9 mauvaises habitudes d’hiver à laisser tomber

Contrairement aux idées reçues, il est inutile de manger davantage en hiver. En écartant les faux-pas, vous garderez la forme !

1. Manger plus gras

manger-grasLes températures basses observées en France ne descendent pas suffisamment au-dessous de zéro pour permettre un excès calorique. L’essentiel en période hivernale reste de manger de tout, donc si possible des plats variés et boissons chaudes.

  • Éviter l’alcool qui déshydrate le corps.
  • Boire beaucoup d’eau.
  • Alterner viandes, légumes et poissons en quantité raisonnable

2. Limiter son activité physique

sport-pendant-hiver

 

Dur, dur de quitter son canapé douillet pour aller faire un footing lorsqu’il fait froid dehors.

Pourtant, faire du sport, si possible à l’intérieur, permet de se sentir mieux dans son corps et de vaincre le froid.

3. Rester à l’intérieur

Pour vous chaque sortie dans le froid hivernal s’avère une véritable épreuve ?

Pourtant la sensation de froid peut s’atténuer avec des vêtements adaptés, et une balade d’au moins 20 minutes par jour renforce les défenses immunitaires et le moral !

  • Couvrez votre tête, vos mains et vos oreilles.
  • Intercalez des chaufferettes entre deux paires de chaussettes.
  • Placez deux pulls sous une veste imperméable.

4. Manquer de sommeil

 

dormir-moins-pendantL’hiver, les jours de congé se font rares. Du coup, de retour du travail, de nombreuses personnes se couchent tard sous prétexte de « profiter » de leurs loisirs. Mais regarder la télévision jusqu’à deux heures du matin peut également vous épuiser toute la journée du lendemain !

Pour se chauffer, le corps a besoin de travailler davantage, il a donc besoin de plus dormir l’hiver.

  • Il ne faut pas surchauffer sa chambre, une température de 17 °C se révèle appropriée.
  • Pensez à aérer pour renouveler l’air ambiant.
  • Une demi-heure avant de dormir, prenez un livre ou magazine, il vous aidera à trouver le sommeil.
  • N’oubliez pas qu’une bonne tisane ou un chocolat chaud calme et apaise les nerfs avant d’aller dormir.

5. Boire moins d’eau

 

boire-eau-pendant-hiverLorsque les températures baissent, le corps travaille beaucoup pour compenser et comme toute activité physique, il se déshydrate. La transpiration induit une perte d’eau conséquente en hiver, comme en été.

  • Ne perdez pas vos bonnes habitudes : buvez au moins un litre d’eau par jour.
  • Vous pouvez également compter sur les boissons chaudes : café, thé, soupe et potage.
  • Si vous pratiquez une activité physique, doublez votre consommation d’eau.

 

6. Pousser le radiateur à fond

Une chaleur excessive dans un appartement ou une maison n’aura que des conséquences néfastes sur votre fatigue et votre portefeuille sans parler des accidents éventuels (incendies, intoxications). Un plaid et un pull aident à se sentir mieux chez soi !

7. Ne pas se couvrir assezcouvrir-hiver

 

Que la doudoune soit à la mode ou non, évitez-vous un rhume carabiné en cessant de vous habiller comme à l’automne précédent !

Oui, avec trois couches de pulls, engoncé dans son écharpe, on n’a rarement l’air tout à fait libre de ses mouvements, mais au moins, vous serez au chaud et beaucoup moins tendu.

 

8. Se laisser gagner par le stress

stress-hiverLe stress peut avoir des conséquences dramatiques l’hiver. En période de stress, nous avons tendance à nous « oublier ». De fait, il devient difficile de garder un régime alimentaire équilibré, un sommeil réparateur et une activité physique régulière.

Pourtant, sans ses trois facteurs, le corps ne trouvera pas les ressources pour traverser l’hiver sans encombre :

  • La fatigue pointe le bout de son nez.
  • Une prise de poids peut arriver.
  • Le corps ne protège plus contre les virus et les bactéries.
  • Des carences en vitamines peuvent apparaître.

9. Boire du café pour se réveiller

cafe-hiverLe café a bien meilleur goût que le thé aux yeux de certaines personnes. Mais consommé à l’excès, il peut avoir des conséquences fâcheuses sur la nervosité, le sommeil et la prise de poids.

C’est pourquoi il vaut mieux, pour un amateur, se limiter à 1 ou 2 cafés par jour. En outre, des solutions décaféinées n’empêchent pas de dormir le soir.

Si vous êtes fatigués, tournez-vous plutôt vers :

  • un thé,
  • une petite sieste,
  • une séance d’étirement.

 

 

Source : Article d’origine

12 ALIMENTS POUR DES ABDOS DE RÊVE

Vous voulez vous débarrasser du gras abdominal pour faire apparaître vos tablettes de chocolat ? Optez pour notre sélection d’aliments.

cannelle

LA CANNELLE 

        

Bon à savoir

La cannelle est une épice qui contient énormément d’antioxydants. Elle permet de construire une barrière contre le gras afin qu’elle ne s’installe pas sur la ceinture abdominale.

Boisson détox miel-citron-cannelle

Préparation
Faire bouillir 0,5 l d’eau et ajouter 1 jus de citron pressé, 2 cuillères à café de miel, 1/2 cuillère à café de cannelle en poudre. Bien mélanger et bonne dégustation !

Pastéque

LA PASTÈQUE

Bon à savoir

Si la pastèque est de saison, jetez-vous dessus dès que vous avez un creux. La pastèque contient plus de 92 % d’eau. Elle n’est donc pas calorique. C’est également un bon antioxydant et une bonne source de vitamines A, C, B1 et B6.

Smoothie à la pastèque et au gingembre

Ingrédients
1/2 pastèque, 2 yaourts natures ou à la vanille, 8 cuillères à café de sucre (facultatif), quelques pincées de gingembre moulu.

Préparation
Coupez la pastèque en dès, mettre dans un blender la pastèque, les yaourts, le sucre et une pincée de gingembre dans chaque verre. Mélangez et ajoutez un peu d’eau si nécessaire. Servir frais.

avocat

L’AVOCAT

Bon à savoir

Les avocats sont remplis de fibres qui réduisent la masse abdominale. Ils contiennent également des acides gras qui vont brûler la graisse. Cuisiné en salade, dans un plat chaud ou seul, l’avocat est super efficace.

Tartines de poires au beurre d’avocat roquefort

Ingrédients
1 gros avocat bien mûr, 80 g de roquefort, 8 tranches de pain de campagne, 1 pointe de couteau de piment d’Espelette, 2 poires et du poivre.

