru jusqu’à 4 mois, date de mon amniocentèse. Ensuite je me suis reposée avant de faire des séances de marche rapide sur vélo elliptique. Malheureusement mon dos a fait des caprices bien que j’ai a peine pris 9 kilos sur cette grossesse.

Cette fois je dois trouver le juste équilibre entre le repos pour mon corps et le maintien d’une tonicité et le contrôle du poids pour préserver mon point faible dorsal. J’ai choisi de continuer doucement et occasionnellement à courir jusqu’à mon amniocentèse (après c’est trop risqué car la poche est piquée et elle est fragilisée). Puis je vais essayer d’autres activités ou je serai moins soumise aux impacts ainsi qu’à la pesanteur liée poids du corps qui devient de plus en plus lourd.

J’ai donc fait quelques recherches pour pouvoir vous répondre sur la compatibilité de la course à pied et la grossesse.

PEUT ON ET DOIT ON FAIRE DU SPORT ENCEINTE ?

Sachez qu’à Lille, la maternité et la métropole ont mis en place des cours de sport pour les femmes enceintes, basés sur la méthode pilates. La maternité indique même que lorsqu’il n’y a pas de contre-indications médicales, l’activité physique présente de nombreux avantages pour les patientes et notamment la diminution de l’anxiété et de la dépression durant la grossesse, l’amélioration du déroulement de l’accouchement (moins de césariennes, moins de complications de type recours aux forceps)… Des bénéfices désormais médicalement prouvés.

Il est donc possible d’exercer une activité sportive pendant votre grossesse et en plus c’est recommandé ! continuer une activité sportive pendant votre grossesse vous permettra

  • d’être en forme et de conserver un bon tonus musculaire, donc de récupérer mieux et plus vite après l’accouchement ;
  • de vous détendre ;
  • d’améliorer votre oxygénation, donc du bébé ;
  • de prévenir les problèmes de jambes lourdes et de circulation ;
  • de limiter la prise de poids, et d’autres complications liées à la grossesse (diabète, hypertension…).

QUELLES PRÉCAUTIONS FAUT IL PRENDRE ?

Il est important de vous préserver ainsi que votre bébé, ainsi tous les sports traumatiques ou à risques de chute sont à proscrire dès le début de votre grossesse.

Il est impératif de demander l’avis de votre médecin ou gynécologue avant de faire du sport pour bien tenir compte de votre état de santé. Mais il faut aussi accepter vos changements corporels et métaboliques pendant la grossesse :

  • Le volume sanguin et le débit du cœur augmentent : en plus de votre propre circulation sanguine, vous alimentez celle de votre bébé ;
  • La capacité pulmonaire diminue légèrement : vous vous essoufflez plus vite ;
  • Votre centre de gravité change : vous pouvez vous sentir « instable » ;
  • Les hormones de la grossesse rendent vos ligaments plus souples (pour laisser de la place au bébé), mais aussi plus fragiles.
  • Il faudra penser à stopper le running et consulter en cas de fatigue inhabituelle, de contractions anormales, de pertes blanches inhabituelles, en cas d’anémie ou de rythme cardiaque au repos anormalement élevé.

PEUT ON COURIR ENCEINTE ?

Le Dr Jean Simon Arfi, gynécologue, membre du comité d’expert Mon Stade a réagit sur le magazine runners World

Il indique qu’il n’y a pas de raison pour que les femmes qui couraient avant la grossesse ne continuent pas. Cependant la grossesse n’est pas le moment des exploits sportifs !

Même si au début de la grossesse, l’augmentation de la masse sanguine améliore l’endurance et peut donner l’impression de « facilité », il faut rester en deçà de ses possibilités. 80% de son allure de base est une bonne base sécuritaire.

Jusqu’à la 26e semaine, vous pouvez continuer de courir « comme d’habitude ». C’est un élément de bien-être qui permettra de reprendre plus vite après l’accouchement. Il faudra faire attention aux entorses. Pendant la grossesse, les ligaments, sous l’effet des hormones, sont plus relâchés. Évitez les parcours accidentés.

Au-delà de la 30e semaine, Il vaut mieux, pour des raisons de surcharges qui peuvent entrainer des douleurs du dos et des articulations des membres inférieurs, s’orienter vers des sports aquatiques tout en continuant à surveiller son rythme cardiaque.

QUEL TYPE DE RUNNING PENDANT MA GROSSESSE?

Oubliez les efforts intenses il faudra veiller à ce que vos sorties running soient douces ;

  • Pas de fractionné ni de sprints
  • Surveiller votre rythme cardiaque pour rester sur un rythme raisonné
  • Ne faites pas monter votre chaleur corporelle
  • Running grossesse rime avec running bien-être. Courez simplement pour rester en forme et pendant votre sortie vous devez être en facilité, donc de discuter tout au long de votre parcours.

QUELQUES TRUCS ET CONSEILS

  • Si vous courez à l’extérieur, faites un trajet en boucle près de votre domicile; si vous êtes plus fatiguée, vous pourrez facilement rentrer à la marche.
  • Il est important de bien boire et de ne pas courir lorsque les températures sont élevées.
  • Planifiez votre trajet avec des arrêts pipi et des points d’eau!
  • Habillez-vous adéquatement pour ne pas avoir trop chaud – il se peut que vous ayez plus chaud qu’à l’habitude pendant votre grossesse.
  • Le choix de la surface de course est aussi un élément à considérer. Les sentiers en terre battue sont à prioriser, pour minimiser les impacts.
  • Pensez également à courir accompagnée, le risque traumatique augmentant avec le terme.

 

Source : www.huffingtonpost.fr/val-marqueton-perez/courir-enceinte-running-conseils-footing_b_8279758.html