Piqûre de moustique : ce qu’il se passe dans notre corps et les signes d’une réaction anormale

 

On est en plein milieu de l’été et évidemment, on part faire des randonnées, du camping et on se prélasse dans notre jardin. Et les moustiques adorent ça.

Pendant les chaudes journées estivales, à l’aurore et à l’aube, les moustiques s’amusent à piquer un peu partout les humains qui ne se doutent de rien (certaines personnes sont en fait génétiquement prédisposées à attirer les moustiques, selon une étude).

D’après Jonathan F.Day, professeur d’entomologie (étude des insectes) à l’université de Floride, on se fait piquer quand une femelle explore la peau avec sa bouche et trouve un lit capillaire – c’est-à-dire un ensemble de capillaires qui relient les veines aux artérioles – à proximité de la surface de la peau.

« Dans ce processus, le moustique libère de la salive sous la peau de son hôte à chaque endroit qu’il explore », explique Day. « La salive contient des protéines, ce que le système immunitaire de l’hôte considère comme des substances étrangères ».

Cela entraîne une réponse immunitaire immédiate à l’endroit de la piqûre et c’est ainsi qu’on se retrouve avec un bouton qui gratte.

Bien que le plupart des piqûres de moustiques ne cause qu’un bouton et quelques jours de démangeaison, les moustiques peuvent aussi causer des sévères réactions allergiques et même être porteurs de maladies. Comment savoir si votre piqûre de moustique est plus importante qu’elle en a l’air? On y répond pour vous:

 

Quand ce n’est pas qu’une petite
piqûre de moustique

La plupart des piqûres de moustiques sont sans danger (même si ça démange!)et se guérissent sans rien faire. Parfois cependant, une piqûre peut causer des réactions allergiques ou même des maladies graves.

MosquitosFRENCH (1)

MosquitoSkinFRENCH

 

 

Source : http://www.huffingtonpost.fr/2015/08/07/piqure-de-moustique-corps-signes-reaction-anormale_n_7932992.html

 

 

 

oeil bionique

Dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) : implantation réussie d’un « oeil bionique » sur un Britannique de 80 ans

 

Un retraité britannique de 80 ans souffrant de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) a bénéficié de l’implantation « réussie » d’un « oeil bionique » posé à même la rétine, a annoncé mercredi l’équipe médicale de l’hôpital de Manchester qui a pratiqué l’opération.

« Les progrès de Ray Flinn sont vraiment remarquables. Il voit vraiment bien les contours des gens et des objets », a déclaré le professeur Paulo Stanga, chirurgien ophtalmologiste au Manchester Royal Eye Hospital qui présente cette intervention comme une première mondiale pour un patient atteint de DMLA.

La maladie, marquée par une dégradation d’une partie de la rétine (la macula), est une importante cause de handicap visuel chez les plus de 50 ans et sa fréquence augmente avec l’âge. Elle peut mener à la perte de la vision centrale.

« Les premiers résultats sont un succès total et je suis impatient de traiter davantage de malades souffrant de DMLA sèche avec l’Argus II dans le cadre de cet essai clinique », a ajouté le professeur Stanga.

Un implant oculaire à 115.000 euros

Vendu 115.000 euros en Europe et fabriqué par la société californienne Second Sight, Argus II est un implant oculaire jusqu’à présent utilisé sur les personnes aveugles par rétinopathie dégénérative, une maladie génétique. Cet implant « stimule » artificiellement, par des impulsions électriques, la rétine déficiente.

L’appareil se présente sous la forme d’une paire de lunettes de soleil, équipée d’une caméra miniature, d’un boîtier électronique portatif pour retraiter les données visuelles captées par la caméra et d’un système de transmission jusqu’à l’implant oculaire.

Des systèmes similaires de « rétines artificielles » mis au point par trois sociétés, aux États-Unis, en Allemagne et en France, équipent actuellement une centaine de personnes dans le monde.

Cette intervention de quatre heures, qui a déjà permis à plusieurs dizaines d’aveugles souffrant de rétinopathies pigmentaires de recouvrer en partie la vue, pourrait bénéficier aux plus de 30 millions de personnes dans le monde qui souffrent de DMLA, selon les chiffres de la fondation américaine Foundation Fighting Blindness (FFB).

Deux autres voies radicalement différentes sont à l’étude pour soigner la DMLA: la thérapie génique, qui consiste à modifier les gènes à l’origine de la maladie, et la thérapie cellulaire, quand des cellules souches sont injectées dans la rétine pour se substituer aux cellules déficientes.

 

Source : http://www.huffingtonpost.fr/2015/07/22/dmla-oeil-bionique-maladie-ca-marche-sante_n_7848420.html

 

BIEN-ETRE-TRAVAIL

Bien-être : 5 conseils pour se sentir mieux sur son lieu de travail

 

En moyenne, un Français passe près de 40 heures par semaine au travail et près de 1500 par an. Quand on additionne à cela les heures passées à dormir, à s’occuper des tâches ménagères, à prendre soin des enfants, il reste (trop) peu de temps pour soi.

Alors, pour éviter la dépression nerveuse et se réserver des moments de joie dans ce monde de brutes, il serait bon de rendre son environnement de travail un tant soit peu agréable. On ne parle pas ici de se déguiser en lapin ou de cuisiner des muffins tous les jours. Mais quelques petits riens peuvent faire la différence. La preuve par 5.