Préparation
Épluchez, dénoyautez l’avocat et écrasez sa chair à la fourchette. Ajoutez le roquefort en petits morceaux et le piment d’Espelette. Écrasez à nouveau pour obtenir des miettes grossières.
Coupez les poires en 4 quartiers chacune et les éplucher.Découpez chaque quartier de poires en fines lamelles. Faire griller les tranches de pain, tartinez de mélange roquefort-avocat, déposez des lamelles de poires et donnez un tour de moulin à poivre. Servez sans attendre !

beurre

LE BEURRE D’ARACHIDE

Bon à savoir

C’est vrai que lorsqu’on entend le terme « beurre », on pense immédiatement à du gras. Cependant, le beurre d’arachide contient de bons gras. Riche en protéine, en gras insaturés et en fibres, il procure une sensation de satiété.

Biscuits au gruau, chocolat et beurre d’arachides sans cuisson

Ingrédients
½ tasse de beurre, 2 tasses de sucre, ½ tasse de lait, 4 cuillères à soupe de poudre de cacao, ½ tasse de beurre d’arachides crémeux, 2 cuillères à café de vanille et 3 tasses de gruau à cuisson rapide.

Préparation
Mettre les 4 premiers ingrédients dans une casserole moyenne. Mélangez-les, portez à ébullition et laissez bouillir pendant 1 minute. Retirez du feu, incorporez le beurre d’arachides et la vanille jusqu’à ce que le beurre d’arachides soit bien dilué.
Ajoutez le gruau. Mettre par cuillerées à soupe sur une plaque garnie de papier parchemin et étendre la pâte à biscuits avec le dos de la cuillère. Laisser refroidir complètement jusqu’à ce que les biscuits soient figés.

chocolat

LE CHOCOLAT NOIR

Bon à savoir

Avouez que cette nouvelle fait plaisir ! Le chocolat noir est un très bon antioxydant et contient des substances qui aident à brûler les graisses. Les premières graisses qu’il brûle ? Celles de votre ceinture abdominale ! Seule condition : Favorisez le chocolat noir à 78% ou plus.

Barre énergétique choco-amandes

Ingrédients
125 ml (½ tasse) de chocolat noir, 125 ml (½ tasse) de beurre d’amande, 60 ml (¼ tasse) de miel, 60 ml (¼ tasse) d’amandes moulues, 250 ml (1 tasse) de flocons d’avoine à cuisson rapide.

Préparation
Dans une casserole, faire fondre le chocolat avec le beurre d’amande et le miel à feu moyen en remuant de temps en temps. Retirez du feu, ajoutez les amandes moulues, l’avoine et mélangez pour bien répartir les denrées.
Transvidez dans un moule à pain rectangulaire recouvert de papier parchemin. Bien presser avec une fourchette et réfrigérer 1 heure minimum. Démoulez en soulevant le papier, taillez en 12 carrés en emballer.

citron

LE CITRON

Bon à savoir

Le citron contient très peu de calories (25 calories pour 100 g). Son point fort ? L’acidité qui élimine les graisses et les protéines. Il est également un très bon antioxydant.Vous pouvez le cuisiner ou l’utiliser comme assaisonnement dans vos plats, vos salades et même vos boissons.

Le cheese-cake au citron

Ingrédients
100ml de jus de citron (environ 2 citrons pressés), des zestes de citron, 2 feuilles ½ de gélatine, 1 oeuf, 40 g de sucre dont 2 sachets de sucre vanillé et 300 g de Fromage blanc 0%.

Préparation
Faire ramollir la gélatine dans de l’eau froide. Pressez le citron pour en extraire le jus et prélever des zestes. Mélangez de façon homogène le fromage blanc, le jaune d’œuf, les zestes, le sucre, et la moitié du jus de citron.
Faire chauffer l’autre moitié du jus de citron et y mélanger la gélatine préalablement ramollie dans de l’eau froide. Mélangez les deux préparations. Montez le blanc d’œuf en neige et l’incorporer délicatement, en soulevant à la spatule. Mettre dans les ramequins et laisser au frais pendant au moins 4 heures.

concombre

LE CONCOMBRE

Bon à savoir

Le concombre doit être l’allié de taille ! Il n’est n’est pas du tout calorique (10 calories pour 100 g). Rempli de vitamines et de minéraux, il est conseillé de le manger avec la peau afin de garder tous les bienfaits. Vous détestez le concombre ? Optez pour la courgette.

Lassi Indien au Concombre

Ingrédients
1 concombre de 120 g,1 yaourt nature non sucré, 3 feuilles de menthe, 10 ml de jus de citron (1 cuillère à soupe), quelques glaçons.

Préparation
Épluchez le concombre, coupez le en rondelles et placez les dans le mixeur. Otez préalablement la partie centrale si les pépins sont denses. Ajoutez le yaourt, les feuilles de menthe et le jus de citron. Mixez le tout.
Servez bien frais accompagné de glaçons. La teneur en eau des concombres étant variable, rectifiez avec un peu d’eau si vous jugez la boisson trop épaisse.

piment

LE PIMENT

Bon à savoir

Manger des piments c’est comme une séance de sport ! N’exagérons pas, mais les piments forts contiennent de la capsaïcin qui augmente notre dépense d’énergie, stabilise notre taux de sucre, permet de diminuer le stockage des graisses et est un super antioxydant.

La purée de piment africaine

Ingredients
Une douzaine de piments, 2 gousses d’ail hachées, 1 petit oignon haché, 1 cube de bouillon, 3 cuillères à soupe de jus de citron et 1 cuillère à soupe d’huile.

Préparation
Mixez tous les ingrédients à part l’huile dans un robot culinaire. Chauffez l’ensemble dans une petite poêle, ajoutez la cuillère d’huile et le mélange de piment.
Laissez mijoter couvert pendant 5 minutes puis rangez dans le réfrigérateur.

poivron

LE POIVRON

Bon à savoir

Le poivron est un légume faible en calories. Il contient 20 calories pour 100 g. Son point fort ? La satiété, pas besoin d’en manger beaucoup pour avoir le ventre plein.

Les poivrons farcis

Ingrédients
300 g de fromage frais (type Carré Frais), 12 mini-poivrons, 60 olives noires dénoyautées, 4 feuilles de basilic, de l’huile d’olive, du sel et du poivre.