1. Transformez votre colère en quelque chose de positif

On appelle cela l' »office rage » ou « colère au travail » et ça peut arriver très vite. Une remarque, un mail mal tourné, une chaise de bureau mal réglée, la crise de nerfs guette.

Mais comment gérer l’énervement? Selon une étude de la Harvard Medical School, il ne servirait à rien de le réprimer. C’est un peu comme le principe de la catharsis d’Aristote: exprimer ses passions permettrait de trouver un épanouissement personnel… et d’éviter de lancer son clavier à travers l’open-space.

Comme l’a expliqué le psychiatre George Vaillant, qui a dirigé l’étude, à nos confrères de Capital.fr: « Les gens assimilent la colère à une émotion terriblement dangereuse et sont encouragés à pratiquer la pensée positive. Nous trouvons cette approche dévalorisante et dommageable dans la mesure où elle consiste à nier la réalité. »

Selon l’étude, la colère pourrait même être mise à profit. Elle donnerait la force nécessaire pour dire non ou pour demander cette promotion dont on rêve depuis des années. « La colère permet d’oser, de poser des limites ou de formuler des exigences », explique Etienne Roy, auteur de l’ouvrage Du bon usage des émotions au travail.

Attention cependant, rien ne sert d’être agressif. Il suffit juste de canaliser ce qu’il faut de courage pour aller de l’avant. Pas toujours facile quand on a des collègues un peu trop bruyants.

2. Prenez le temps de prendre l’air

On vient de le voir, il est possible de transformer son ras-le-bol en quelque chose de positif. Mais pour y arriver, mieux vaut s’aérer la tête pour prendre du recul. D’où le bienfait des pauses.

Certes, le temps de pause légal est de 20 minutes toutes les 6 heures de travail. Mais de multiples études prouvent que la productivité au travail est accrue par un petit temps de pause par heure. Pas étonnant, donc, de voir de grandes entreprises comme Apple, Facebook ou Youtube ouvrir des espaces détente pour permettre à ses employés de se reposer, lire, jouer ou faire du sport entre deux sessions de travail.

Voici par exemple à quoi ressemblent les locaux de Facebook .

Il a aussi été prouvé que changer d’environnement accroissait la créativité. Saisissez donc la moindre occasion pour vous échapper du bureau. Rendez visite à ceux du bureau d’à côté, allez prendre un café, passez un coup de fil dans le hall de l’immeuble… Il s’agit ici de ne pas tomber dans une routine contre-productive. « Quand le contexte extérieur est varié, l’information est enrichie. Cela ralentit la perte de mémoire”, a déclaré le psychologue Robert Bjork au New York Times.

Rappelons aussi qu’une marche de 10 minutes servirait à augmenter la concentration pour les deux heures qui suivent.

3. Ne martyrisez pas votre corps

Il a été prouvé que rester plusieurs heures d’affilée sur une chaise de bureau pouvait avoir de graves conséquences pour la santé: cancer colorectal, diabète, obésité, mal de dos,etc.

Il est donc conseillé de se lever de sa chaise au moins une fois par heure pour reprendre une position normale. N’importe quel prétexte est valable: jeter des papiers à la poubelle, discuter avec la réceptionniste ou aller reprendre un café (rien à voir avec celui que vous aurez pris pour la pause, voir notre point numéro 2). Cela permet en plus de s’étirer et de se masser les yeux un moment.

Pas du luxe quand on connaît les lésions oculaires que peuvent provoquer les écrans d’ordinateur.

Quelques conseils pour rester assis moins longtemps dans notre diaporama situé en bas de cet article.

4. Créez un espace de solidarité

Sur son site Internet, le Ministère du travail a publié « 10 solutions pour améliorer la santé psychologique au travail ». Parmi les solutions, figure celle-ci :  » Donner aux salariés les moyens de se réaliser dans le travail. Restaurer des espaces de discussion et d’autonomie dans le travail ».

Des espaces de discussion? Même si cette proposition s’adresse en premier lieu aux dirigeants, force est de constater qu’elle s’applique aussi aux employés, car comme le souligne le conférencier Philippe Laurent dans une tribune parue dans Lexpress.fr,  » l’ambiance de travail est aussi vitale que l’oxygène dans l’air. »

D’où l’utilité d’éviter les conflits avec ses collègues ou, si c’est impossible, de crever l’abcès immédiatement, le tout dans le but de créer un climat de confiance. Comme le souligne le magazine spécialisé La Vie Eco, une bonne atmosphère dans le bureau permettra de ne pas créer de jalousie et de travailler sans la pression du jugement des autres.

Et, avantage sans pareil, même si ça sonne un peu comme un cliché: quand l’ambiance est sympa, on traîne quand même moins les pieds pour aller au boulot. On imagine que ces gens-là, par exemple, ils ne traînent pas les pieds.

5. Séparez travail et vie privée

Une enquête publiée en 2012 a tiré la conclusion que le domaine du travail empiète de plus en plus sur celui de la vie privée. Le chapitre intitulé « destruction du quotidien », précise que « l’intensité du travail rend le quotidien plus pénible et sollicite l’implication de la personne, ce qui n’est pas sans lien avec sa fatigue. Tout travail de la sorte implique alors des moments de répits que la vie privée doit pouvoir offrir. »

Ici, la logique est la même que pour les petites pauses toutes les deux heures (voir le point numéro 2), mais sur le long terme: pour éviter la surchauffe, mieux vaut faire totalement abstraction du travail quand on rentre chez soi et s’aménager des temps de repos et dormir.

Bonne nouvelle: cette année, le Ministère de la réforme de l’Etat, de la décentralisation et de la fonction publique a publié un rapport avec plusieurs solutions permettant d’articuler vie professionnelle et vie personnelle: assouplissement du temps de travail, meilleurs congés parentaux, temps partiel annualisé… Allez, haut-les-coeurs!

Si vous n’arrivez vraiment pas à déconnecter, c’est peut-être parce que vous êtes accro au boulot.

Source : http://www.huffingtonpost.fr/2013/04/29/5-conseils-bien-etre-travail_n_3176902.html

dormir

Les erreurs à éviter pour bien dormir quand il fait chaud !

 

Il fait chaud, ce n’est un secret pour personne ! Mais comment faire pour passer une bonne nuit ? On a listé les erreurs à ne pas commettre pour sombrer au plus vite dans les bras de Morphée.

Journée caniculaire annoncée ! Si les températures élevées sont difficiles à supporter en journée, c’est parfois encore plus pénible la nuit. En effet, le corps a du mal à réguler la chaleur du corps et donc à organiser nos phases de sommeil. S’il n’y a pas de recette miracle pour rejoindre les bras de Morphée, il y a des choses qu’il vaut mieux éviter de faire.

 

  • Ne pas laisser sa bouteille d’eau au frigo

Oui, il est important de boire, mais mieux vaut laisser une bouteille près de son lit et non dans sa cuisine, pour éviter de couper sa nuit en se réveillant complètement.

 

  • Ne pas manger trop lourd au diner

Si ce n’est pas si important en hiver, sauf pour des questions de poids et de digestion, quand il fait chaud il est préconisé de manger léger ! Pourquoi ? Car la température de votre corps augmente pendant la digestion, autant qu’elle soit rapide.

 

  • Ne pas boire d’alcool non plus

Même raison que pour les repas trop riche : l’alcool fait augmenter la température corporelle ! Déconseillé donc en cas de fortes chaleurs !

 

  • Prendre un bain glacé avant d’aller se coucher

En plus de risquer une hypothermie, ce n’est pas conseillé de faire baisser la température de son corps ainsi avant de dormir. Principalement parce que votre métabolisme va essayer de rétablir votre température moyenne dès que vous vous coucherez. Préférez un bain tiède et ne vous séchez pas complètement si vraiment la température ambiante n’est pas supportable !

 

  • Ne pas se coucher trop tôt

Contrairement aux idées reçues, quand il fait chaud, il faut mieux décaler son heure de coucher ! Pourquoi ? Car « un sommeil plus court et efficace est préférable à un sommeil long et fractionné » explique le Dr Sylvie Royant-Parola, médecin psychiatre et présidente du Réseau Morphée, interviewée par SciencesEtAvenir !

 

Source : http://www.marieclaire.fr/,les-erreurs-a-eviter-pour-bien-dormir-quand-il-fait-chaud,738030.asp

Contre la canicule, les meilleures boissons et les pires (indice la bière n’est pas une bonne idée)

 

Alerte à la canicule! Vingt-six départements du sud-ouest, du centre, de l’Ile-de-France et du centre-est sont désormais placés en vigilance orange en prévision d’un « épisode caniculaire précoce et durable » à partir de mardi 30 juin 14h, a annoncé Météo France. Autrement dit, il va faire chaud, très chaud. Il fera donc aussi soif, très soif.

Or lorsque la température monte, il est crucial de bien s’hydrater. Pas seulement pour répondre à la sensation de soif, qu’il convient d’anticiper, mais aussi tout simplement parce que nous transpirons davantage et évacuons ainsi une quantité importante d’eau.

Souvent associée à un manque en sels minéraux, une mauvaise hydratation peut avoir des conséquences importantes après plusieurs jours de fortes chaleurs. Fatigue, faiblesse, insomnie, pour éviter ses symptômes, il importe de bien manger, de rester à l’ombre mais aussi et surtout… de boire. Essentielle à la vie, l’eau compose 60% de notre corps, une proportion qui atteint les 70% pour notre cerveau et 90% pour nos poumons, des organes plus que vitaux.

La dose journalière recommandée quand il fait très chaud? Entre 1,5 et 2 litres d’eau par jour. Il faut bien l’avouer, passer la journée à boire de l’eau, on a vu plus funky et la tentation est grande de varier les plaisirs. Mais vous vous en doutez, pendant la canicule, toutes les boissons ne sont pas forcément bonnes à boire. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que notre jolie langue a différencié le verbe « s’hydrater » du verbe « se désaltérer ». Tour d’horizon du meilleur et du pire des boissons de l’été:

  • On n’a pas trouvé mieux : l’eau
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    Rien de nouveau sous le soleil. L’eau est notre meilleure amie cet été. Si elle n’est pas la plus désaltérante, c’est la boisson indispensable à notre organisme pour bien s’hydrater. L’eau régénère nos cellules et permet la circulation du sang. Si chaque personne a des besoins en eau qui lui sont propres, il est conseillé de boire une grande bouteille d’eau minérale par jour, soit au minimum un litre et demi. Concrètement, cela correspond environ à 8 verres d’eau. Et sous de fortes chaleurs, forcez-vous à boire un peu plus. Sur la plage ou même lorsque le soleil tape plus fort que d’ordinaire, votre chaleur corporelle augmente. Alors essayez de boire même si la soif ne se fait pas ressentir. À retenir : vous vous hydratez aussi lorsque vous manger, notamment des légumes frais comme les concombres. Bien s’alimenter est indispensable à l’hydratation, car pour que l’eau pénètre notre organisme, nous avons besoin de minéraux.
  • Le traître : la bière (et autres apéritifs)
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    Une petite mousse pour se désaltérer? Navré de vous l’avouer mais non, une bonne bière n’est pas la meilleure des idées pour s’hydrater, même si nos sens nous feraient croire le contraire comme pour certains apéritifs. La consommation d’alcool n’hydrate pas, au contraire son effet diurétique a tendance à déshydrater notre organisme. Si vous buvez un verre d’alcool alors qu’il fait très chaud, songez à boire de l’eau entre temps. Faire du sport après l’apéro est également fortement déconseillé. Si vous ne pouvez vous en empêcher, emportez avec vous une grande bouteille d’eau et buvez régulièrement.
  • La surprise : l’eau de coco
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    Vous en avez marre de boire de l’eau ? Vous pouvez vous rabattre sur l’eau de coco, nouvelle coqueluche des distributeurs de boissons. Pendant des siècles, les habitants de la région du sud-est asiatique ne se sont pas trompés en se rafraîchissant avec. C’est d’ailleurs toujours le cas. Plutôt pratique quand on n’a pas l’eau courante… On prête d’ailleurs à l’eau de coco toutes sortes de vertus nutritives. Néanmoins, n’allez pas en faire une boisson miracle. Ce liquide ne serait véritablement super-hydratant qu’en présence d’une quantité suffisante de sodium, mais il contient aussi un peu de potassium, indispensable à notre organisme. L’eau de coco a aussi l’avantage d’être une boisson peu sucrée.
  • L’incontournable : la limonade
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    Parce qu’elle contient du citron, la limonade est riche en vitamine C. Elle est surtout acide. Or l’acidité stimule la production de salive dans notre bouche, ce qui en fait l’une des boissons les plus désaltérantes. Pourquoi? Parce que lorsque nous sommes déshydratés, nous avons la bouche sèche. Le piège? Boire une limonade trop sucrée. Si vous choisissez cette boisson, mieux vaut rester sobre et n’utiliser que les fruits.
  • Les plus controversés : le thé et le café
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    Parce que ces boissons sont diurétiques, elles nous font aller aux toilettes. C’est pourquoi le ministère de la Santé recommande de les éviter. En période de forte chaleur, mieux vaut conserver son eau pour soi qu’en rejeter. Toutefois, de nombreuses études remettent en cause ce qui ne serait qu’une idée reçue. L’effet diurétique du thé et du café ne serait important qu’à partir d’une dose très importante. Dans le cadre d’une consommation normale, tout irait bien. Alors faut-il en boire, ou pas? On imagine l’embarras des britanniques en période de canicule! Alors pour en avoir le coeur net, les autorités sanitaires d’Albion ont entrepris une vaste étude sur les effets du thé en période de chaleur. D’après leurs conclusions, le thé ne serait effectivement pas plus diurétique ni moins hydratant que l’eau quand il est consommé avec modération. En résumé: à vos tasses, la voie est libre. Si vous consommez raisonnablement votre thé préféré, cette boisson ne devrait donc pas être néfaste pour votre hydratation, à condition de bien s’hydrater par ailleurs. D’autre part, buvez votre tisane ou votre thé plutôt tiède, cela limitera qui empêchera votre corps de transpirer en essayant de dégager de la chaleur.
  • Ambivalente : l’eau pétillante
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    Aussi rafraîchissante que l’eau minérale ou l’eau du robinet, l’eau pétillante a néanmoins quelques défauts. Même constat que pour les boissons gazeuses: les bulles entraînent des ballonnements. Certaines eaux pétillantes peuvent contenir beaucoup de sel (plus de 200mg par litre). Si vous faites de l’hypertension artérielle ou risqueriez d’en faire, mieux vaut alors faire un autre choix.
  • Culturel certes, mais déconseillé : le vin
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    Parce qu’il contient de l’alcool, le vin non plus ne vous aidera pas à vaincre la chaleur, même si l’on qualifie certains crus pas toujours réjouissants de « vin de soif ». À consommer avec force modération, et bien s’hydrater par ailleurs.
  • Les faux amis : le Coca-Cola et autres sodas
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    A votre avis, le Coca Cola comme les boissons gazeuses et sucrées sont-elle réellement bonnes pour se désaltérer durant l’été ? Le sucre et les bulles que contiennent les sodas peuvent vite vous donner des crampes d’estomac. Et après avoir terminé son premier verre, on a vite envie de s’en servir un deuxième. L’effet n’est pas si rafraîchissant. Pensez-y avant d’emmener dans votre glacière pour aller à la plage essentiellement ce genre de boissons. Elles ne suffiront pas à vous sentir déshydraté.
  • Classique : le jus
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    Pour varier les plaisir, on peut aussi déguster des jus de fruit (oranges, pamplemousses…). Il vaut mieux préférer les breuvages 100% pur jus. L’avantage, ils vous apportent des vitamines. L’inconvénient, ils sont sucrés. Or le sucre entraîne la soif. N’hésitez donc pas à diluer votre jus dans de l’eau.
  • Fruité et sucré : le smoothie
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    Mélange de fruits, mais aussi parfois de lait et de glace, le smoothie est, dans une moindre mesure, à conseiller, surtout après l’effort. L’eau que contiennent les fruits vous hydratent tandis que les fruits que vous avez mis dedans apportent leur lot de vitamines C et A. Toutefois, des problèmes de digestion peuvent survenir après avoir bu du lait. Ne pas abuser non plus. Comme les jus de fruits, les smoothies sont sucrés!
  • Le petit plus : Un verre d’eau… avec une rondelle de citron
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    Une bonne alternative pour ne pas boire tout le temps de l’eau. En plus, ajouter une rondelle de citron dans votre verre d’eau ajoutera un peu de vitamine C et vous aidera à mieux digérer. Rien d’extraordinaire, mais de quoi mettre un peu de peps dans votre carafe.
  • Pour les sportifs : le lait chocolaté
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    Selon nos confrères de l’édition américaine du HuffPost, le chocolat au lait est recommandé en période de chaleur après un effort. Pour votre corps, c’est l’occasion de prendre sa dose d’eau, de protéine et de calcium après un effort. Toutefois, il ne faut pas en abuser, ces boissons sont souvent sucrées.
  • Déconseillé : le milk-shake
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    Le Milk-Shake n’est pas ce qui se fait de mieux comme boisson désaltérante. Le lait et la glace forment un breuvage sucré et assez lourd.
  • Le plus surprenant : la soupe
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    Boire de la soupe en été, une drôle d’idée? Pas tant que ça! Si une soupe ne rafraîchira jamais autant qu’un grand verre d’eau, les légumes qui la composent sont gorgés d’eau. Certains d’entre eux se composent même à 90% d’eau. Ceux-ci peuvent aussi être riches en fibres. Des nutriments qui permettent de lutter contre la constipation et d’éviter d’être ballonné. Si vous ne préparez pas votre soupe vous même, attention tout de même à la quantité de sel. Vous l’aurez compris, inutile de boire une soupe trop chaude, cela vous fera transpirer. Vive le tiède!
  • Le plus tonique : les boissons énergisantes
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    Toutes les boissons énergisantes (Powerade, Red Bull, Monster, Burn) ne sont pas élaborées de la même façon. La plupart d’entre elles contiennent de la caféine, dont l’effet diurétique vous déshydrate. Néanmoins, elles peuvent vous apporter un sursaut d’énergie si vous avez envie de faire un peu d’exercice et vous hydrater correctement lorsqu’elles ne sont pas trop calorifères et donc sucrées.
  • Le piège : les boissons très glacées
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    Même sous une forte canicule, pas besoin de mettre (trop) de glaçons dans votre verre. Ceux-ci pourraient bien vous causer des crampes d’estomac.