Préparation
Préchauffez le four à 200°C. Enveloppez les mini-poivrons dans du papier aluminium, enfournez-les et laissez-les cuire 20 min. Sortez-les du four et les laissez refroidir 15 min environ dans le papier alu. Ôtez celui-ci et pelez les mini-poivrons.Passez-les rapidement sous l’eau et déposez-les sur du papier absorbant.
Hachez les olives avec le basilic. Mélangez ce hachis au fromage frais. Salez et poivrez. Coupez un chapeau aux mini-poivrons et remplissez l’intérieur de préparation au fromage frais.Remettez les chapeaux. Déposez les sur un plat et arrosez d’un filet d’huile d’olive avant de servir.

the

LE THÉ VERT

Bon à savoir

Boire du thé vert permet d’augmenter le métabolisme durant la journée. Afin qu’il soit efficace et puisse agir sur les graisses, il est impératif de le boire chaud.

Carpaccio de haddock au thé vert

Ingrédients
1 cuilère à café de thé vert, le jus de 2 citrons verts, 8 cl d’huile d’olive, 600 g de haddock, 1 poignée de roquette, du sel et du poivre.

Préparation
Mélangez les jus de citron dans un bol avec le thé vert, l’’huile d’olive, le sel et le poivre. Retirez la peau du haddock, taillez des tranches très fines. Badigeonnez le fond de quatre grandes assiettes avec la marinade à l’’aide d’un pinceau.
Répartissez les tranches de haddock dessus puis versez délicatement la marinade. Couvrez les assiettes avec un film alimentaire puis mettez-les 1h au réfrigérateur. Au moment de servir, retirez le film alimentaire, décorez le carpaccio de quelques feuilles de roquette et dégustez avec de petites tranches de pain grillé.

champignons

LES CHAMPIGNONS

Bon à savoir

Les champignons font partie des aliments faibles en calories mais riches en fibres. Perçus comme l’allié minceur, ils contiennent énormément de vitamines et de minéraux.

Les Supers champignons

Ingrédients
3 gros champignons de paris, 1 grande boite de thon au naturel, un peu de fromage de brebis, de l’huile d’olive, du poivre noir et du basilic.

Préparation
Préchauffez votre four à 180 degrés,lavez les champignons et enlevez la queue. Dans un récipient, mélangez le thon avec le fromage de brebis. Ajoutez de l’huile d’olive, des herbes et du poivre noir.
Une fois que le mélange de thon est homogène, remplissez les champignons avec. Placez-les sur une plaque de cuisson préalablement recouverte de papier cuisson.Faites cuire jusqu’à ce que les champignons deviennent dorés. Environ 20 minutes. Régalez-vous !

haricots

LES HARICOTS

Bon à savoir

Peu importe la couleur, ils sont tous riches en fibres qui aident à nettoyer le système afin de se débarrasser des mauvaises graisses autour de la ceinture abdominale.

Le velouté de lingots (plat de récupération)

Ingrédients
200 g d’haricots blancs, 1 litre d’eau, 1 carotte (environ 70g), 1 Oignon (environ 60g), du thym, du laurier, du sel et du poivre.

Préparation
Dans un autocuiseur, mettre tous les ingrédients dans un litre d’eau froide. Après 30 minutes sous pression, retirez la feuille de laurier et le thym. Mixez le tout.

Source : Article originale

LE MAL A DIT (MALADIE) : RELATION ENTRE EMOTIONS MALADIE

Avant tout : il ne faut pas généraliser, l’origine d’une douleur peut être virale, bactérienne, visceral ou autre…mais si vous ne trouvez pas d’explications contextuelles cet article est une piste.

Toutes les émotions que vous refoulez à l’intérieur de vous-même parce que vous ne pouvez pas ou

ne voulez pas les verbaliser, peuvent se cristalliser dans différentes parties de votre corps.

Les émotions génèrent des symptômes physiques, par exemple LA PEUR, L’ANGOISSE  donnent

des palpitations cardiaques, des vertiges, sueurs, tremblements ou mains moites.

  • LA PANIQUE peut provoquer des diarrhées.
  •  LA COLÈRE retenue ou LA RANCUNE : une crise de foie.
  • LA DIFFICULTÉ A TROUVER OU A PRENDRE SA PLACE  peut provoquer des infections urinaires à répétition.
  • QUELQUE CHOSE QU’ON NE VEUT PAS ENTENDRE OU QUAND ON NE VEUT PAS S’ÉCOUTER, des otites, douleurs d’oreilles.
  • QUELQUE CHOSE QU’ON N’A PAS OSÉ DIRE, QU’ON A RAVALÉ , une angine, des maux de gorge.
  • UN REFUS DE CÉDER, DE PLIER, D’OBÉIR OU DE SE SOUMETTRE, des problèmes de genoux.
  • PEUR DE L’AVENIR, PEUR DU CHANGEMENT, PEUR DE MANQUER D’ARGENT, des douleurs lombaires.
  • INTRANSIGEANCE, RIGIDITÉ, douleurs cervicales et nuque raide.
  • CONFLIT AVEC L’AUTORITÉ, douleurs d’épaules.
  • TOUT PRENDRE SUR SOI, également douleurs d’épaules, sensation d’un fardeau.
  • SERRER LES DENTS POUR AFFRONTER QUELQU’UN OU UNE SITUATION SANS RIEN DIRE…douleurs dentaires, aphtes, abcès. PEUR DE L’AVENIR, DIFFICULTÉS A ALLER DE L’AVANT, OU BESOIN DE « LEVER LE PIED »: douleurs dans les jambes, les pieds, les chevilles.

La colonne vertébrale est aussi un merveilleux terrain d’investigation de toutes nos émotions refoulées

Corps

Illustration tirée du livre de R.Fiammetti : les cartes du langage émotionnel du corps

 

 

l’ouvrage de Jacques Martel :  Le grand dictionnaire des malaises et des maladies  pour mettre des mots sur les maux…cet ouvrage est une sorte de guide pour comprendre  » ce qui se joue » que je pourrais avoir tendance à refouler, ou à ne pas vouloir « regarder »…
En voici quelques extraits :

Maladies du foie : le foie représente les choix,  la colère, les changements et l’adaptation.
On peut souffrir du foie quand on ne parvient pas à s’adapter à des changements, professionnels ou familiaux.

  • Difficultés d’ajustement à une situation.
  • Sentiment de manque continuel ou peur de manquer.
  • Colère refoulée.
  • Personnes sujettes aux maladies du foie : les personnes qui critiquent et qui jugent beaucoup (elles-mêmes et les autres) et/ou qui se plaignent souvent.

Maladies de la vésicule biliaire :
La vésicule biliaire est en rapport avec l’extérieur, la vie sociale, la lutte, les obstacles, le courage.
Se battre. Esprit de conquête.