 

Source : http://www.huffingtonpost.fr/2015/06/30/canicule-boissons-meilleures-boissons-pires-biere_n_7688724.html

5 postures pour éviter le coup de barre de l’après-midi au bureau

 

 

Vos paupières sont lourdes, Morphée vous fait de l’oeil? Mais il faut rester alerte pour mener à bien votre mission au bureau ? Ces 5 postures de yoga vont vous faire un bien fou.

Cette vidéo réalisée par nos confrères du HuffPost américain montre quelques mouvements simples et efficaces pour votre corps, comme la posture de la montagne (Tadasana en sanskrit) ou encore celle de la cigogne (Uttanâsana).

D’ailleurs si vous travaillez assis, ou que vous passez, en tout cas, beaucoup de temps dans cette position lors de vos journées, d’autres postures sont facilement réalisables comme le montre la vidéo en bas de l’article.

Source: http://www.huffingtonpost.fr/2015/06/29/video-yoga-5-postures-pour-eviter-le-coup-de-barre-apres-midi_n_7660954.htm

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11 postures de yoga pour débutant que tous croient connaître (mais exécutent peut-être mal)

 

YOGA – Vous souvenez-vous lorsque vous avez décidé de faire plus de yoga? Vous vous êtes assis au fond de la classe pendant que le professeur disait des choses ridicules comme “étirer votre colonne vertébrale”. Vous vous êtes alors demandé ce que vous faisiez là.

Oui, nous sommes là pour vous aider.

Le yoga n’a pas à être entouré d’un voile de mystère. Cette semaine, nous avons rejoint Lisa Sochocki, propriétaire de Yoga Loft Hawaï sur l’île d’Oahu, pour parler clairement de la façon d’exécuter à la perfection chaque posture de yoga de base.

Sochocki a passé les 16 dernières années à pratiquer le yoga dans le monde entier, et les 10 dernières à l’enseigner. Elle a aidé des dizaines de yogis en herbe à transformer leurs rigides postures du chien tête en bas en fentes debout exécutées en douceur, et elle connaît chacune des erreurs commises sur le tapis par le yogi débutant.

Prenez donc une bonne respiration, détendez-vous et laissez cette bienheureuse yogini vous guider à travers toutes les postures de base que vous devez connaître afin de maîtriser la pratique du yoga.

Exécutez chaque posture le temps de trois à cinq lentes et profondes respirations prises par les narines.

1. La montagne (tadasana)

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Tenez-vous droit, la colonne vertébrale droite, les pieds parallèles l’un à l’autre, les gros orteils se touchant. Regardez devant vous.

Erreurs courantes: Les côtes et le derrière ne doivent pas trop ressortir. Essayez de garder la colonne bien droite, de la tête au coccyx.

Sochocki dit: “Contrairement à la posture normale, là vous avez un objectif, vous sentez les quatre coins de vos pieds, levez les rotules, engagez les jambes, abaissant le coccyx et élevant le nombril. Reculez les épaules et tournez les paumes vers l’avant tout en imaginant avoir de lourdes pierres dans les mains. Regardez droit devant et ressentez la puissance de la montagne!”