  • Se faire de la bile, s’inquiéter, s’angoisser.
  • Sentiment d’injustice. Colère, rancune.
  • Se sentir envahi, empiété sur son territoire par une personne autoritaire.
  • Agressivité rentrée et ruminante, mécontentement retenu.
  • Se retenir de passer à l’action. Difficultés à faire un choix, de peur de se tromper.

LA GLANDE THYROÏDE

  • Profonde tristesse de ne pas avoir pu dire ce qu’on aurait voulu.
  • Sentiment d’être trop lent par rapport à ce qu’on attend de nous.
  • Impuissance, sentiment d’être coincé dans une situation, être devant un mur, dans une impasse.
  • Être bloqué dans la parole ou dans l’action, être empêché d’agir.
  • Pas le droit de parler, de s’exprimer. Ne pas se sentir écouté. Difficultés à s’affirmer.
  • Une déception ou une injustice n’a pas été « avalée » et est restée en travers de la gorge.

LES HERNIES

En règle générale  : de la détresse implose à l’intérieur et demande à être libérée.

  • Désir de rompre ou de quitter une situation où on se sent coincé, mais où l’on reste par peur de manquer de quelque chose, généralement du matériel.
  • Auto-punition parce qu’on s’en veut, incapacité à réaliser certaines choses qu’on voudrait.
  • Frustration de travailler dur, se sentir poussé à aller trop loin, ou essayer d’atteindre son but d’une manière excessive, qui en demande trop. Une poussée mentale (de stress) essaie de sortir.

Mais en plus, le lieu où siège l’hernie indique son message émotionnel de manière plus précise et complémentaire : 

Hernie inguinale : (dans l’aine) : difficulté à exprimer sa créativité, secret que l’on renferme et qui nous fait souffrir. Désir de rompre avec une personne qui nous est désagréable, mais avec laquelle on se sent engagé ou qu’on est obligé de côtoyer. On aimerait sortir, s’extirper de cette situation.
Hernie ombilicale : nostalgie du ventre de la mère où tout était facile et où se sentait totalement en sécurité. Refus de la vie.
Hernie discale : conflit intérieur, trop de responsabilité, sentiment de dévalorisation, ne pas se sentir à la hauteur de ce qu’on attend de nous, projets et idées non reconnus. La colonne vertébrale représente le soutien.
Besoin d’être appuyé, soutenu, mais difficulté ou impossibilité de demander de l’aide.
Hernie hiatale : se sentir bloqué dans l’expression de ses sentiments, de son ressenti.
Refouler ses émotions.
Tout vouloir diriger, ne pas se laisser porter par la vie  mais la contrôler.

LES GENOUX

Douleurs aux genoux, genoux qui flanchent, genoux qui craquent, douleurs aux ménisques : refus de plier, de se « mettre à genoux » (de se soumettre) de céder, fierté, ego, caractère inflexible ou au contraire, on subit sans rien oser dire, on s’obstine, mais nos genoux nous disent que nous ne sommes pas d’accord avec cette situation.

  • Difficultés à accepter les remarques ou les critiques des autres.
  • Problèmes avec l’autorité, la hiérarchie, problèmes d’ego, d’orgueil.
  • Devoir s’incliner pour avoir la paix.
  • Ambition réfrénée ou contrariée par une cause extérieure,
  • Entêtement, humiliation.
  • Culpabilité d’avoir raison.
  • Colère d’être trop influençable.

Les maladies LA PEAU, eczéma, acné, psoriasis
Les maladies de peau ont très souvent, à l’origine, un conflit de séparation mal géré, une séparation mal vécue, soit par la mère, soit par l’enfant, ou la peur de rester seul et un manque de communication.
Séparation aussi envers soi-même : dévalorisation de soi vis-à-vis de l’entourage. Porter trop d’attention à ce que les autres peuvent penser de nous.

Eczéma :

  • anxiété, peur de l’avenir,
  • difficultés à s’exprimer.
  • Impatience et énervement de ne pas pouvoir résoudre une contrariété.
  • Séparation, deuil, contact rompu avec un être cher.

Chez les enfants, l’eczéma peut résulter d’un sevrage trop rapide ou d’une difficulté de la mère à accepter que son enfant ne soit plus « en elle ». Sevrage de l’allaitement ou reprise du travail de la maman et culpabilité non exprimée, mais que l’enfant ressent et somatise ainsi.
Querelles ou tensions dans la famille, que l’enfant ressent. Insécurité.

Acné :  manière indirecte de repousser les autres, par peur d’être découvert, de montrer ce qu’on est réellement, parce qu’on pense qu’on ne peut pas être aimé tel que l’on est. Puisqu’on se rejette, on crée une barrière pour que les autres ne nous approchent pas.

  • Refus de sa propre image, de sa personnalité ou de sa nouvelle apparence.
  • Honte des transformations corporelles.
  • Difficulté à être soi-même, refus de ressembler au parent du même sexe.

Psoriasis : personne souvent hypersensible qui n’est pas bien dans sa peau et qui voudrait être quelqu’un d’autre. Ne se sent pas reconnue, souffre d’un problème d’identité. Le psoriasis est comme une cuirasse pour se défendre.

  • Besoin de se sentir parfait pour être aimé.
  • Souvent une double conflit de séparation, soit avec deux personnes différentes, soit un ancien conflit non résolu, réactivé par une nouvelle situation de séparation.
  • Se sentir rabaissé ou rejeté, à fleur de peau.
  • Se protéger d’un rapprochement physique, ou protéger sa vulnérabilité, mettre une barrière.

LES BRAS : Il y a de nombreuses causes émotionnelles liées aux douleurs et aux problèmes de bras.
Les bras sont le prolongement du coeur et sont liés à l’action de FAIRE et de RECEVOIR, ainsi que l’autorité, le pouvoir.
Les douleurs aux bras peuvent être liées à de la difficulté à aimer ce que je dois faire. Se sentir inutile, douter de ses capacités, ce qui amène la personne à se replier sur elle et à s’apitoyer sur ses souffrances.

  • Se croire obligé de s’occuper de quelqu’un.
  • Ne pas se sentir à la hauteur lorsqu’on est le « bras droit » de quelqu’un.
  • Difficulté à prendre les autres dans ses bras, à  leur montrer de l’affection.

 

Source: Article originale 

 

L’homéopathie et la phytothérapie à la rescousse avant l’hiver

Depuis le début du mois du novembre, l’hiver pointe le bout de son nez. Cette fin d’automne promet d’être fraîche. Alors que la luminosité réduit à vue de nez, il vous reste encore un peu de temps pour renforcer vos défenses immunitaires et essayer de garder la tête haute et le nez débouché pendant l’hiver.