2. La chaise (utkatâsana)

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Les genoux pliés au-dessus des chevilles, les cuisses parallèles au sol autant que possible. Le torse devrait former un angle droit avec vos cuisses. Rapprochez les pieds pour une posture plus avancée. Respirez tandis que vous levez les mains.

Erreurs courantes: Les genoux ne devraient pas dépasser les orteils.

Sochocki dit: “Mettez plus de poids sur les talons pour empêcher les genoux de se retrouver au-dessus des orteils.”

3.La cigogne (uttanâsana)
(La photo du haut est pour les débutants, celle du bas pour les étudiants avancés.)

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Cette posture ouvre l’arrière de vos jambes, permet à la colonne vertébrale de décompresser et à du sang frais de circuler du coeur vers la tête.

Commencez en posture de la montagne. D’une seule respiration, penchez-vous sur les hanches en maintenant droite la colonne le plus possible. Laissez la tête retomber lourdement et détendez les mâchoires. Gardez les pieds écartés du bassin si vous êtes débutant, collez les pieds si vous êtes au niveau intermédiaire ou avancé.

Erreurs courantes: Il est plus important de maintenir la colonne droite que d’avoir les jambes droites. Pliez les genoux autant que nécessaire pour maintenir votre colonne droite et la poitrine en contact avec les cuisses.

Sochocki dit: “En yoga, la consistance est importante et avec le temps, l’arrière de vos jambes va s’ouvrir vers l’avant. Gardez les genoux souples, ne les bloquez pas.”

4. Le chien tête en bas (adho-mukha-svanâsana)
(La photo du haut est pour les débutants, celle du bas pour les étudiants avancés.)

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Cette inversion ouvre le corps tout entier. À partir de la position de la planche, les pieds écartés du bassin, levez les hanches vers le haut d’une seule respiration jusqu’à ce que votre corps épouse la forme d’un “V” inversé. Regardez entre les jambes ou vers le nombril. Rentrez le ventre et les côtes.

Erreurs courantes: Les gens qui ont des ischio-jambiers et des mollets rigides ont tendance à prendre des postures carrées. Afin de corriger cela, pliez les genoux davantage et tirez la poitrine vers le haut des cuisses, les mains fermement à plat sur le sol pour repousser les cuisses.

Sochocki dit: “Il est plus important de garder votre dos droit que de garder les jambes droites.” Ne craignez pas de plier les genoux ou de lever les talons si nécessaire. “Imaginez que vous êtes un poisson, que vous avez un hameçon accroché au coccyx et qu’on vous tire vers le bateau. Cela va vous aider à soulever les hanches.”

5. Le guerrier 1 (virabhadrâsana 1)

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La posture de départ est celle du chien tête en bas. Avancez le pied droit entre vos mains, tournez le talon gauche vers l’intérieur, puis soulevez le torse et les bras d’une seule respiration. Le talon du pied avancé devrait être en ligne droite avec la plante du pied arrière, l’avant du genou directement au-dessus de la cheville. Placez les deux hanches vers l’avant, tirez le coccyx vers le bas puis rentrez les côtes. Reprenez la posture de l’autre côté du corps.

Erreurs courantes: La hanche arrière devrait être tournée vers l’avant et non pas vers l’extérieur, et le pied arrière devrait être plus près d’un angle de 45 degrés que de 90 degrés.

Sochocki dit: “Imaginez que vos deux hanches sont des phares. Vous voulez que les deux phares soient tournés vers l’avant.”

6. Le guerrier 2 (virabhadrâsana 2)

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Similaire à la première posture du guerrier, mais avec les bras étirés dans des directions opposées, parallèles au sol et en ligne avec les épaules. Levez les bras et le torse d’une seule respiration. Le pied arrière devrait marquer un angle de 90 degrés et la cuisse avant devrait être parallèle au sol, l’avant du genou directement au-dessus de la cheville. Regardez au-dessus du majeur. Reprenez la posture de l’autre côté du corps.

Erreurs courantes: Le derrière et le ventre ne doivent pas trop ressortir, et le bas du dos ne devrait pas être voûté. Aussi, les pieds sont souvent mal alignés. Assurez-vous que le talon de votre pied avant soit en ligne avec la voûte plantaire de votre pied arrière.

Sochocki dit: “Imaginez que vous déroulez votre tapis. Pour aligner vos hanches, placez les mains dessus afin de vous assurer de ne pas trop pencher sur une hanche.”

7. Le triangle (trikonâsana)

TRI-FRONT

TRI-BACK

Écartez largement les pieds, formant un triangle entre vos pieds et votre os pelvien. Commencez par tourner un pied vers l’extérieur de 90 degrés et l’autre vers l’intérieur de 15 degrés. Étirez les bras en ligne avec les épaules et, d’une seule respiration, tournez le torse vers le pied placé vers l’extérieur. Les doigts devraient toucher le tibia dans le cas des débutants, le sol dans celui des plus avancés. L’autre bras devrait être tendu vers le ciel, et les yeux, tournés vers la main levée, le cou bien droit et éloigné des épaules. Les épaules et les bras devraient former une ligne.

Erreurs communes: La hanche avant ne devrait pas saillir tandis que la hanche arrière ne devrait pas fléchir.

Sochocki dit: “Afin de s’assurer d’un bon alignement, exécutez la posture lentement.”