Attention, ces conseils ne sont valables qu’avec l’aval de votre médecin généraliste ou de votre pharmacien, le seul à connaître vos antécédents et à pouvoir vous conseiller au mieux. Voici les conseils d’Eric Myon, pharmacien parisien, spécialisé en homéopathie et en phytothérapie.

La vitamine D

VitamineDQuoi? La plupart des Français sont carencés en vitamine D. La vitamine D ne vous rendra pas plus dynamique comme la vitamine C, mais elle permettra au calcium de mieux se fixer sur les os. Cette vitamine se révèle être aussi excellente pour renforcer les défenses immunitaires. Comment? La vitamine D peut se consommer sous forme d’ampoules prescrites par un médecin ou par la prise de comprimés alimentaires vendus en pharmacie. Si vous êtes courageux, vous pouvez tenter de prendre de l’huile de foie de morue. Sinon, les compléments alimentaires sous forme de gélules vous apporteront la dose nécessaire d’huile de poisson et de lanoxile de mouton. Quand? Pendant les 6 mois où le soleil brille le moins.

L’influenzinum

InfluenzinumCette souche homéopathique est en fait le virus de la grippe dilué. Et oui, l’homéopathie ce ne sont pas seulement des extraits de plantes ou de substances animales! Attention, comme le rappelle l’ANSM, prendre l’influenzinum ne se substitue pas au vaccin de la grippe. Comment et quand? à prendre au tout début de l’hiver, une fois par semaine pendant 4 semaines puis une fois par mois pendant tout l’hiver. La thymuline, l’Osciloccocilum ou le sérum de Yersin sont aussi de bons alliés.

L’échinacée

EchinaceeSi les effets de cette plante ne sont pas aussi fulgurants que certains sites spécialisés l’avancent, cette fleur de la même famille que la marguerite peut renforcer vos défenses immunitaires pendant l’hiver. Comment? Elle peut être prise en phytothérapie conjuguée au cyprès ou au cassis. Quand?L’échinacée peut être prise en prévention en octobre et en novembre, puis au retour des fêtes de fin d’année, en janvier.

 

L’ huile essentielle d’eucalyptus

Huile

[Attention, cela ne convient aux femmes enceintes, allaitantes et aux enfants en bas âge] Quoi? L’huile essentielle d’eucalyptus est assez efficace en cas de grippe, rhume, rhinopharyngite, sinusite, angine, bronchite, toux, otite, infections hivernale.Comment? Quand? À prendre deux capsules matin et soir en cas de rhume déclaré. Sinon une capsule tous les matins. 

Des oligoéléments comme l’or et l’argent

OligoelementsNotre corps ne sait pas fabriquer les oligoéléments, il les trouve dans l’alimentation. En hiver, une cure de minéraux est loin d’être inutile pour renforcer nos défenses immunitaires. Comment? Les oligoéléments se prennent sous forme de comprimés, de granules ou d’ampoules. Quand? En cas de rhumes, le duo or et argent peut s’avérer assez efficace. Le cuivre aussi peut servir pour déboucher le nez. 

Une tisane de thym

TisaneSi boire un bouquet de Provence ne vous dérange pas outre mesure, la tisane de thym pourrait devenir un excellent allié pour passer l’hiver. De même que les champignons asiatiques comme les shiitakés.Article originale

Quelle position pour dormir ?

Que vous soyez plutôt du genre à dormir sur le côté, sur le dos ou le ventre, il y a de fortes chances que vous changiez rarement vos habitudes de sommeil. D’après une étude conduite en 2012 par la société de décoration Anna’s Linens, 74% des Américains dorment sur le côté alors que 16% déclarent préférer dormir sur le ventre, et 10% sur le dos. Dans l’hexagone aussi, plus de la moitié des Français dorment sur le côté. S’il est difficile de dire ce que ces préférences dévoilent de nos personnalités, ces différentes positions ont de réelles conséquences sur le sommeil et la santé.

SleepPositions
source : Article originale

Séniors: bien faire ses abdos sans douleur

L’exercice abdominal statique de l’écrase-ballon est souvent utilisé pour un retour progressif de musculation des abdos et par extension pour le travail musculaire du ventre chez les séniors.

Chez les personnes plus âgées, présentant des douleurs ou pas, cet exercice abdominal présente l’avantage de ne pas imposer trop de contraintes sur le dos ou autres parties du corps. Il est donc idéal chez les séniors, mais pas seulement, bien sûr.

Voici les conseils du Coin Forme pour que vos abdominaux retrouvent leur efficacité.

1/ ABDOS – ÉCRASE-BALLON, EXÉCUTION DE L’EXERCICE

Positionnement :
Allongé sur le dos au sol.
Dos bien plaqué, ventre gainé.

Exécution :
Soulever les pieds du sol et monter les genoux en soufflant.
Pousser le ballon avec la main opposé pour l’écraser contre le genou.
Ensuite changer de main et de genou.
Chez les séniors, aucune douleur ne doit être ressentie à l’épaule ni à la hanche.

Nombre de répétitions :
Commencer par 15 secondes d’un main puis 15 secondes de l’autre.
Faire une pause, reprendre son souffle puis recommencer 2 autres fois.

Matériel nécessaire :
Un ballon et un tapis de sol.
Si vous n’avez pas de ballon, poussez directement la main contre le genou.

2/ PROGRESSION ABDOS À TOUT ÂGE DE L’ÉCRASE-BALLON

Niveau 1:
Tête et buste allongés.
3 séries de 15 secondes de chaque main.
Niveau 2:
Tête et buste allongés.
5 séries de 30 secondes de chaque main.
Niveau 3:
Relever le buste et la tête (bien gainer).
3 séries de 15 secondes de chaque main.
Niveau 4:
Relever le buste et la tête (bien gainer).
5 séries de 30 secondes de chaque main.

Aller plus loin:
Selon votre âge, progressez plus ou moins vite.
Ecraser le ballon plus fort ou prendre un ballon plus lourd.
Effectuer les 12 variantes possibles : main sur l’intérieur du genou, main sur l’extérieur du genou, main et genou du même côté.

3/ ERREURS, SÉNIOR OU PAS, À NE PAS FAIRE À L’ÉCRASE-BALLON

  1. Savoir contrôler son gainage. Vos muscles transverses doivent être contracté (Tonifiez votre ventre sur les flancs en diminuant votre tour de taille et en vous grandissant). Ensuite tonifier vos ventre, dos et périnée. Votre corps ne doit pas bouger pendant le renforcement des abdos avec l’exercice de l’écrase-ballon, que vous soyez jeune ou plus âgés!
  2. Respirer correctement. Soufflez avant de contracter vos muscles abdominaux. Pendant l’exercice, vous devez respirer sans gonfler le bas du ventre. Pensez surtout à bien souffler en vidant le ventre. Pendant les pauses, reprenez votre souffle en reposant les pieds au sol.
  3. Bien soulever le buste. Vos omoplates (scapulas) doivent se soulever. Le mouvement de décollement part des abdos et pas du cou ni des épaules.
  4. Lisez bien ce lien si vous le réalisez spécifiquement pour tonifier votre ventre après l’accouchement.


Source : Article Original

10 conseils pour devenir matinal(e)

Dans l’idéal, tout le monde serait du matin. On se lèverait, frais et dispos, prêts à affronter les épreuves de la journée. Mais notre monde est imparfait, et la plupart d’entre nous courent dans tous les sens pour arriver à l’heure au boulot sans faire de tache de café sur leur chemise.

Il y a beaucoup d’avantages à se lever tôt: encore plus de temps pour le travail et les loisirs, et des journées moins stressantes. Tout cela, on le sait. Mais, malgré tous nos efforts, on appuie toujours (une fois de trop) sur le bouton snooze quand le réveil sonne. On avait pourtant décidé de se lever suffisamment tôt pour prendre un bon petit déjeuner et être présentables mais -allez savoir pourquoi- ces bonnes résolutions s’évanouissent dès qu’on ferme les yeux. L’envie d’aller faire de la gym à six heures du matin devient moins pressante quand on est bien au chaud sous la couette et que le soleil brille à travers les persiennes…

Les heures de sommeil effectif ne sont pas le seul facteur à prendre en compte quand on cherche à se lever tôt et du bon pied. Il est tout à fait possible de devenir matinal(e). Et même, aussi incroyable que cela puisse paraître, que le matin devienne le meilleur moment de la journée! Pas de deadlines, de repas à préparer pour les enfants, d’emails à rédiger. Ça peut être un moment pour s’isoler, se détendre et prendre soin de soi, tout en arrivant à l’heure au bureau. Alors, comment faire?

1) Dormir davantage. Allez, hop! Évacuons tout de suite ce qui tombe sous le sens, même si on a du mal à l’entendre. On en a envie, mais on en a surtout besoin. Comme le sport, dormir sept à neuf heures est essentiel pour notre santé. Rien ne remplace un sommeil réparateur.

Pourtant, les gens persistent à croire que leur emploi du temps est trop chargé. Inutile de sacrifier sa santé pour obtenir le succès: avec un minimum de réorganisation, faire des nuits de huit heures devient possible. Des études de Harvard Health ont trouvé qu’elles avaient pour conséquence:

• une amélioration de la mémoire;
• un métabolisme et un poids plus équilibrés;
• une meilleure humeur et davantage de concentration;
• une pression artérielle et un stress plus bas.

Quand notre corps manque de sommeil, il peine à changer ses habitudes. Notre motivation et notre productivité sont également affectées.

2) Enlever les écrans de la chambre à coucher. Certains envisageront donc de (re)déménager leur télé dans le salon. Si ça a l’air trop dur, efforcez-vous de l’éteindre à une certaine heure. De même, n’utilisez pas votre ordinateur portable ou votre tablette au lit. Je n’irai pas jusqu’à recommander d’évacuer les mobiles, puisque beaucoup s’en servent comme réveil, mais essayez de ne pas les utiliser juste avant de fermer les yeux: quand on passe sa journée devant un écran, comme la majorité d’entre nous, notre cerveau peut avoir du mal à faire la différence.

Transformez votre chambre en havre de paix et de sommeil. Regarder House of Cards au lit pour vous détendre peut empêcher votre cerveau de bien faire la transition. Préférez le canapé du salon pour regarder la télé et évitez de regarder un écran au moins une heure avant de vous coucher. Si vous avez absolument besoin de consulter votre iPhone, réduisez sa luminosité au maximum.

3) Se coucher quand on est fatigué. La plupart des gens se couchent à heure fixe mais, après une journée particulièrement épuisante, ils ont tendance à ignorer les messages de leur cerveau les avertissant qu’ils sont fatigués plus tôt que d’habitude. Soyez attentif aux messages de votre corps. Comme quand on se couche trop longtemps après avoir pris un somnifère, lutter contre la fatigue peut avoir des effets négatifs en envoyant des signaux contradictoires à votre cerveau.

4) Créer une routine et une ambiance agréables. Après avoir fait ma toilette, j’aime lire un livre (papier!) et boire une tisane -celles à la camomille ou la lavande sont les plus efficaces- une demi-heure ou trois quarts d’heure avant d’éteindre la lumière. Quelle que soit la solution relaxante pour laquelle vous optez, faites en sorte de pouvoir la reproduire soir après soir. Votre corps finira par s’y habituer et il saura quand il doit se mettre en sommeil. Votre environnement est également important: une chambre propre et bien rangée, que vous n’utilisez quasiment que pour vous détendre et dormir, vous tranquillisera.

5) Oublier le bouton snooze. Si vous vous réveillez dans le coton après une bonne nuit, c’est qu’un cycle de sommeil paradoxal a été interrompu. Nos phases de sommeil profond, quand se forment les rêves, durent entre 70 et 90 minutes. Il est préférable de se réveiller au début d’un cycle, quand notre sommeil est le plus léger.

Des applications comme Sleep Time vous permettent de régler votre réveil en fonction de vos phases de sommeil. Il ne sonnera (doucement) qu’à la fin d’un cycle paradoxal.

6) Se lever rapidement. Puisque notre chambre est un lieu de relaxation, il faut en sortir le plus vite possible quand c’est l’heure se lever, même s’il faut aller jusqu’à la cuisine pour boire un verre d’eau. Quand on est encore couché, à regarder notre fil Twitter, ou qu’on se retourne en baillant, la lassitude s’installe. Alors, levez-vous et activez-vous dès que vous vous réveillez!

7) Se réveiller tous les jours à la même heure. Au bout d’un moment, vous n’aurez même plus besoin d’un réveil (évitez d’ailleurs de le régler plus tard sous prétexte que vous n’avez pas besoin de prendre une douche le lendemain matin, ou que vous pouvez vous permettre d’être en retard, etc…). Votre horloge interne -celle qui vous réveille quelques minutes avant la sonnerie- ne doit pas être déréglée. Essayez enfin de limiter les grasses matinées le week-end, qui peuvent elles aussi perturber votre rythme.