8. La posture de l’enfant (balasana)
(La photo du haut est pour les débutants, celle du bas pour les étudiants avancés.)

CHILDSBEG

CHILDSADV

La posture de l’enfant est une posture de capitulation. Commencez en position agenouillée, les orteils se touchant et les genoux étant écartés autant que les épaules. Tirez les hanches vers les talons tout en étirant les bras vers l’avant, par terre, tandis que votre front se rapproche du sol. Fermez les yeux et laissez votre front reposer sur le sol. Respirez d’une manière qui vous rend à l’aise.

Sochocki dit: “Il n’y a pas de mauvaise façon d’exécuter la posture de l’enfant. Toutefois, si vous avez les hanches serrées, il peut être utile de placer une couverture ou un oreiller entre les cuisses et les talons, et un bloc pour le front.”

9. Le sphinx (ardha-bhujangâsana)

COBRA

Cette posture est exécutée sur le ventre, avec l’os pubien et le dessus des pieds sur le sol. Les pieds sont aussi écartés que les hanches, en plus d’être placés vers l’arrière. Les mains reposent près de la cage thoracique, les épaules étant engagées vers l’arrière, l’une vers l’autre. En utilisant la force de la partie inférieure de la colonne lombaire, éloignez du sol la poitrine et les côtes supérieures. D’une seule respiration, effectuez un mouvement vers le haut, prenez quelques respirations, effectuez un mouvement inverse d’une seule respiration.

Erreurs courantes: Les mains ne devraient pas devancer les épaules, et les épaules ne devraient pas être près des oreilles. Pour corriger cela, tirez les épaules vers l’arrière et éloignez-les des oreilles.

Sochocki dit: Vos épaules devraient former un angle de 45 degrés et vous devriez vous servir des lombes – en poussant légèrement sur les mains – avant de soulever votre torse du sol.

10. Torsion assise avec jambe étendue (marichyâsana)

yoga-1

TWIST-BACK

Cette torsion assise de la colonne vertébrale neutralise la colonne. Commencez en position assise, le derrière sur le sol et les jambes parallèles devant vous. Étirez la jambe droite vers l’avant et fléchissez le pied. Pliez le genou droit et croisez le pied droit au-dessus de la jambe gauche. Le coude droit presse l’extérieur du genou gauche, la main droite étant placée sur le sol à la droite du corps. La main droite devrait être plantée à la droite de la colonne, soutenant celle-ci. Regardez au-dessus de l’épaule ou aussi loin que votre cou le permet. Reprenez la posture de l’autre côté du corps.

Erreurs courantes: Ne voûtez pas le dos. Allongez la colonne en soulevant le dos. Assurez-vous que votre main arrière vous aide à soulever la colonne.

Sochocki dit: “Expirez alors que vous effectuez une torsion de votre colonne. Inhalez pour créer de l’espace (dans votre torse) et l’expiration vous placera davantage dans l’espace que vous avez créé.”

11. Le chien museau face au ciel (urdhva-mukha-svanâsana)

UPDOG
*Notre yogini affirme qu’il peut être risqué de croire que le chien museau face au ciel est une posture pour débutant. En fait, c’est une posture de niveau intermédiaire à avancé, car il s’agit d’un fléchissement du bas du dos exigeant pas mal de force. Sochocki recommande aux débutants de s’initier au sphinx avant de tenter le chien museau face au ciel.

Prenez la position de la planche, les pieds écartés au niveau des hanches et les bras au niveau des épaules, puis expirez et servez-vous de vos bras pour abaisser lentement votre corps jusqu’à ce que vos coudes forment un angle de 90 degrés. Utilisez vos orteils pour pousser votre corps vers l’avant, puis placez vos pieds face au sol. D’une seule respiration, redressez vos coudes de façon à ce que votre torse, vos genoux et vos cuisses s’éloignent du sol. Vos mains et vos pieds devraient être les seules parties de votre corps à toucher le sol. Regardez légèrement vers le haut, au-delà du bout de votre nez. Quittez la posture d’une seule expiration.

Erreurs courantes: “Je vois le plus souvent des étudiants tenter cette posture avant que leur dos ne soit prêt. Vous pouvez voir que leurs épaules sont hautes et près des oreilles. Je recommande aux débutants de commencer par la posture du sphinx, plus près du sol. Le sphinx n’exige que peu ou pas de force dans les mains et accroît lentement la force du dos.”

Sochocki dit: “Si vous êtes déterminé à maîtriser le chien museau face au ciel, assurez-vous de pousser fermement avec les pieds et de rentrer le torse entre les bras. Soulevez-vous depuis le milieu du coeur tout en tirant vos épaules vers votre dos.”

Article source : http://www.huffingtonpost.fr/2015/06/21/photos-yoga-debutant-que-vous-croyez-connaitre_n_7621936.html

L’ostéopathie et le monde du travail

 

Les pathologies liées au travail et au stress

Quel que soit le métier, chacun passe quotidienne- ment de nombreuses heures dans la même posture, ou à répéter le même mouvement. Être assis devant un ordinateur, porter des objets, des caisses ou des outils, faire un travail manuel avec un bras toujours sollicité, ou simplement travailler dans des positions pénibles, sont des facteurs de nombreux troubles musculo-squelettiques (TMS). Le stress et les efforts du quotidien : porter les enfants, faire du ménage, du bricolage, sont également des éléments à prendre en compte.

Comment se manifestent-ils ?
Les troubles du sommeil apparaissent, la concentra- tion au travail devient difficile, les douleurs se font ressentir, et de la fatigue morale peut en découler. Le temps passé au travail est important, et lorsque l’ergonomie est mauvaise, les TMS se manifestent par l’apparition de douleurs et autres gênes diverses.