8) Faire du sport le matin. Vous êtes probablement en train de vous étrangler: « Ça va pas? J’arrive à peine à me faire un café, alors la salle de sport… » Mais faire du yoga ou un petit jogging permet à votre corps d’évacuer les toxines qui troublent votre sommeil. Bien sûr, la pratique régulière d’un sport est toujours bénéfique mais ceux qui estiment qu’ils n’ont pas le temps de bien dormir font souvent l’impasse sur l’exercice physique, ce qui est une grave erreur.

Faire du sport le matin vous aide à vous nourrir plus sainement, et vous libère pour le restant de la journée. Votre métabolisme et votre énergie en seront décuplés, ce qui améliorera votre productivité. Quand on a prévu de faire du sport après une journée de travail, on est souvent épuisés physiquement et mentalement, si bien qu’on s’invente des excuses. En ne permettant pas à notre corps d’évacuer ses toxines, on entre dans un cercle vicieux de mauvaises habitudes alimentaires qui affectent aussi le sommeil.

9) S’exposer à la lumière du jour. Pensez à prendre une bonne dose de vitamine D tout au long de la journée. Le ciel est nuageux? Sortez au moins quinze minutes pour prendre l’air, ou mettez vous près d’une fenêtre. Quand il fait souvent gris, surtout pendant l’hiver, vous pouvez éventuellement investir dans une lampe à bronzer, ce qui influe sur votre horloge interne et réduit les symptômes dépressifs en régulant vos hormones.

10) Toujours prévoir quelque chose de gratifiant. Organisez votre semaine pour vous faire des petits plaisirs, même si c’est un simple coup de fil à un(e) ami(e), ou la découverte d’un nouveau restau. Ce sont les petites choses qui comptent! Comme tout le monde ne s’épanouit malheureusement pas au travail, prévoyez des activités ou des sorties entre amis pendant la semaine. Donnez-vous une raison de sortir du lit et n’attendez pas le vendredi pour respirer.

Quand vous réussirez à vous lever plus tôt, tout ce temps libre vous appartiendra. Peut-être avez-vous besoin d’une heure tous les matins pour réfléchir à cette idée que vous avez depuis longtemps envie de mettre en œuvre, ou d’un moment de tranquillité absolue pour prendre votre café, seul(e) dans votre cuisine. Prendre du temps pour soi au début de la journée aide à vivre le moment présent. La vie est une course, qui nous sollicite en permanence. Le matin est le moment idéal pour faire le point…

Pendant que vous vous préparez, que vous buvez votre café, pensez à cinq choses que vous avez la chance d’avoir dans votre vie. Faites une liste de ce que vous être fier d’avoir accompli cette semaine. Commencer une journée au calme, en vous donnant le temps de la réflexion et avec plaisir donnera le ton au reste de la journée. La matinée peut devenir un de vos moments préférés. Mais, pour cela, il faut que vous ayez hâte d’y être en changeant votre emploi du temps et vos habitudes.

Tous ces changements ne seront pas forcément draconiens, mais vous devez avoir conscience qu’ils occasionneront quelques réajustements. Vous vous sentirez peut-être un peu bizarre au début, mais ça en vaudra le coup!

Source : Article original

Abdos, fessiers: 3 conseils pour se remuscler après l’accouchement

Renforcer ses abdos, fessiers et dorsaux avec l’exercice du ponté pelvien est efficace si bien exécuté, notamment après l’accouchement.

Le ponté est un grand classique des exercices de tonification des muscles abdominaux et fessiers.

Il permet aussi de travailler le gainage après l’accouchement. Dans ce cas il est intéressant car le corps est en déclive (un peu à l’envers), ce qui diminue les contraintes exercées sur le périnée par la pesanteur.

Voici les conseils du Coin Forme pour vous muscler sans vous faire mal.

1/ ABDOS, FESSIERS, DORSAUX – PONTÉ, EXÉCUTION DE L’EXERCICE

Positionnement :
Allongée sur le dos au sol.
Dos bien plaqué, ventre gainé.
Après l’accouchement, penser au périnée avant de contracter les transverses et autres abdos.

Exécution :
Soulever les fesses du sol et les monter en soufflant.
Les fessiers se contractent en montant.
La descente est lente et contrôlée.

Nombre de Répétitions :
Commencer par 15 mouvements. Faire une pause, reprendre son souffle puis recommencer 2 autres fois.

Matériel nécessaire :
Juste un tapis de sol.

2014-10-17-pontepelvienfessiersdorsauxbashaut.jpg

2/ PROGRESSION DU PONTÉ PELVIEN, APRÈS ACCOUCHEMENT OU PAS

Niveau 1:
Sur les 2 pieds.
3 séries de 15 montées/descentes.
Niveau 2:
Sur les 2 pieds.
5 séries de 30 montées/descentes.
Niveau 3:
Sur 1 pied.
3 séries de 15 montées/descentes.
Niveau 4:
Sur 1 pied.
5 séries de 30 montées/descentes.

Aller plus loin:
Après l’accouchement ou pas, les abdos et fessiers peuvent être travaillés avec de nombreuses variantes au ponté.
Réaliser les exercices sur une marche (type stepper).
Augmenter la vitesse et le nombre de chaque série (jusqu’à 50 montées/descentes).

3/ ERREURS D’ABDOS FESSIERS À NE PAS FAIRE AU PONTÉ

Savoir contrôler son gainage.
Vos muscles transverses doivent être contractés (tonifiez votre ventre sur les flancs en diminuant votre tour de taille et en vous grandissant).
Ensuite tonifier vos ventre, dos, fessiers et périnée, surtout si après accouchement.
Votre corps ne doit pas bouger pendant le renforcement des fessiers et dorsaux avec l’exercice du ponté pelvien.
Respirer correctement.
Soufflez en contractant vos muscles fessiers.
Pendant l’exercice, vous devez respirer sans gonfler le bas du ventre. Pensez surtout à bien souffler en vidant le ventre.
Pendant les pauses, reprenez votre souffle en reposant les pieds au sol.
Ne pas cambrer en haut du mouvement.
Vos fessiers et dorsaux doivent être contractés et votre gainage maintenu pendant vos pontés.
Si vous sentez des douleurs au dos en haut du mouvement, montez un peu moins haut.

Source : Article originale

Ostéopathie, quand ça « craque » : les 5 idées reçues !

Si vous avez déjà consulté un ostéopathe, peut-être vous êtes-vous demandé s’il allait vous faire « craquer ». Et si tel fut le cas, vous avez certainement redouté cet instant. Si, à l’opposé, vous êtes ostéopathe, vous avez probablement déjà eu à faire à des patients vous demandant si vous faisiez « craquer les os ».

Les 5 idées reçues sur le « craquage »

1 -On ne fait jamais craquer les os mais les articulations !

2- Le craquement articulaire n’est dû qu’à l’accélération du mouvement : en effet, un craquement ressenti dans le cadre d’une manipulation correctement effectuée n’est jamais le résultat d’un mouvement trop ample ou forcé, c’est simplement le fait de l’accélération du déplacement d’un os par rapport à l’autre, tout en restant dans une limite physiologique. Le même mouvement effectué à vitesse constante par le praticien ne produit aucun craquement. On parle alors de mobilisation articulaire, dont le résultat est le même qu’une manipulation, excepté le fait qu’il prend en général plus de temps et que son efficacité risque d’être moins durable.

3 –Ingurgiter un anti-inflammatoire comporte plus de risques qu’une manipulation : il est effectivement prouvé que la prise d’anti-inflammatoires induit environ 1 accident (hémorragie, perforation, ulcère et même des accident cardio-vasculaire) pour 10 000 prescriptions, entraînant une visite obligatoire aux urgences voire, dans les cas les plus graves (notamment chez les personnes très âgées), le décès du patient.

4- Les accidents manipulatoires, quant à eux, ne sont recensés que dans un cas pour 1,2 millions de manipulations ! Et la plupart du temps, il s’agit de simples « réactions adverses bénignes », c’est-à-dire des douleurs, des réactions inflammatoires ou des fortes courbatures apparaissant dans les 48 heures consécutives à la consultation. Par ailleurs, il est extrêmement difficile de démontrer qu’un accident vasculaire grave peut être directement lié à une manipulation car, le plus souvent, il s’agit là aussi de personnes à risque (hypertendues, sujettes à un fort taux de cholestérol ou de diabète, prenant de nombreux traitements médicamenteux).

5 –Les modes d’actions et les conséquences cliniques d’une manipulation sont maintenant bien connues. Quelle que soit l’articulation ciblée, au niveau du dos, du cou ou des membres, il est en effet largement admis qu’une manipulation comporte des effets antalgiques, voire anti-inflammatoires, myo-relaxants et même à distance au niveau neuro-vasculaire. Il est aussi reconnu que la manipulation est particulièrementefficace sur les douleurs, les raideurs ou blocages articulaires aigus ou subaigus, ce qui signifie installés depuis moins de 3 mois. Au-delà de ces 3 mois, il peut être nécessaire d’associer la manipulation avec un traitement médicamenteux prescrit par le médecin et des séances de rééducation ou de détente musculaire effectuées par un physiothérapeute ou un kinésithérapeute.

En pratique : la manipulation est donc l’outil thérapeutique le plus efficace, le plus rapide et comportant le moins de contre-indications pour répondre à un trouble fonctionnel articulaire, même si quelques risques très rares existent. Toutefois, un acte médical à risque zéro n’existe pas. Il se définit toujours par un ratio bénéfice/risque et par un ensemble d’indications et de contre-indications.

Quoi qu’il en soit, on peut dire que vous aurez plus de chances de gagner au loto ou plus de risques d’être victime d’un crash aérien que de subir un accident post-manipulatoire.

Evidemment, la manipulation articulaire reste un acte à haut niveau de responsabilité et de technicité. Seuls les praticiens, ostéopathes ou chiropracteurs, dûment formés et pratiquant régulièrement, sont aptes à réaliser ce genre de geste thérapeutique.

Source : Article original

Quelle chaise choisir pour son dos?

siegeenselleChaise, siège, fauteuil : que choisir pour son bureau de manière à être bien assis et protéger son dos ?

Du point de vue du kiné, c’est une chaise qui vous permet de maintenir votre dos droit.
Votre colonne vertébrale conserve ses courbures naturelles. Les lombaires, le bas du dos, sont donc légèrement creusées (lordose naturelle).
Vous trouverez des conseils pratiques pour vous tenir doit ici.

LE SIÈGE PARFAIT POUR LE DOS EXISTE-IL ?

Une chaise parfaite ? Un vendeur de fauteuils ergonomiques vous dirai que oui ! Mais un professionnel de la santé sera forcément moins catégorique. Vous avez sûrement déjà lu ou entendu que certains sièges étaient le must. On peut citer 4 types de sièges fréquemment réputés comme « bon pour le dos » :

  • Le fauteuil large de bureau ergonomique
  • La chaise « assis à genoux »
  • La chaise « swopper »
  • Le fauteuil en selle

Le siège favorisant le plus une bonne position du dos (et du cou) semble être le siège « en selle ». Il ressemble à une selle de cheval, les cuisses descendant sur les côtés.

Pour ceux qui souhaitent approfondir sur le sujet, voici une étude (en anglais) publiée sur l’European Spine Journal en 2012 qui a recherché quelle chaise permet une position optimale de la colonne vertébrale.

FAUT-IL UN DOSSIER SUR VOTRE CHAISE DE BUREAU ?

Le dossier de votre chaise de bureau influence-t-il votre position assise ?

Notre corps n’est pas fait pour rester immobile, dans la même position, longtemps. Les patients lombalgiques (avec des douleurs du bas du dos) notent souvent que leurs douleurs augmentent quand ils doivent rester debout ou assis longtemps.
Au bureau, c’est valable aussi. Le Coin Forme vous conseille de vous lever de votre fauteuil et de bouger un peu, au moins toutes les 45 minutes.

Le dossier de votre chaise de bureau peut donc permettre de changer de position et de souffler un peu en s’y reposant.

2 cas de figures donc :

  • Vous êtes assis la plupart du temps (par exemple devant un écran) : avoir un dossier vous permettra de vous relaxer et de changer la position de votre colonne vertébrale de temps en temps.
  • Vous êtes assis mais très actifs (vous devez souvent vous déplacer, vous lever) : un dossier n’est pas primordial puisque vous bougez déjà beaucoup.

QUEL CHAISE CHOISIR POUR VOTRE DOS ?

Un fauteuil en selle avec dossier serait sûrement la tendance du Coin Forme. Mais la réponse sera sûrement différente pour chacun !

Voici quelques points à vérifier avant d’acheter un fauteuil, une chaise ou un siège :

  • La chaise doit être compatible avec votre environnement de travail. Pensez notamment la hauteur du bureau, la largeur des passages si vous devez rouler et pensez aussi à l’aspect esthétique parfois important (selon votre travail).
  • Essayez toujours un siège pendant plusieurs minutes avant de l’acheter. Le plus important est de vous sentir confortable et de ne pas avoir de douleurs particulières. Par exemple, les chaises en selle ne conviendront pas à tout le monde.
  • « Le fauteuil ne fait pas le moine. » Pensez aussi à vous tenir correctement. Vous pouvez consulter le lien en début d’art

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