L’ostéopathie pour tous les métiers

Maçon, agriculteur, vendeur, ouvrier de l’électro- nique, cuisinier, technicien de surface, etc. peuvent être tous sujets à des TMS. Fatigue oculaire, maux de tête, mal de dos, raideur du cou et des épaules, fourmillements dans les doigts, sont les principales pathologies liées au travail sur lesquelles l’ostéopathie peut agir.

Les TMS touchent toutes les professions, quel que soit le secteur d’activité, et représentent plus de 80% des maladies professionnelles actuellement reconnues. À l’écoute de ces affections musculaires ou articulaires liées aux conditions de travail, l’ostéopathe utilise une méthode de soins qui s’emploie à déterminer et à traiter les restrictions de mobilité qui peuvent affecter l’ensemble des structures composant le corps humain.

L’ostéopathie améliore la qualité de vie au travail

L’apparition des premières douleurs et tensions doit inciter à consulter un ostéopathe qui effectuera un bilan complet. Il redonnera au corps sa capacité d’adaptation aux contraintes qu’il subit.

Une prise en charge ostéopathique régulière est encore plus indispensable au corps humain que le contrôle technique d’une automobile, évitant accidents et usures prématurées.

Un traitement pour tous les secteurs d’activités

L’ostéopathie intéresse toutes les professions. Pour exemple :

  • L’ostéopathie et emploi de bureau
    Rester plus de sept heures devant un ordinateur fait appa- raître certains troubles : engourdissements, sensations de brûlure ou fourmillements, faiblesses musculaires, douleurs, palpitations, enflures, sensations de raideur, d’ankylose.
  • L’ostéopathie dans le secteur du bâtiment
    Dans le Bâtiment et Travaux publics, les épaules et le dos sont très sollicités entraînant les pathologies suivantes : sciatique, tendinite de la coiffe des rotateurs, bursite, épicondylite, syndrome du canal carpien, tendinite du tendon d’Achille.
  • L’ostéopathie dans le secteur agricole
    Dans ce secteur, les TMS représentent 95% des maladies professionnelles. Affections périarticulaires, du rachis lombaire, problèmes respiratoires de mécanisme allergique, lésions chroniques de ménisque.

Le corps opère une phase d’accumulation silencieuse de tensions et lance un cri d’alarme lorsque ces dernières deviennent plus apparentes, plus inconfortables et constantes. Identifiant l’origine physique des différents troubles liées aux conditions de travail, l’ostéopathe par ses interventions manuelles douces rétablira le bon fonctionnement de l’organisme. Pour soulager le patient il lui rendra sa capacité d’adaptation à son environnement.

Le stress

Un salarié sur cinq déclare souffrir de troubles de santé liés au stress au travail (Source INRS). Le stress provient des agressions extérieures que subit l’organisme : bruit, surmenage, pression, conflits… Il provoque des modifications dans le corps comme système de défense.

stress_travail

Le stress se manifeste sur trois niveaux :

  • augmentation du taux d’adrénaline, qui permet à l’organisme de réagir rapidement (augmentation rythme cardiaque, respiration plus rapide)
  • augmentation du taux de cortisol qui a un rôle d’anti-inflammatoire. Si à cette étape l’organisme réussi à lutter contre le stress, le corps pourra revenir à la normal. Dans le cas contraire, le stress devient chronique et le dernier niveau se met en place.
  • au troisième niveau, le système nerveux, trop sollicité, prend le dessus sur la gestion de nos réserves d’énergie. C’est à ce moment là que les troubles apparaissent. Attention à ce que le stress ne contribue pas à l’installation de maladies chroniques voire dégénératives (tumeurs, maladies auto-immunes, hypertension…).

Les symptômes dus à un état de stress chronique sont :

  • douleurs musculaires et articulaires,
  • maux de tête, troubles du sommeil,
  • troubles de l’appétit et de la digestion,
  • sueurs inhabituelles,
  • mal de dos,
  • nervosité,
  • palpitations.

L’ostéopathie propose une réponse thérapeutique pour les patients souffrant des symptômes dus au stress comme les palpitations, l’angoisse, les douleurs musculaires, les maux de tête. Le rééquilibre du corps peut être obtenue de différentes manières :

  • une action cranio-sacrée ciblant le système nerveux qui gère nos réserves d’énergie et régule l’hyperactivité musculaire,
  • une action viscérale, pour le relâchement des structures environnantes des viscères,
  • une action tissulaire ou respiratoire, via le travail du diaphragme ostéo-articulaire, pour le soulagement des tensions musculaires accumulées.

 

Source : http://www.osteofrance.com/osteopathie/travail/

Record du monde de gainage : 5 heures 15 minutes !!

 

George Hood, un ancien Marine américain de 57 ans a battu le record du monde de gainage dans la ville de San Diego en Californie. L’homme est resté dans cette position avec les abdos contractés durant 05 heures 15 minutes 05 secondes, battant ainsi le précédent record du monde de 4 heures et 26 minutes fixé par le chinois Mao Weidong. À l’occasion de cet évènement, des fonds ont été récoltés pour être reversé à Semper Fi Fund, un organisme de charité au service des soldats américains blessés. Il lui aura fallu 9 mois d’entraînement intensif pour réaliser cet exploit surhumain.

 

Source: http://www.vid4women.com/video/45/record-du-monde-de-gainage-5-heures-15-minutes-/